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2025-05-10

Choc Spirituel ✝️ : Révélations Inattendues sur Le Messie, Yésua! 🔥

Préparez-vous à découvrir des vérités dérangeantes sur la figure de Jésus-Christ et l'impact de ces croyances sur notre foi. Cet examen biblique vous fera réfléchir et remettre en question ce que vous pensez savoir! from Christic Academy

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Interdire le smartphone à l’école : ça ne marche pas ?

Il y a quelques mois, nous nous interrogions sur le fait de savoir si la France devait oui ou non prendre le même chemin que l’Angleterre et bannir les téléphones portables de l’enceinte des collèges ? A l’époque, Nicole Belloubet, alors ministre de l’Éducation nationale indiquait que “l’impact [des] réseaux sociaux pour les jeunes était absolument catastrophique”, ajoutant qu’une pause numérique pourrait également constituer un bon levier pour lutte contre le cyberharcèlement.

La “pause numérique” pas suffisante pour redynamiser la santé des élèves ?

Cette même pause numérique a été testée dans 200 établissements à la rentrée 2024, et prévoit que les élèves déposent leurs smartphones à l’entrée de l’école pour les récupérer en fin de journée. A cette époque, le gouvernement œuvrait sur une possible interdiction des smartphones au collège à la rentrée 2025. Mais le fait d’interdire le smartphone peut-il suffire à lui tout seul à améliorer les notes, ainsi que le comportement des élèves ? A priori non…

C’est en effet ce qui ressort d’une étude menée par l’Université de Birmingham, en comparant les résultats et les comportements de plus de 1 200 étudiants répartis dans 30 établissements au Royaume-Uni. Selon cette étude, il ne serait pas possible d’affirmer que les seules restrictions en matière d’utilisation des smartphones aient “un quelconque effet bénéfique sur la santé mentale et le bien-être des adolescents“.

Plus globalement, c’est le temps total passé sur les smartphones et les réseaux sociaux qui aurait un impact négatif sur la bonne santé (mentale et physique) des élèves. Le sommeil serait de moins bonne qualité, le comportement serait de plus en plus problématique, les résultats de moins en moins satisfaisants, le manque d’exercice de plus en plus important…

Ainsi, l’étude tend à démontrer que “ces interdictions prises isolément ne suffisent pas à s’attaquer aux impacts négatifs“. En fin d’année dernière, nous revenions sur le temps moyen passé chaque jour devant un écran, avec une moyenne édifiante de 6h30 (et de 5h26 pour la France).

Pour le ministère de l’éducation, la pause numérique constitue une mesure qui vise à “sensibiliser les élèves  à l’utilisation raisonnée des outils numériques et à leur faire pleinement bénéficier de la richesse de la vie collective“. Récemment, c’est un nouveau baromètre de la Fondation pour l’Enfance qui confirme les “effets négatifs” des écrans sur les enfants, avec 89% des enseignants interrogés qui observaient une hausse des difficultés d’apprentissage (langage, graphisme, motricité…), sans oublier un impact réel (là encore) sur le sommeil.

Source : Par Stéphane Ficca via Presse-Citron

#écoles #enseignements #interdiction #mentale #Santé #smartphones

Former les jeunes à l’IA : le pari de l’Éducation nationale pour la rentrée 2025

Considérer l’IA comme une simple innovation technologique périphérique est une erreur. Elle s’est imposée presque partout, très rapidement et a transformé de nombreux secteurs : recherche médicale, finance, transports, industries ou éducation. Justement, l’arrivée de ChatGPT ; pour ne citer que lui ; a provoqué quelques remous dans le système scolaire (du côté des professeurs comme de celui des élèves), et plusieurs raisons peuvent expliquer ce phénomène.

Cet outil a pris de court bon nombre d’établissements scolaires, qui n’ont pas su adapter leurs dynamiques d’apprentissages à celui-ci. Risques de plagiat ou entravement potentiel du développement de la pensée critique, les risques sont réels, d’où l’importance de développer un cadre pédagogique solide autour de l’usage de l’IA. L’Éducation Nationale vient enfin de prendre position à travers la voix d’Elisabeth Borne, qui vient de dévoiler hier un plan visant à former systématiquement les élèves du secondaire aux fondamentaux de l’IA.

Un parcours personnalisé et adaptable pour chaque élève

La plateforme Pix a été sélectionnée pour porter le projet à l’échelle nationale. En France, elle est la plateforme de référence d’évaluation et de certification des compétences numériques et est déjà largement utilisé dans le système éducatif français, notamment dans les collèges et les lycées. Un bon point, puisque cela facilitera son intégration au sein de l’écosystème pédagogique.

L’initiative cible particulièrement les classes charnières : la quatrième, moment clé du parcours collégien, et la seconde, porte d’entrée du lycée. Borne a précisé qu’il y aura des « sessions obligatoires pour les élèves de 4ᵉ et de 2ᵈᵉ, et ouvertes à tous ceux qui le souhaitent tout au long du secondaire ».

Le programme se veut flexible : structuré en dix modules au maximum, il propose un parcours personnalisé variant de 30 minutes à 1 h 30 selon le niveau de compétence de chaque élève.

Bien sûr, les élèves ne se formeront pas seuls, car pour « éduquer les élèves aux biais et aux limites de l’IA » selon les mots de la ministre, il faut aussi intégrer le corps professoral. Ainsi, les professeurs se voient offrir l’opportunité de se former eux-mêmes aux enjeux de l’IA, ce qui évitera certainement qu’un fossé se forme avec leurs élèves.

Comme l’a expliqué Borne dans les colonnes d’Ouest-France : « C’est une révolution déjà en marche qui bouleverse tout, y compris nos façons d’apprendre et d’enseigner. L’Éducation nationale s’en saisit ». La volonté institutionnelle est là ; espérons maintenant que l’application de ce programme soit efficace. Le Gouvernement dispose de plus de six mois avant la prochaine rentrée ; moment choisi pour entamer cette démarche éducative ; une marge de temps assez large afin de la peaufiner correctement.

En bref…

  • L’Éducation nationale va introduire une formation obligatoire sur l’IA pour les collégiens et lycéens dès la rentrée 2025.

  • Ce programme, accessible via la plateforme Pix, sera adapté au niveau de chaque élève et complété par une formation pour les enseignants.

  • L’objectif est de préparer les jeunes et les professeurs aux enjeux et aux limites de l’IA.

Source : Par Camille Coirault via Presse-Citron

#apprentissage #écoles #éducation #élèves #enfants #enseignants #enseignements #IA #intégration #intelligencesArtificielles #jeunes #outils

L’Intelligence Artificielle est source d’Inquiétude dans les Écoles du Maroc

Les établissements scolaires marocains font face à une nouvelle problématique : l’usage croissant des outils d’intelligence artificielle (IA) par les élèves pour réaliser leurs devoirs. Cette tendance soulève des préoccupations parmi les experts et éducateurs, qui mettent en garde contre ses répercussions sur l’apprentissage et la créativité des jeunes.

Un phénomène détecté dans les collèges

Le phénomène, initialement observé dans l’enseignement supérieur, s’étend désormais aux collèges et lycées. Tarik Abdar, conseiller en orientation éducative à la Direction de l’éducation de la province d’Al Hoceima, a découvert que son fils, élève en deuxième année du collège, utilisait ChatGPT pour résoudre des exercices de mathématiques. « Il réalisait ses devoirs avec une précision qui dépasse son niveau scolaire », a-t-il déclaré. Une enquête auprès d’un enseignant a révélé que d’autres élèves utilisaient également l’IA, même pour des compétitions comme les Olympiades nationales de mathématiques.

Un impact sur l’évaluation et la créativité

Selon M. Abdar, cette pratique pose des défis majeurs pour les enseignants, qui peinent à évaluer les compétences réelles des élèves. « Quand les réponses sont prêtes à l’emploi, il devient difficile de savoir si l’élève a réellement compris la matière ou s’il a simplement trouvé la solution en ligne », a-t-il souligné. Il craint que cela n’entrave le développement de la pensée critique et la capacité des élèves à apprendre de leurs erreurs.

Appels à une réponse institutionnelle urgente

Jamal Chafik, ancien inspecteur pédagogique central, appelle à une action rapide du ministère de l’Éducation nationale. « Le recours à l’IA dans l’apprentissage est un sujet de débat mondial. Au Maroc, il est temps de réguler cette pratique, qui dépasse désormais l’enseignement supérieur pour s’inviter dans les salles de classe », a-t-il déclaré. Il recommande des mesures claires permettant aux enseignants d’encadrer cette tendance de manière efficace.

Un débat nécessaire sur l’intégration de l’IA

L’intelligence artificielle dans l’éducation soulève une question fondamentale : doit-elle être considérée comme un outil pédagogique ou un moyen de tricherie ? Alors que certains plaident pour une intégration encadrée de ces technologies, d’autres appellent à en limiter l’usage pour préserver l’intégrité du processus d’apprentissage.

Avec la montée en puissance de l’IA, les écoles marocaines se retrouvent à un carrefour décisif. Les décisions prises aujourd’hui pourraient façonner l’avenir de l’éducation dans le pays.

Source : Par Media7

#apprentissage #écoles #élèves #chatGPT #enseignants #enseignements #IA #intelligencesArtificielles #outils #triche

“Superman dance” : Le défi sur TikTok interdit dans certains lycées !

Internet ne manque pas d’inspiration et trouve de nouveaux défis à réaliser sur les réseaux sociaux. Dernièrement, la nouvelle tendance sur TikTok est le “Supeman dance” ou danse de Superman, en français. Le défi consiste à faire quelques pas de danse, à imiter la pose de Superman, en sautant, en étant rattrapé par des amis. Et pour pimenter le tout, les deux autres personnes qui participent au défi peuvent vous projeter.

Le problème est que ces acrobaties peuvent être dangereuses. Certaines vidéos disponibles sur TikTok montrent par exemple des personnes qui sont tombées, ou qui se sont cogné la tête contre le plafond en faisant ce défi. Et selon le site Actu.fr, certains établissements scolaires ont décidé d’interdire officiellement ce challenge. Ce serait, par exemple, le cas d’établissements de la Manche.

TikTok a déjà pris des mesures

De son côté, TikTok a déjà réagi, en bloquant les recherches pour “Superman dance”. Quand vous recherchez ce défi sur le réseau social, celui-ci n’affiche aucun résultat, mais diffuse le message suivant :

“Cette phrase peut être associée à un comportement ou du contenu qui enfreint nos consignes. La priorité de TikTok est d’encourager une expérience sécurisée et positive.”

En revanche, le défi n’a pas été banni par la plateforme, puisque les vidéos sont toujours accessibles.

Reste à savoir si les consignes seront suivies, là où le Superman dance est interdit. En tout cas, ce n’est pas la première fois qu’un défi dangereux sur les réseaux sociaux est signalé. Par exemple, dans un article publié en novembre, nous évoquions un autre défi dangereux appelé “Door Kicking”.

En bref…

  • De nouveaux défis apparaissent régulièrement sur les réseaux sociaux et certains peuvent être dangereux

  • Sur TikTok, le “Superman dance” fait sensation, malgré le fait qu’il peut causer des chutes ou même des blessures

  • En France, des établissements scolaires auraient déjà interdit ce défi

  • De son côté, TikTok a décidé de bloquer les résultats de recherche pour “Superman dance”

  • En revanche, les vidéos de ce nouveau défi sont toujours disponibles sur la plateforme

Source : Par Setra via Presse-Citron

#écoles #défis #enseignements #interdiction #réseauxSociaux #SupemanDance #tiktok

Faut-il interdire Chat GPT à l’école d’après la chercheuse Laurence Devillers

Depuis le début de ses apparitions médiatiques, Laurence Devillers, professeure en intelligence artificielle à la Sorbonne, directrice de la chaire HUMAAINE (Human-Machine Affective Interaction & Ethics) au CNRS et autrice du livre Les Robots émotionnels. Santé, surveillance, sexualité… : et l’éthique dans tout ça ? (Éditions de l’Observatoire 2020), n’a eu de cesse de nous prévenir. Les outils ont la capacité de nous subjuguer. Tandis qu’elle travaille à la mise en place au sein de la Sorbonne d’un projet d’évaluation portant sur l’appropriation des intelligences artificielles, la chercheuse revient sur l’impact qu’elles peuvent avoir sur l’apprentissage et dévoile ses recommandations.

De nombreux professeurs font état de l’usage de ChatGPT pour l’aide aux devoirs. Faut-il s’inquiéter de ce nouvel usage numérique ? 

Laurence Devillers : Lorsque ChatGPT est apparu et que des interdictions ont été évoquées dans les écoles, j’ai rédigé une tribune sollicitée par Le Monde. Dans celle-ci, j’avançais l’idée qu’il était nécessaire d’adopter une approche d’accompagnement plutôt que de prohibition vis-à-vis de cet outil. ChatGPT fait désormais partie intégrante de l’environnement des élèves et va continuer à gagner en importance. Il est donc primordial d’adopter une approche plus flexible et d’expliquer aux élèves ces nouveaux usages. S’en tenir à une position hostile envers ces systèmes n’est pas viable. Il est essentiel de les comprendre et de les utiliser de manière appropriée.

Comment expliquer ChatGPT aux enfants et aux préadolescents qui seraient tentés de l’utiliser à tort et à travers ?

L. D. : Il est essentiel d’acculturer les enfants en leur expliquant que lorsqu’ils utilisent ces outils, il est évident que ce n’est pas leur propre travail, et cela peut entraîner des notes nulles. Cependant, il est tout aussi important d’apprendre à les utiliser correctement. L’école doit jouer ce rôle en alternant entre des devoirs assistés par IA et d’autres réalisés sans aucune aide technologique, afin que les enfants développent leur esprit de raisonnement. La machine ne raisonne pas ; elle ne fait que produire des solutions. Par paresse, nous pourrions tous être tentés de chercher la solution directe.

L’outil est aussi utilisé par des étudiants postbac pour s’aider dans des recherches ou la rédaction de mémoires. Est-ce que vous êtes témoin de cet usage ? 

L. D. : Quand j’introduis l’utilisation de GPT auprès de mes élèves, j’exige qu’ils ajoutent une référence à chaque idée donnée dans leurs devoirs. Étant donné que la machine n’est pas capable de fournir des sources fiables, nous devons les rechercher nous-mêmes. Même avec des outils comme Copilot, qui peuvent fournir des sources, il y a un risque d’erreurs. Il est donc essentiel de vérifier les informations. Je veux les habituer à utiliser ces outils comme des prothèses de manière intelligente, c’est-à-dire sans prendre pour argent comptant les réponses de la machine, mais en les challengeant et en gardant un esprit critique. J’ai une vision assez positive de ce que l’on peut faire avec ces outils, notamment en ce qui concerne la correction, la synthèse ou la reformulation. Mais avant ça, il faut démystifier l’idée qu’ils peuvent tout faire. Ce qui est intéressant, c’est justement de reconnaître leurs limites et de les intégrer de manière réfléchie.

Quels impacts doit-on attendre sur les processus d’apprentissage ?

L. D. : Nous ne le savons pas vraiment. Ainsi, à la Sorbonne, en collaboration avec des collègues, je m’efforce de mettre en place un important projet d’évaluation portant sur l’appropriation de ces outils. On implique des philosophes, des sociologues, des informaticiens et des linguistes, dans le but de développer une épistémologie des sciences de l’interaction avec ces intelligences artificielles. C’est un travail nécessaire, car nous projetons sur ces intelligences artificielles l’idée qu’elles sont rationnelles et informatives, alors qu’elles ne possèdent absolument rien de rationnel, ni de conscient, ni d’affectif, ni même de connaissances comme celles de Wikipédia. Il n’y a absolument rien d’autre qu’une puissance de calcul s’appuyant sur d’énormes corpus de données qui permettent au système de créer des pseudo-connaissances, des pseudo-affects ou des pseudo-règles morales.

Autrement dit, les LML « simulent » l’intelligence sans vraiment en posséder. Quel impact cela a-t-il sur notre perception de ces machines ?

L. D. : Avec un grand nombre de données et de paramètres, ces systèmes peuvent générer des phrases d’une qualité syntaxique, sémantique et lexicale comparable, voire supérieure, à celle des humains. Mais il n’y a pas d’intention derrière ces systèmes. Parfois, ils produisent des résultats pertinents, et on peut se dire : « Ah ! tiens, ce n’est pas idiot. » Cependant, parfois, ils se trompent complètement, c’est ce que l’on appelle des « hallucinations », un terme inapproprié qui évoque à tort des notions d’intelligence ou de schizophrénie. Je suis d’ailleurs déçue par l’engouement médiatique et marketing entourant ces technologies, avec des discours glorifiant une intelligence supérieure à celle des humains, ce qui induit l’idée erronée que nous serons totalement dépendants et impuissants. Il est crucial de reconnaître que nous avons le pouvoir de comprendre le fonctionnement de ces systèmes, même si nous ne sommes pas nécessairement capables de les concevoir nous-mêmes. Mais je n’ai jamais eu besoin de connaître chaque composant d’une voiture pour l’utiliser correctement.

Chaque nouvelle annonce de produit de la part d’OpenAI provoque des vents de panique sur les réseaux. Les gens pensent qu’ils vont devenir obsolètes ou que les IA vont dépasser l’intelligence humaine. Que penser de cette rhétorique ?

L. D. : Les gens craignent sans doute de perdre leur travail, mais quand Laurent Alexandre essaie de semer la panique avec des histoires du genre « j’ai dix ans d’études, mais cette machine apprend en un rien de temps et devient aussi intelligente qu’un polytechnicien », je trouve ça risible. Cette machine apprend à partir de données, avec un mécanisme assez simple. Je pense que le véritable problème réside dans la manière dont l’intelligence artificielle est commercialisée et promue. Elle permet d’effectuer des tâches intéressantes et d’élever le niveau, mais elle est aussi survendue et ne présente pas vraiment la solution ultime à toute la créativité humaine, contrairement à ce que certains pourraient penser.

Source : Par David-Julien Rahmil via L’ADN

#autoriser #élèves #chatGPT #CNRS #enfants #enseignements #HUMAAINE #IA #intelligencesArtificielles #interview #jeunes #LaurenceDevillers #utilisations

Depuis le lancement de ChatGPT, le monde de l’éducation est chamboulé par l’IA générative. Si cette dernière peut donner un coup de main aux élèves et même assister les professeurs dans la préparation de leurs cours, cette technologie sert en effet régulièrement dans le cadre de tricheries avérées. Une nouvelle affaire survenue aux États-Unis illustre justement ces nouvelles tensions.

Des poursuites engagées

Dans le Massachusetts, un couple a en effet décidé de poursuivre le lycée local qui a sanctionné son fils pour avoir recouru à des outils d’intelligence artificielle pour un projet d’histoire. D’après Gizmodo, Dale et Jennifer Harris estiment en effet que le règlement de l’établissement n’interdit pas explicitement l’utilisation de l’IA dans le cadre des devoirs.

Dès lors, ils pensent que la punition infligée à l’élève (une retenue le samedi et une note de 65 sur 100 à son travail) risque de ruiner ses chances d’intégrer la prestigieuse université de Stanford et/ou d’autres écoles prestigieuses.

Cité par nos confrères, la famille Harris tranche ainsi :

Les accusés ont continué sur une voie omniprésente, destructrice et impitoyable de menaces, d’intimidation et de coercition pour impacter et faire dérailler l’avenir [de notre fils] et son dossier exemplaire.

Mis en cause, le lycée Hingham précise de son côté que le manuel de l’élève interdit l’utilisation de « technologies non autorisées » et le recours « non autorisé ou l’imitation proche du langage et des pensées d’un autre auteur et la représentation de ceux-ci comme son propre travail ».

Il estime que la mesure disciplinaire prise dans ce dossier est « relativement clémente » et qu’une décision contraire « inviterait les parents et les élèves mécontents à contester la discipline quotidienne, voire la notation des élèves, devant les tribunaux d’État et fédéraux ».

ChatGPT crée des remous en classe

Les affaires de ce genre risquent bien de se multiplier au fil du temps. Dans toutes les organisations, une régulation de ces technologies se met peu à peu en place, mais on voit que cela n’est pas toujours évident tant cette innovation bouscule nos habitudes.

D’après une récente étude menée aux États-Unis, 90 % des enseignants se disent plus méfiants que par le passé à l’égard des enfants, et beaucoup les soupçonnent d’utiliser ces nouveaux modèles de langage pour tricher.

Enfin, seuls 40 % des parents sondés disent avoir obtenu des conseils pour eux même ou leurs enfants concernant l’utilisation appropriée de ces outils.

Source : Par Jean-Yves Alric via Presse-Citron

https://hygiene2surf.wordpress.com/2024/10/17/leur-fils-recoit-une-mauvaise-note-car-il-a-utilise-lia-ils-poursuivent-lecole-en-justice/

#éducation #élèves #chatGPT #enfants #enseignements #IA #intelligencesArtificielles #outils #plaintes

2023-05-23

Un nouveau billet ! 📰

#Markdown pour l’#enseignant 🧑‍🏫 : présentation d’outils pour exploiter Markdown dans ses #supports #enseignements 🏫
➡️ lmdbt.fr/blog/markdown_enseign

#CodiMD
#MD2HTML
#A4
#PDF
#ViteUnDiapo
#myMarkmap
#VSCode #VSCodium
#Obsidian

#TeamEduc
#TeamProf

Ce billet sera mis à jour au cours de la journée en mettant à disposition mes ressources personnelles dediées/issues de ces différents outils.

Capture d'écran d'une partie du billet, en particulier celle qui concerne "Vite Un Diapo".
Richard ☠️ MonvoisinRichardMonvoisin
2023-03-26

Podcast des Cours « Zététique & autodéfense intellectuelle »
 
Cours de Zététique & autodéfense intellectuelle en podcast / balladodiffusion

 

Après douze années de rodage, mes cours de zététique avait atteint un certain pallier. Aussi,en 2017, je me suis dit : vu que c'est fait avec de l'a
monvoisin.xyz/podcast-des-cour

2023-03-18

"Un recul du ministère c’est une victoire": FO salue l’échec de la réforme des #CPGE, calquée sur celle du lycée.
Le scénario de l’exécutif prévoyait une diminut° des heures d’#enseignements de certaines disciplines, "une réforme avant tout #budgétaire".
>>force-ouvriere.fr/un-recul-du-

2023-03-14

"Un recul du ministère c’est une victoire": FO salue l’échec de la réforme des #CPGE, calquée sur celle du lycée.
Le scénario de l’exécutif prévoyait une diminut° des heures d’#enseignements de certaines disciplines, "une réforme avant tout #budgétaire".
>>force-ouvriere.fr/un-recul-du-

2022-11-15

[Archives] Bilan avec les élèves de CP-CE1 et CE2-CM1 du dispositif « Plus de maîtres que de classes » mis en place pendant deux ans sur les écoles du Garros (Auch). Une #évaluation très positive, riche en #enseignements, à analyser en regard des rapports du comité national de suivi :
👉 vie-publique.fr/rapport/36249-
#PMQC #ÉducationPrioritaire #Pédagogie #Cointervention #Coopération

Texte. Synthèse du bilan réalisé.
Alain MICHEL 🤓alainmi11@mamot.fr
2022-07-12

Un article archi-complet de @DelphineSechet : retour d'expérience très détaillé et exemple d'utilisation de #Canoprof avec ses classes en lycée (avec des mini-guides et tutoriels pour les actions à réaliser).
👏👏👏
cc @pmathieu @ScenariKelis @mrcfvr @reseau_canope
---
RT @gep_svt
Intégrer sa fiche de préparation à ses séances et gérer sa programmation avec Canoprof
Un retour d'utilisation très complet + séquence en #terminale #enseignements
twitter.com/gep_svt/status/154

Poujol 𝖱𝗈𝗌𝗍 ✅poujolrost@mstdn.jp
2022-04-18

Eliane #Assassi : « Le recours aux #cabinets #privés est devenu un réflexe »

La #sénatrice #PCF Eliane Assassi revient sur les #enseignements de la #commission d'enquête sénatoriale sur les cabinets de #conseil.

lvsl.fr/eliane-assassi-le-reco

mstdn.jp/media/JIfdBfU2PW7ak4J

Poujol 𝖱𝗈𝗌𝗍 ✅poujolrost@mstdn.jp
2022-01-21

[ 🔁 ]

#Candidats mentionnés dans les m#édias : à #droite toute !

Un #comptage éloquent.

@acrimed 🔗 mamot.fr/users/acrimed/statuse
-
#Zemmour truste les #heures d’antenne et la gauche doit se contenter des miettes. C'est l'un des #enseignements que l'on peut retenir du #travail mené par le chercheur Nicolas #Hervé, qui a compté le nombre d’occurrences des #noms de candidats (#TV et #radio) 👇
acrimed.org/Candidats-mentionn

mstdn.jp/media/sAWC4mrp6rOCFoR

2021-07-31

Bienvenue ici @anaiisz
J'imagine que tu as déjà fait des recherches sur les tags #éducationnationale #enseignements #veganisme #outilsnumériques etc... Quoi qu'il en soit je et plein d'ici j'en suis sûr te souhaitons de belles et intéressantes trouvailles. Bon pouets aussi !

2020-06-16

RT @CulturelinkFr@twitter.com

Malgré les #outils #numériques, les #enseignements #artistiques peinent à transmettre correctement la pratique à distance. Les écoles et les élèves craignent ne pas pouvoir retourner en classe à la #rentrée - @lemondefr@twitter.com
📷 Isabel Espanol
👉 bit.ly/37AWtQZ

🐦🔗: twitter.com/CulturelinkFr/stat

Poujol 𝖱𝗈𝗌𝗍 ✅poujolrost@mstdn.jp
2019-01-23

#Danger mortel pour le #lycée #professionnel

La #réforme du lycée professionnel soulève bien peu d' #indignations. Or, elle concerne près d'un quart des #lycéens que le #ministère ne semble pas considérer comme dignes de suivre des #enseignements généraux.

blogs.mediapart.fr/laurence-de

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