Lmst

#StopVSS

🚨 Enquête #METOOPOLICE : Qui nous protège de la Police ?

Les résultats de notre enquête sur les Violences Sexistes et Sexuelles (VSS) commises par les forces de l'ordre sont sans appel :
➡️ Les violences sexuelles représentent 60% des violences policières sexistes. C'est une réalité concrète.
➡️ La victimisation secondaire est omniprésente : 35% des victimes sont violentées par les forces de l'ordre au moment de déposer plainte pour d'autres violences.
➡️ L'uniforme, l'arme de service et l'impunité servent à contrôler et humilier les corps.

#MeTooPolice #NousToutes #ViolencesPolicieres #StopVSS #Impunity #Police #Justice

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Visuel avec le hashtag METOO POLICE et le texte "PLUS DE 200 TÉMOIGNAGES. POST 3/3. ENQUÊTE SUR LES VSS COMMISES PAR LES FORCES DE L'ORDRE. Quelles violences ?". Une personne aux cheveux roux est assise et se tient la tête, illustrant la détresse.

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Graphique à barres sur les violences commises par les forces de l'ordre, selon les victimes. Les chiffres sont : Injure (33%), Autre (31%), Harcèlement sexuel (25%), Agression sexuelle (20%), Agression physique (18%), Viol (11%), Ne souhaite pas préciser (4%), Exhibition sexuelle (4%). Texte : "Les forces de l'ordre commettent en premier lieu des violences de nature sexuelle (60% des réponses recueillies de la part des victimes). L'injure est la 2ème forme de violence."

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Graphique à barres sur les violences commises par les forces de l'ordre, selon les proches ou témoins. Les chiffres sont : Injure (47), Autre (32), Harcèlement sexuel (27), Agression physique (25), Agression sexuelle (20), Exhibition sexuelle (7), Viol (7), Ne souhaite pas préciser (2), Féminicide (2). Texte : "Les tendances sont similaires lorsque des proches ou témoins s'expriment. 2% des cas rapportés évoquent des féminicides commis par les forces de l'ordre."

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Texte: "Dans 35% des cas, les victimes subissent des violences de la part des forces de l'ordre, iustement orsqu'elles viennent déposer plainte pour des faits de violence. La victimisation secondaire est omniprésente dans notre enquête. Des proches font état de défense des agresseurs de la part des forces de l'ordre en contact avec les victimes... menant parfois à la mise en danger de a victime qui n'obtient pas la protection nécessaire."

Près de 300 manifestant·es ce soir à #Tours ont formé un cortège dynamique grâce à l'animation de @unionsolidaires entre le CCOD et la place du Monstre rebaptisée place des sorcières. Très belles prestations des chorales La p'tite rouge de Touraine et de La Clameur (non mixte).
#StopVSS #StopImpunité

Près de 300 manifestant·es ce soir à #Tours ont formé un cortège dynamique grâce à l'animation de @solidaires.org@bsky.brid.gy entre le CCOD et la place du Monstre rebaptisée place des sorcières. Très belles prestations des chorales La p'tite rouge de Touraine et de La Clameur (non mixte). #StopVSS #StopImpunité

RE: https://bsky.app/profile/did:plc:aex34rreb3e2hx4pav2de4vf/post/3m6ftd7a4b22g

📣 Aujourd’hui, on se mobilise !
Contre les violences sexistes , sexuelles et de genre.
Pour toustes celleux qu’on ignore, qu’on fait taire, qu’on invisibilise.

Ces derniers jours, nos voix féministes semblent étouffées ici — algorithmes, signalements, manque de visibilité… mais nous, on ne disparaît pas.
Nos luttes, nos colères et nos solidarités prennent la rue 💜✊

📢 Rejoignez-nous, partagez, relayez dans vos stories, faites circuler les infos.
Plus on est visibles, plus on est puissant·es !

La carte des manifs https://goo.gl/maps/atokx2BPidzjPmH49

#NousToutes #Féminisme #ViolencesSexistesEtSexuelles #22Novembre #MarcheFéministe #RasLeViol #StopVSS #EnsembleOnCompte

🔔 RAPPEL : MANIFESTATION DEMAIN !
Toustes là contre les violences sexistes, sexuelles et de genre !

➡️ Pour trouver l'heure et le lieu exact de la mobilisation dans votre ville, consultez notre site Internet ou les comptes des comités locaux.

👉 Laissez un 💜 en commentaire si vous vous mobilisez !

#Manifestation #StopVSS #NousToutes #22Novembre #25Novembre #StopViolences

RAPPEL : MANIFESTATION DEMAIN !
Toustes là contre les violences sexistes, sexuelles et de genre !

Ni oubli, ni silence, marchons contre les violences en #Bretagne. ✊

🚨 143 femmes ont été tuées par un homme depuis le début de l’année, selon NousToutesOrg.
🚨 En 2024, 272 400 femmes ont subi des violences conjugales. 
🚨 9 femmes sur 10 déclarent avoir été confrontées à des actes sexistes.  

Pas une de plus. 💜

#marcheféministe #stopVSS

Le 25 novembre est la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes et aux minorités de genre. Ces violences ne cessent d’augmenter dans notre société. Il est urgent de nous mobiliser pour y mettre fin. ✊

Les 22 et 25 novembre, les Écologistes seront présent·es partout en Bretagne aux côtés des collectifs et associations féministes pour exiger des moyens à la hauteur afin d’en finir avec les violences sexistes, sexuelles et de genre. 💜

#stopVSS

Les violences sexistes, sexuelles et de genre sont toujours omniprésentes. Elles ne sont pas une fatalité.

Ce week-end et le 25 novembre, mobilisons-nous partout en France pour exiger justice, protection et égalité. 💜

📍 Dates des rassemblements en Bretagne à venir.

#stopVSS #moncorpsmonchoix #feminisme #adelphite

✊ Nos revendications restent les mêmes : il est urgent de croire les victimes, de les soutenir et de garantir leur protection.
Tu n'es pas seule. On te croit 🫂

👉 Victime ou témoin de violences ?
Appelez le 3919 (appel anonyme et gratuit, 24h/24, 7j/7).

#AffaireNekfeu #StopVSS #ViolencesConjugales #ContrôleCoercitif #JeTeCrois #NousToutes #3919 #ViolencesDeGenre #JusticePourToutes

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La Diapositive est sur fond violet foncé.

Titres sur bandeau blanc : “Le cycle des violences conjugales”

Ensuite, apparaissent 4 étiquettes, avec des flèches qui semblent montrer un mouvement circulaire de l'une à l'autre.

Titre en gras de la 1ère étiquette : “Climat de tension”, entre parenthèses : “irritabilité, silence, intimidations”,

Titre en gras de la 2e étiquette : “Agression, explosion de violence”, entre parenthèses : “psychologique, physique, sexuelle, etc.”,

Titre en gras de la 3e étiquette : ”Justifications et inversion”, entre parenthèses : “minimisation, reproches, responsabilité rejetée sur la victime”,

Titre en gras et entre guillemets de la 4e étiquette : “Lune de miel”, entre parenthèses : “Excuses, promesses de changer de comportement, etc.”.

Diapositive découpée sur la largeur, violet foncé en haut, blanc en bas.

Partie supérieure. Titre sur bandeau blanc : “Même après la séparation, la violence ne s'arrête pas”.

Texte : “Dans ce cas, Ken Samara continue d'exercer une emprise sur Dina B. à travers la garde parentale, les menaces implicites et la manipulation”

Partie inférieure.Texte : “La justice commence à reconnaître que la violence ne disparaît pas avec la séparation et que ces comportements constituent un danger réel.
La violence peut continuer même quand on arrive enfin à quitter le conjoint, en témoigne le nombre de féminicides perpétrés après une séparation”, texte en gras : “30% des appels pour violence conjugale au 39 19 concernent des violences post séparation”.

Diapositive découpée sur la largeur, violet foncé en haut, blanc en bas.

Partie supérieure. Texte : “Cette affaire, ce n'est pas juste une énième affaire de stars abusive”, texte en gras : “c'est la démonstration de la violence au sein du couple”.

La partie inférieure, avec un titre en gras : “C’est du contrôle coercitif”, et de 4 éléments précédés par une flèche :

“Violence physique et psychologique,

Harcèlement et intimidation,

Isolement et manipulation,

Utilisation des enfants comme levier de pression”.

Animation : Une personne, brune, cheveux courts, habillée chaudement avec des gants, porte une pancarte sur lequel est notée : “Je te crois”.

📢 Nous exigeons :
✅ Une écoute respectueuse
✅ Une justice accessible
✅ Des professionnel·les formé·es
✅ Une prise en charge sans jugement

Il est temps de mettre fin aux violences systémiques.

#JeTeCrois #StopVSS #VictimisationSecondaire #JusticePourLesVictimes #NousToutes #ViolencesSexistes

Titre : La victimisation secondaire n'est pas une expression

Premier paragraphe : La France a signé et ratifié la Convention d'istanbul en 2014. Cela l'engage à prévenir les VSS, protéger les victimes, et garantir une justice efficace. Mais dans la réalité, ces engagements ne sont pas tenus.

Second paragraphe : Ces manquements ont été clairement dénoncés par le Groupe d'experts sur la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique (GREVIO). II a condamné la France à plusieurs reprises, pointant un manque de coordination nationale, une justice inefficace, et des protections insuffisantes pour les victimes.

Texte :
Aujourd'hui encore, les victimes font face à:
- des refus, des découragements au moment de porter plainte
un manque de formation des professionnellEs, police, justice, santé.
- des classements sans suite injustifiés,
- une prise en charge souvent maltraitante.

Illustration : une personne assise dans un fauteuil roulant, tient un mégaphone, et l'autre poing levé.

$Premier paragraphe : Autrement dit : la France ne respecte pas ses engagements européens. Elle est en infraction vis-à-vis du droit européen et continue d'exposer les victimes à une double violence : celle de l'agresseur, et celle des institutions. Des symboles ne suffisent plus. Il faut un changement profond, structurel, et politique. Second paragraphe : Tant que la justice ne sera pas réellement accessible, tant que l'État ne prendra pas ses responsabilités, les droits des victimes resteront bafoués. Illustration : une personne est dessinée, qui parle dans un mégaphone, l'air déterminé, les cheveux au vent.$

Titre : revendications et solutions

Texte, sous forme de liste :

- Soutien aux victimes : ajouter 15 000 places d'hébergement par an.
- Protection de l'enfance : Application des recommandations de la CIIVISE.
- Accompagnement au travail : 10 jours d'absence rémunérée pour les victimes.
- Justice, santé, sécurité : Recrutement de personnel formé (judiciaire, médical, social).
- Reconnaissance et information : Campagnes de sensibilisation et information sur les droits et aides disponibles.

Toutes nos revendications détaillées sur https://www.noustoutes.org/les-revendications/

Et pourtant, aujourd’hui encore :
❌ Refus de plainte
❌ Classements sans suite
❌ Interrogatoires culpabilisants
❌ "C’est pas si grave", "Vous n’avez pas assez de preuves", "Vous étiez habillée comment ?"

👉 Ça s’appelle de la victimisation secondaire.
👉 Et c’est une violence en soi, infligée par les institutions censées protéger.

#JeTeCrois #StopVSS #VictimisationSecondaire #JusticePourLesVictimes #NousToutes #ViolencesSexistes

Titre : La nécessité d'une reconnaissance

Texte : ll s'agit d'abord de remettre l'expérience de la victime au cœur de la procédure, en assurant une écoute sincère, respectueuse et sans jugement.
Reconnaître
cette violence institutionnelle, c'est admettre que nos structures échouent trop souvent à protéger et à rendre justice aux victimes de VSS.

Illustration : un personnage aux cheveux longs ondulés, tient haut une pancarte où est inscrit en lettres capitales : je te crois.

Texte, dans une grande bulle blanche : C'est aussi ouvrir la voie à une forme
de justice plus humaine et réparatrice, qui prend enfin en compte la réalité de ce que vivent les personnes victimes.
Trop souvent, leur parole est mise en doute, discréditée, voire instrumentalisée, ce qui les condamne à une double peine : celle des violences subies, et celle infligée par le traitement qu'on leur réserve.

Illustration, au dessus de la bulle de texte : cinq portraits, aux traits féminins, diversifiés, voile ou cheveux de texture et de longueurs différentes, visages semblant tous très détendus, sérénité.

Titre : la reconnaissance de ce droit en France, en 2025

Texte : Le 14 mai 2025, Gérard Depardieu est reconnu coupable d'agressions sexuelles sur 2 figurantes du film Les Volets Verts, tourné en 2021.
Le tribunal a condamné Depardieu à verser 1 000€ supplémentaire à chacune des victimes pour victimisation secondaire, en raison de
la violence des propos tenus par son avocat durant les 4 jours de procès du 24 au 27 mars 2025. Son avocat, Jérémie Assous, a tenu de nombreux propos violents envers les victimes et les avocatEs de la partie civile.

Illustration : portrait de Gérard Depardieu, semble agressif.

Titre : ce n'est pas une nouveauté

Texte : La notion de victimisation secondaire a été introduite par la Convention d'Istanbul du Conseil de l'Europe en 2011 (en vigueur depuis 2014), qui oblige les États membres à protéger les victimes de violences, y compris contre les mauvais traitements institutionnels.
C'est une véritable notion en droit qui existe depuis un moment mais elle reste encore assez méconnue en France.

Illustration : deux personnages sont dessinés. Le premier au dessus de l'autre, cheveux courts, visage en colère, bras en avant et au dessus de l'autre personnage, visage apeuré, cheveux longs, bras tendus en avant, semble vouloir se protéger.

✊ Assez de la victimisation secondaire !
Quand une victime de VSS parle, elle ne devrait pas être ignorée, culpabilisée, ni maltraitée par le système.

#JeTeCrois #StopVSS #VictimisationSecondaire #JusticePourLesVictimes #NousToutes #ViolencesSexistes

Titre : Qu'est-ce que la victimisation secondaire ?

Texte : Elle désigne l'ensemble des préjudices subis par une victime après les faits, du fait des institutions, des professionnellEs ou de la société
Elle survient notamment lors de démarches judiciaires ou médicales, quand le traitement réservé à la victime renforce ou répète le traumatisme initial.

Illustration : une personne qui se protège de ses mains, bras en avant. Ainsi, on ne voit que ses mains ouvertes devant son visage, et ses cheveux longs.

Texte : Dans les affaires de violences sexuelles et sexistes, VSS, la victimisation secondaire est fréquente : propos culpabilisants, minimisation des faits, interrogatoires intrusifs ou manque de soutien adapté.

Illustration : une victime, cheveux au carré, qu'on voit jusqu'aux hanches, est assaillie par des bulles de texte qui la cachent partiellement : c'est pas si grave, vous n'avez pas assez de preuves, ça ne servira à rien, vous étiez habillée comment, vous n'aviez qu'à pas, vous risquez une fausse accusation, y a pas mort d'homme…

⚖️ Porter plainte pour VSS : un parcours long, douloureux… et trop souvent décourageant.

👉 Déposer plainte signifie revivre plusieurs fois son traumatisme :
🔹 Déclarations répétées
🔹 Examens médicaux et psychologiques
🔹 Auditions, parfois face à l’agresseur·euse
🔹 Et souvent, un manque cruel d’écoute et d’accompagnement…

💬 Ce parcours, déjà difficile, est encore aggravé par des institutions mal formées, peu bienveillantes ou maltraitantes.

✊ Chez @noustoutesorg, on milite pour un accueil digne et respectueux des victimes.
➡️ Informons-nous, soutenons les survivant·es, exigeons une vraie justice.

#VSS #JusticePourLesVictimes #NousToutes #StopVSS

Sur cette diapositive, on trouve un texte et une illustration en dessous.
Tout d'abord, en petit et en violet : "Commentaires lus sous les articles d'hommes accusés."
En dessous, en lettres capitales, surligné en jaune et entre guillemets : "c'est fou, ces mecs là se font toujours accuser quand ils réussissent, jamais avant."
Encore en dessous, en violet et en gras : "Cette croyance encore très ancrée prouvent que les démarches qu'entament les victimes de VSS sont très peu connues."
En dessous, en petit et en violet : "Autre phrase lue sous un article de presse "
Une autre citation vient ensuite, en lettres capitales, surlignée en jaune, entre guillemets : "Le type démarre un nouveau projet, et du coup l'ex qui débarque : ah il m'a tapée au fait ! Comme par hasard !"
Au bas de la diapositive, une femme brune est dessinée, avec du gros scotch sur la bouche. La tête un peu en arrière, les yeux fermés, elle semble subir ce bâillonnement. Derrière elle, est écrit le hashtag metoo en grandes lettres blanches.

Sur cette troisième diapositive, on trouve un texte et une illustration en dessous.
Dans un premier paragraphe, le texte, en violet et en petit est le suivant : "les démarches sont donc longues, compliquées et semées d'embûches". Les mots longues, compliquées et semées d'embûches sont en gras.
Dans un deuxième paragraphe, le texte est toujours petit et violet : "Durant le dépôt de plainte, la victime pourra être confrontée à des propos comme"
Et dessous, en lettres capitales et en gras, surlignées en jaune, deux questions entre guillemets : "vous êtes-vous débattue ?" et "avez-vous crié ?"
En dessous après un saut de ligne, cette phrase apparaît en gras : "Sa parole sera constamment remise en question..."
Enfin, une dernière phrase exclamative en petit et violet vient conclure la diapositive : "Puisqu'il faut le rappeler encore et toujours : une victime n'est jamais responsable des violences qu'elle subit !" Le mot jamais est en lettres capitales et en gras.
En bas de la diapositive, est dessinée une personne aux cheveux longs bruns étalés au-dessus d'elle, qui semble allongée, les deux mains sur la tête. De son visage, on ne voit que les sourcils. Elle porte des écouteurs, dont le câble court sur son sweatshirt vert foncé. Sur l'endroit où serait sa bouche, l'ombre d'une main, comme pour lui interdire de parler.

Sur cette quatrième diapositive, on trouve un texte en trois paragraphes, écrits en petit et violet, et une illustration en dessous.
Le premier paragraphe tient en une phrase : "On est en réalité sur un mécanisme de violence : la parole de la victime est dévalorisée et culpabilisée". À partir du mot mécanisme, tout est en gras.
Le deuxième paragraphe est le suivant : "Ce qui va renforcer I'isolement de la victime qui peut se sentir démunie face à ce genre de commentaires, se mettre en retrait et finalement ne pas aller au bout de la procédure."
Enfin, entièrement en gras, le troisième paragraphe : "Ces remarques créent un climat de doute constant, accentuent le traumatisme, et font obstacle à la poursuite des procédures."
En bas de diapositive, une personne est assise au sol, la tête dans les genoux. Elle porte un pantalon noir et un t-shirt blanc, des chaussettes rayées. Ses cheveux roux sont longs et ébouriffés, son dos arrondi.

La députée bruxelloise Sofia Bennani (Les Engagés) propose de lutter contre les VSS en distribuant… des sifflets. Logique, pour un parti anti-Evras, anti-IVG, qui a même nommé un homme ministre des Droits des femmes.
#ViolencesSexistes #StopVSS #Patriarcat #Féminisme #LesEngagés #PolitiqueBelge #SiffletGate #CultureDuViol #RasLeViol #DrakeMeme

🌿 Briser le silence, semer le respect

🟢 STOP aux violences sexistes et sexuelles ! Fier de suivre une formation obligatoire chez Les @LesEcologistes. Merci à Sixtine pour son engagement et sa pédagogie.

📊 Un fléau qui touche toute la société. Comprendre, c'est déjà agir !

📽️ Regardez cette vidéo essentielle : https://youtu.be/S-50iVx_yxU

🔗 Ressources locales : https://www.bordeaux.fr/p152320/la-lutte-contre-les-violences-faites-aux-femmes-a-bordeaux

✊ #Consentement #StopVSS #NeRienLaisserPasser

📌 En pratique :

📄 Télécharger toutes les affiches :
🔗 http://fr.ap-hm.fr/sites/default/files/files/mini-site/violences-sexistes-sexuelles-ap-hm/affiches/pdf/affiches-violences-sexistes-et-sexuelles.pdf

🌐 Découvrez le site web dédié accessible en interne et en externe :
🔗 http://fr.ap-hm.fr/site/violences-sexistes-et-sexuelles

[ #StopVSS ]

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Et toujours : CHLOÉ ON TE CROIT.

#BD #bandedessinee #fibd #festivalbd #festivalangouleme #stopvss

✊ Comme chaque année, les Féministes anticapitalistes et la Gauche anticapitaliste étaient présentes à la manif, pour exiger : un plan d’investissement massif pour la prévention contre les violences sexistes et sexuelles; le refinancement du secteur non-marchand, largement féminisé; la régularisation de toutes les personnes sans papiers.

#feminisme #revolution #stopVSS

Pour celleux qui en ont marre qu'on entende parler des cyclistes qui créent des bouchons en mangeant des chatons, des pistes cyclables qui grilllent les feux, et des trottoirs qui tuent les commerces, voici une variante sur la cuisson des patates.

#StopVSS #StopViolencesMotorisées #TraitementMédiatique #BiaisDeCadrage #VictimBlaming #InversionDesResponsabilités

Vignette d'un post sur les réseaux sociaux d'un article de 20min.ch :
"Haute-Savoie : Il frappe sa femme à cause de la cuisson des patates"

Post Linkedin d'Antonin ATGER, à propos de l'article de 20min.ch (image précédente) :
Ce titre d'article de 20 Minutes France est, bien évidemment, une honte, mais essayons de comprendre pourquoi.
En présentant ce drame ainsi, le journal fait ce que l'on appelle un "biais de cadrage".
Cela signifie qu'il présente l'information selon un certain angle, et non un autre. Par exemple, il aurait pu mettre en avant l'aspect "violence conjugale", ne même pas parler de la cuisson des pommes de terre. Mais non, il a choisi de faire une touche d'humour.
Il est également très important de rappeler que corrélation ne signifie pas causalité. Ce n'est pas parce que les patates n'étaient pas cuite que l'agression a eu lieu. C'est parce que son mari l'a agressé, que l'agression a eu lieu. La cuisson n'était qu'un prétexte. C'est donc un choix grave que fait le journal avec ce titre.
"Prenant pour prétexte une cuisson ratée, un homme agresse sa femme."
Tout de suite, l'approche est différente, n'est ce pas ? Pourtant je dis exactement la même chose.

Suite et fin du post :
En choisissant ce titre, 20 minutes exonère la responsabilité du mari, puisque la cause de la violence, c'est la cuisson des patates.
Cela montre une fois de plus qu'un titre d'article n'est jamais neutre. Il y a toujours une intention derrière. Ici, peut-être s'agissait-il simplement d'attirer l'attention, de faire de l'humour ou de maladroitement dénoncer cet acte. Dans tous les cas, c'est raté.
Bref, ce titre est une honte. Assurons-nous que les journaux n'utilisent plus jamais ce genre d'accroches pour attirer leur lectorat.

Holà ! :blob_cat_innocent:

Voici des dates chouettes pour la semaine contre les violences sexistes et sexuelles. Le point d'orgue sera le vendredi 25 avec la marche au flambeau 👾🔥

Au plaisir de se croiser :autumnleaf6:

#StopFemicide #StopVSS #ABasLePatriarcat #transfeminisme

#StopVSS

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