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New decision UCI
Rider: Christian Kornum
Product: Methylphenidate
Race: Championnats du Danemark U23
Positive control
Date of control: 11/05/2024
Sanction: Suspension 2 years
End of sanction: 04/07/2026
https://www.flashscore.com/news/young-danish-cycling-talent-handed-a-two-year-doping-suspension/Cnn9LAHD/ #cycling #doping #UCI
Nouvelle décision ADD
Coureur : Christian Kornum
Produit : Methylphenidate
Course : Championnats du Danemark U23
Date du contrôle : 11/05/2024
Sanction : Suspension 2 ans
Fin de la sanction : 04/07/2026
Equipe : Team Aalborg-Sparekassen Danmark
https://www.flashscore.com/news/young-danish-cycling-talent-handed-a-two-year-doping-suspension/Cnn9LAHD/ #cyclisme #dopage #UCI
フォロワーさん経由で回ってきたこの記事。
8/1からSRAMの一部ギア比が使用禁止となるレースあり。UCIによる最大ギア比制限のテストで禁止されるギア比とは?
最低ハンドルバー幅の改定は女性など小柄な選手の安全を脅かすとして各方面から問題視されているが、このギア比制限は特定のメーカーを陥れることになるかもしれない。そもそもギア比を制限してもダウンヒルの速度は下がらない。速すぎるペロトンが問題だというなら、もう少しマシな解決策を出してきてほしい。
#マストドン自転車部 #ロードサイクリング #UCI
UCI のルール改定で来年からハンドルバーの最低幅が 400mm になる。極端に狭いハンドルバーだと安全性が損なわれるからという議論はわかるが、なぜ一律に 400mm なのだ。女性など、背の低いライダーには 400mm だと広すぎるし空力的優位性もない。すでにバイクフィッティング団体から公開書簡が送られている。UCI は再考してほしい。
#マストドン自転車部 #ロードサイクリング #UCI
Bike fitters hit out at the UCI's new handlebar width rules, highlighting increased risk of long-term injury in women
This is a perplexing change to me, too. IBFI's concern that "current implementation lacks adequate consideration of human biomechanics and rider safety" is spot on. What is UCI thinking?
#RoadCycling #BikeTooter #UCI
L’infolettre du 16 juin 2025 : retour sur le Dauphiné, les nouvelles règles de l’UCI, le WorldTour 2026…
Critérium du Dauphiné : et dire que c’est une répétition de juillet…
On espère que celles et ceux qui apprécient le suspense ont profité de ce contre-la-montre du Critérium du Dauphiné, ces 17 kilomètres autour de Saint-Péray durant lesquels le Slovène Tadej Pogacar (UAE Team Emirates-XRG) a montré ses seuls signes de faiblesse de la semaine. Près de cinquante secondes cédées à Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step), vainqueur du jour, et plus d’une trentaine sur son rival Jonas Vingegaard (Team Visma | Lease a Bike), voilà qui contrastait avec la vivacité affichée dès l’étape d’ouverture en Auvergne. Et si “Pogi” payait son printemps exceptionnel, ses attaques permanentes et sa position de favori ?
Le Slovène a rapidement montré sur les hauteurs que ce chrono manqué (et encore, sa quatrième place indique bien qu’il n’était en aucun cas largué) n’était qu’une moins bonne journée parmi d’autres. Pas d’inquiétude dans le camp du champion du monde, malgré des signes d’énervement rapporté par des journalistes scrutant la moindre inquiétude dans le chef d’un coureur à qui tout réussit depuis plus de deux saisons. C’est ainsi qu’à Combloux, sur des côtes pentues, mais assez courtes (moins d’un quart d’heure d’efforts), Pogacar a pu afficher sa domination sans partage. Son explosivité n’est plus à démontrer, mais le n°1 mondial a en prime confirmé qu’il était indétrônable sur des efforts intenses d’une dizaine de minutes. Pendant que ses adversaires sont asphyxiés, il poursuit à une cadence d’enfer, les hanches solides, le tronc fixe, le regard déterminé. Et il creuse ainsi rapidement un avantage, qu’il n’a plus qu’à gérer sur les parties sur lesquelles il apparaît moins fort (même s’il est finalement meilleur que ses rivaux, déjà usés par ses précédentes attaques).
Photo : ASO/Tony EsnaultIl a fait de même sur l’étape-reine vers Valmeinier 1800, avant de jouer avec Vingegaard lors de la dernière journée de course sur le Plateau du Mont-Cenis. Trois jours en Savoie pour écraser la concurrence et voici le scénario du Tour de France déjà écrit pour certains. Il faut dire que la réussite sportive de Pogacar sur un tel mélange de terrains ne laisse que peu de doute à la tentation du Slovène d’attaquer dès que la pente dépasse les 10% ou dès qu’une opportunité de partir en solitaire se présente. Et dire qu’il n’y avait pas Adam Yates ou João Almeida sur ce Dauphiné…
Car derrière, malgré une force collective impressionnante, l’équipe Visma | Lease a Bike n’a pas encore réussi à trouver la parade pour surprendre Pogacar. Sepp Kuss, Matteo Jorgenson et même Ben Tulett étaient bien prêts, mais ils n’ont jamais profité de cette supériorité. L’erreur des “abeilles” aura certainement été de rouler comme des furieux dans le Mont Saxonnex à plus de 45 kilomètres de l’arrivée, avant de laisser les équipiers de Pogacar revenir et ainsi les décimer un à un vers Combloux, le début de la fin pour Vingegaard. Mais même lorsque les hommes de Richard Plugge ont tenté un semblant d’offensive sur la dernière étape, chaque essai s’est transformé en échec cuisant. Alors le Danois a essayé en dernier recours, appelant des relais du maillot jaune dès que possible, comme s’il avait compris qu’il n’y avait plus que la deuxième place à consolider.
“Tadej a été plus fort, il faut le dire. Mes données sont plutôt bonnes”, a répété Vingegaard au micro d’Eurosport, pour se rassurer. “Je dois travailler un peu tout” d’ici au Tour de France, “l’accélération, les ascensions plus longues”, a-t-il ajouté, sachant qu’il y a toujours l’épée de Pogacar prête à frapper à chaque montée. Le Slovène, lui, voit son plan se passer à la perfection, même avec cette quatrième place lors du contre-la-montre. “Une semaine avec beaucoup de positif, et les quelques éléments négatifs se sont transformés en positif”, a-t-il confié en conférence de presse après l’épreuve. L’avantage est encore plus mental que physique, même si ces trois semaines en vue du départ à Lille indiquent la nécessité de rentrer dans un moule jusqu’à la première étape, sans pépin.
Le plus inquiet de la semaine pourrait être Remco Evenepoel. Le Belge a confirmé son statut de champion du monde du contre-la-montre à Saint-Péray, avant de subir la loi des meilleurs grimpeurs du plateau, se faisant même chiper la troisième place du général par l’Allemand Florian Lipowitz (Red Bull-Bora-Hansgrohe), une menace de plus en plus solide depuis ses premières places d’honneur sur les courses du WorldTour en 2024. “L’année dernière, j’avais fini septième ici et les deux autres (Pogacar et Vingegaard) n’étaient pas là. En finissant à la quatrième place, je dois me dire que c’est mieux”, a confié Evenepoel à la presse belge, selon des propos rapportés par Le Soir. C’est en effet mieux, alors que le coureur de Schepdaal avait ensuite conclu la Grande Boucle sur la troisième marche du podium.
Mais, incapable de répliquer aux accélérations explosives, le Belge est clairement apparu comme le suiveur qui ne pourra espérer mieux s’il ne change pas de tactique. Cela dépend en tout cas de l’objectif d’Evenepoel : s’accrocher tant et plus pour un nouveau podium et un nouveau maillot blanc, ou essayer de surprendre pour au moins accrocher une victoire d’étape en ligne, voire un autre maillot, quitte à perdre du temps au général ? Car sans Mikel Landa ou Louis Vervaeke à ses côtés, et même si Valentin Paret-Peintre a paru s’améliorer avec le temps sur le Dauphiné, l’équipe Soudal Quick-Step apparaît bien légère face aux armadas de Vingegaard et Pogacar. Il est déjà l’heure de faire un choix lors de ce stage à Tignes qui permettra d’affiner la condition en vue de ce grand rendez-vous de juillet.
Grégory Ienco
L’UCI enterre le projet OneCycling et perpétue le WorldTour dès 2026
Serait-ce l’enterrement de première classe du projet OneCycling ? L’Union Cycliste Internationale (UCI) semble en tout cas acter l’absence de compromis autour de cet espoir de réforme du calendrier international. Pas question pour la fédération internationale d’accéder au souhait des sécessionnistes d’un calendrier revu au profit des plus grandes équipes, sur les plus grandes épreuves, comme le projet, toujours évoqué à demi-mot, se profile. Sans le plus grand organisateur de courses cyclistes, ASO (notamment en charge du Tour de France et de Paris-Roubaix, entre beaucoup d’autres), sans la première équipe du peloton, UAE Team Emirates-XRG, et désormais sans le soutien de l’UCI, qu’adviendra-t-il de ce projet envisagé avec le soutien d’un fonds d’investissement saoudien ? Surtout qu’on n’en sait toujours pas grand-chose, hors bruissements dans les médias spécialisés, et que la date annoncée de 2026 semble plutôt être de l’optimisme béat pour valoriser un produit d’appel, qu’un véritable objectif sportif.
Le constat de l’UCI, après le vote du Conseil du cyclisme professionnel, représentant l’ensemble des acteurs du sport, est clair : pas question de laisser une place à OneCycling en l’état. “Le projet, développé par certaines équipes et organisateurs, en collaboration avec un fonds d’investissement spécialisé dans le sport, a été jugé incompatible avec le cadre de gouvernance et réglementaire de l’UCI et manquant de cohérence sportive”, indique la fédération par voie de communiqué. “L’UCI, comme l’ensemble des parties prenantes du cyclisme, souhaite toutefois poursuivre les discussions avec les représentants de ce projet afin de collaborer sur l’internationalisation des calendriers de l’UCI Women’s WorldTour et de l’UCI WorldTour, et le développement économique de notre sport”, est-il toutefois précisé.
Le projet est donc plutôt repoussé, ou en tout cas, évité, le temps de trouver un compromis entre ceux qui veulent obtenir le fruit de ces investissements et ceux qui préfèrent garder un côté traditionnel dans ce sport historique. L’idéal serait évidemment un équilibre des deux, entre ces courses qui marquent l’histoire du cyclisme et les nouvelles attractions pour le public. Mais il s’agit de la tâche la plus complexe à mener.
L’UCI n’apporte pas encore de solution à cette énigme, mais propose de prolonger le WorldTour, l’actuel circuit dédié aux meilleurs du plateau, en revoyant certaines dates à la marge. Ainsi, chez les femmes, outre l’ajout d’À Travers la Flandre dans le calendrier WorldTour, notons le déplacement du Tour d’Italie féminin, le Giro Donne, de fin mai à début juin, afin d’éviter une confrontation directe avec le Tour de France masculin, comme ce fut le cas depuis le début du siècle. Cela déplace le Tour de Grande-Bretagne féminin en deuxième quinzaine d’août, et le Simac Ladies Tour des Pays-Bas à la mi-septembre. Pas de changement, par contre, chez les hommes, avec même les GP de Québec et de Montréal toujours prévu en septembre, moins de trois semaines avant les championnats du monde organisés… à Montréal.
L’UCI a par ailleurs décidé de nouvelles règles de participation et annonce que chez les hommes, toutes les organisations seront tenues à inviter les trois meilleures ProTeams de la saison précédente (contre deux actuellement, sauf pour les courses d’un jour). Les Grands Tours pourront y ajouter deux invitations de leur choix. Des changements seront aussi prévus pour redéfinir les points du classement UCI, déterminants pour la relégation ou la promotion sportive des WorldTeams et des ProTeams. La distribution de ces points a souvent fait grincer des dents en raison d’une différence parfois trop peu perceptible entre les courses du plus haut niveau et celle du barème antérieur. Ce qui permettait à des équipes d’accumuler des points sur des épreuves de moindre envergure, tout en délaissant le plus haut niveau. En outre, les courses de VTT, gravel et sur piste devraient également compter pour le classement UCI, a indiqué la fédération internationale.
Enfin, il a été acté que les coureurs de moins de 23 ans déjà inscrits en WorldTour ou dans une ProTeam ne pourront plus participer aux courses de Coupe des nations, outre les championnats du monde.
De nouvelles restrictions techniques pour plus de sécurité ?
Entre deux annonces de calendriers et de réforme refusée, l’Union Cycliste Internationale a également annoncé une série de nouvelles restrictions techniques sur les équipements des cyclistes. Les innovations sont en effet légion, chaque saison, et si les équipementiers tendent à pousser toujours plus loin les limites du règlement de l’UCI, toute nouveauté doit obtenir l’approbation de la fédération internationale en amont, avant d’être proposé en course. Chaque vélo est donc scruté sur chaque épreuve, prouvant que la technologie bouscule également la compétition, outre la préparation physique et mentale. On a ainsi vu fleurir cette saison des fourches plus aérodynamiques, des guidons plus étroits, des jantes plus hautes… Autant de nouveaux équipements qui interrogent l’UCI sur ce qui est équitable, sûr ou non.
Ainsi, dès 2026, la hauteur maximale des jantes de vélo avec départ groupé sera fixée à 65 mm. La largeur minimale totale des guidons (soit entre les bords extérieurs) pour les épreuves sur route et de cyclo-cross sera fixée à 400 mm, avec une largeur intérieure de 320 mm entre les leviers de frein. Cette largeur minimale sera même de 350 mm pour les épreuves sur piste dès 2027. Une largeur interne de fourche maximale de 115 mm à l’avant et de 145 mm à l’arrière sera autorisée pour les épreuves sur route dès 2026 et pour les courses sur piste dès 2027. Enfin, le comité directeur de l’UCI a indiqué que “les spécifications relatives aux casques pouvant être utilisés” en contre-la-montre et sur les courses en ligne “seront clarifiées à compter du 1er janvier 2026”, sans préciser quelles seront ces clarifications.
Selon l’UCI, ces dispositions sont mises en place sur proposition de la commission équipement et nouvelles technologies, et sur recommandation de SafeR, l’entité indépendante et composée d’acteurs du monde cycliste et de la fédération pour améliorer la sécurité dans le cyclisme professionnel. Les propositions semblent être pleines de bon sens : limiter la technologie pour éviter que les cyclistes aillent encore plus vite, quitte à se mettre en danger, voilà qui semble logique. Mais certaines de ces mesures auront des implications importantes pour certaines catégories de cyclistes.
Ainsi, la mise en place d’une largeur minimum aussi importante pour les guidons est un désavantage pour plusieurs femmes (principalement) et hommes de plus petite taille. La Néo-Zélandaise Niamh Fischer-Black a ainsi publié sur Instagram une photo d’elle, avec un mètre permettant de voir que l’espace entre ses épaules est de moins de 32 cm. Un guidon de 40 cm minimum pourrait donc être clairement un désavantage. Sur BikeRadar, une source interne explique que Cervélo devrait changer les guidons pour 14 des 18 coureuses de l’équipe Visma-Lease a Bike suite à cette nouvelle règle.
Photo : Instagram Niamh Fisher-BlackAussi, l’industrie cycliste, dont dépend déjà grandement le peloton professionnel, continuera-t-elle à poursuivre ses efforts d’innovation si l’UCI vient chaque année apporter des corrections dont l’efficacité sur la sécurité n’est pas encore certaine. A contrario, la sécurité évoquée par la fédération internationale comme une priorité ne doit-elle pas justement être au-dessus de tout ? L’équilibre n’est pas simple. Il est toutefois certain que les autorités ne peuvent pas se cacher indéfiniment derrière les limite d’innovations et doivent également présenter des mesures concrètes pour améliorer la sécurité des coureurs sur les parcours, pour éviter des scènes comme celle d’une voiture qui a failli renverser l’échappée sur le récent Critérium du Dauphiné.
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La Fédération française de cyclisme (FFC) a confirmé les quotas des sélections présentes du 21 au 28 septembre prochains aux championnats du monde sur route au Rwanda. Les élites seront bien au complet chez les hommes et chez les femmes, mais le total des groupes des espoirs et juniors hommes et femmes sera limité à 12 cyclistes. La FFC n’a par ailleurs pas exclu de permettre à des sélectionnés de doublonner avec les championnats d’Europe, organisés en Drôme-Ardèche, une semaine après.
La fédération néerlandaise de cyclisme (KNWU) avait annoncé en début d’année qu’elle n’enverrait que des équipes élites sur les championnats du monde sur route prévus au Rwanda, en septembre. Grâce à un partenariat annoncé avec Rabobank, la KNWU a finalement annoncé cette semaine qu’elle enverra un petit groupe de juniors masculins sur les épreuves de Kigali. La sélection néerlandaise des espoirs masculins sera par ailleurs aussi présente au Tour de l’Avenir et aux championnats d’Europe, en octobre, alors que ces participations n’étaient jusqu’ici pas au programme.
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L’équipe Unibet Tietema Rockets continue d’innover pour mettre en avant ses supporters et leur offrir une autre expérience du cyclisme moderne. La formation franco-néerlandaise propose à celles et ceux qui réaliseront au moins 25 euros d’achat sur leur boutique en ligne d’obtenir une chance d’inscrire son nom comme partenaire de l’équipe, le temps d’une course. Une initiative qui permet donc de remplir les caisses, d’assurer la fidélité des supporters et de faire grandir le noyau de fans. La ProTeam n’a toutefois pas encore précisé sur quelle course ce changement aura lieu.
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#CritériumDuDauphiné #CyclismeSurRoute #JonasVingegaard #OneCycling #RemcoEvenepoel #TadejPogacar #Technologie #UCI #UCIWomenSWorldTour #UCIWorldTour
War das jetzt Respekt oder respektlos wie #TadejPogacar #JonasVingegaard den 2. Platz bei der #Dauphine überlassen hat? Das sah ja fast gelangweilt aus als Jonas den Sprint anzog.
#radrennen #radsport #radprofi #criteriumdudauphine #worldtour #UCI
#LanceArmstrong's most loyal teammate, and current collaborator. What could go wrong?
#cycling
"George #Hincapie, a former US Pro road national champion and Tour de France stage winner, and his brother Rich #Hincapie are among a collaboration of friends who plan to make a return to the peloton in 2026 with a men's road team, with the intent to register as a #UCI ProTeam for international competition
"The team is expected to be based in Girona, Spain”
https://www.cyclingnews.com/news/george-hincapie-and-three-other-us-champions-set-to-lead-new-us-road-team-in-2026/
UCI Puts the Brakes on One Cycling Project—At Least for Now!
...#OneCycling #CyclingNews #UCI #WorldTour #CyclingCalendar #VismaLeaseABike #RichardPlugge #CyclingInvestments #WomenCycling #GirodItaliaWomen #CyclingEconomy #SportsInvestments #CyclingDevelopment #CyclingRaces #CyclingFuture Source link The highly anticipated One Cycling project, aimed at reshaping professional cycling's business model, has encountered a significant setback as the Union Cycliste…
https://cyclereview.co.uk/uci-puts-the-brakes-on-one-cycling-project-at-least-for-now/
L’infolettre du 10 juin 2025 : la course pour le WorldTour se resserre, la Belgique au complet à Kigali…
XDS Astana Team bien parti pour rester, Picnic-PostNL et Cofidis en danger
Un peu plus de quatre mois avant la fin de la saison sur route, ce mois de juin est l’occasion de faire le point sur une bataille qui est devenue l’une des plus importantes du peloton contemporain : la lutte pour le maintien parmi les équipes du WorldTour. Depuis l’instauration par l’Union Cycliste Internationale (UCI) d’un critère sportif imposant aux candidats à la première division de se classer parmi les 18 meilleures équipes du peloton sur une période de trois saisons, les classements sont scrutés toutes les semaines, les mercatos s’animent un peu plus pour les équipes cherchant à accumuler les points et les listes de départ se diversifient. Il n’est plus question de miser sur les plus grandes courses pour enchaîner les résultats, puisque les équipes les plus riches, aux contingents les plus talentueux, dominent le plus souvent les podiums. Il faut plutôt accumuler des victoires et/ou places d’honneur sur des plus petites courses, qui s’avèrent bien rémunératrices quand l’addition se fait au cours de la saison. C’était déjà le cas en 2022, lorsque les équipes Lotto, Israel Premier Tech et Arkéa-B&B Hôtels se bagarraient pour une place parmi les 18 meilleurs des trois années écoulées. Le scénario se répète en 2025, avec cette fois XDS Astana Team, Cofidis, le Team Picnic-PostNL et Intermarché-Wanty comme principaux protagonistes.
En début de saison, tous les regards étaient posés sur XDS Astana Team, en grande difficulté après deux saisons catastrophiques, entre blessures à répétition et leaders en quête de résultats. Près de 5.000 points séparaient ainsi l’équipe kazakhe de la Cofidis, à la 18e place qualificative du WorldTour pour 2026. Mais rapidement, grâce aux arrivées des puncheurs tout-terrain tels que Clément Champoussin, Fausto Masnada, Diego Ulissi ou Mike Teunissen, sans oublier les habituels marqueurs de points sur des courses de moindre niveau comme Matteo Malucelli ou Aaron Gate, le groupe d’Alexandre Vinokourov a marqué par un esprit offensif et une technique de résultats collectifs : pas question d’avoir un seul leader, mais plusieurs coureurs capables de gagner des points sur chaque épreuve. Et dès janvier, la machine à points s’est enclenchée, à tel point que XDS Astana Team a longtemps été le podium du classement par équipes sur la saison 2025, seulement dépassé par le Team Visma | Lease a Bike cette semaine. Avec déjà près de 10.000 points en poche, l’équipe a tout simplement refait son retard et se protège petit à petit des assauts des autres formations en lutte pour le statut WorldTour.
Classement UCI Licences 2023-2025 – 09/06/2025“Nous avons 42 courses de plus au programme que la saison dernière ! Nous faisons ce que Lotto, Movistar ou Arkea faisaient en 2024 : mettre l’équipe A sur des petites courses”, expliquait fin avril Alexandre Vinokourov à Sudinfo. “Si Evenepoel et Vlasov viennent en Algarve, par exemple, on décline l’invitation. Idem au Gran Camino où Vingegaard avait tout gagné. On ne cherche pas non plus à tout prix à l’emporter, mais à placer le maximum de gars dans le top 10.” Et le pari sportif est en train de payer. Surtout, si le début de saison a démarré en fanfare, l’équipe n’a pas perdu sa force au fil des semaines. En mai, le collectif a encore brillé sur le Giro (deux victoires d’étape et le maillot de meilleur grimpeur) ou sur les Boucles de la Mayenne (succès final d’Aaron Gate). Autant de résultats qui pourront faire la différence d’ici à la fin de l’année.
Derrière, les autres équipes peuvent légitimement s’inquiéter. Malgré une première moitié de saison meilleure qu’en 2024, l’équipe Cofidis est dans la zone rouge et risque la relégation. “J’ai vu que Cédric Vasseur disait sur votre programme : ‘Non, on ne s’inquiète pas trop’. Ok, on verra bien. On va aller jusqu’au bout, on ne veut pas se relâcher”, a ainsi indiqué Alexandre Vinokourov dans Bistrot Vélo, sur Eurosport. Il y a effectivement à peine 500 points environ de différence entre la 17e et la 19e place, et même seulement 1.300 points avec la 16e place d’Intermarché-Wanty. Mais Cofidis a du souci à se faire si l’équipe ne parvient pas à mener la même politique sportive que XDS Astana Team sur les courses françaises, par exemple. Une victoire sur une .1, cela ne semble être “que” 125 points, mais avec plusieurs coureurs dans un Top 10 et des places d’honneur sur les étapes, on peut rapidement monter aux centaines de points.
L’inquiétude peut également poindre au sein du Team Picnic-PostNL, tout juste à la 18e place avec seulement 120 points d’avance sur Cofidis. L’équipe néerlandaise a également rempli son infirmerie en début de saison, avec pléthore de leaders absents pour la campagne printanière. Cela a pesé dans les chiffres, même si le groupe n’a pas non plus réalisé un mercato détonnant par rapport à ses adversaires directs pour le WorldTour. Avec en prime Romain Bardet qui va prendre sa retraite, l’équipe devra redoubler d’efforts pour espérer se maintenir parmi l’élite. Alors que dans le même temps, Lotto et Israel Premier Tech semblent déjà avoir assuré leur place parmi le top niveau, ce qui pourra leur permettre d’attirer des coureurs attirés par le WorldTour dès la saison prochaine.
Cette lutte ne concerne pas que le peloton masculin. Pour la première fois, les équipes féminines sont aussi concernées par cette règle sportive. Cette fois, ce sont les classements de 2024 et 2025 cumulés qui sont concernés pour désigner les 15 équipes représentantes du WorldTour durant la période 2026-2028 (ce sera bien tous les trois ans dès l’an prochain). Là aussi, la bataille fait rage pour éviter d’être sorti du Top 15. Ainsi, l’équipe EF Education-Oatly est la seule ProTeam à se placer parmi les candidates au WorldTour (12e), alors que Roland risque bien de perdre sa licence (18e). AG Insurance-Soudal, Uno-X Mobility et Human Powered Health restent pour leur part en sursis, face à VolkerWessels et Laboral Kutxa-Fundacion Euskadi, en embuscade.
Classement UCI Licences Femmes 2023-2025 – 09/06/2025La bataille est d’autant plus serrée que celle-ci se déroule sur deux saisons à peine, et que les courses sont moins nombreuses pour faire la différence. Ainsi, l’équipe suisse Roland qui avait réussi une saison acceptable en 2024 ne semble déjà plus en lice pour rester parmi l’élite vu ses 1.300 pauvres points accumulés jusqu’ici. La formation avait surtout profité de quelques courses exotiques, notamment au Salvador, pour faire sa place, mais cela ne suffit plus en 2025. Car les places sont bien plus chères, et toutes les équipes hors du Top 10 ont déjà accumulé plus de la moitié des points de leur dernière saison. Le rythme est plus soutenu pour garder sa place parmi les quinze premières. Les équipes en danger sont principalement AG Insurance-Soudal, Uno-X Mobility et Human Powered Health qui n’ont qu’entre 1.700 et 2.000 points d’avance sur VolkerWessels, une ProTeam qui s’offre beaucoup de points sur les courses de second niveau en Europe. Cela suffira-t-il pour surprendre les WorldTeams d’ici à la fin de l’année ? Les formations citées ci-avant doivent en tout cas rester attentives.
Grégory Ienco
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La Belgique ira au complet au Rwanda
Non, la Belgique ne manquera pas les prochains championnats du monde de cyclisme sur route au Rwanda ! Belgian Cycling, la fédération belge de cyclisme, a confirmé qu’elle présentera des sélections au complet à l’occasion des prochains Mondiaux programmés à Kigali. Elle justifie cette décision par les garanties apportées tant par le ministère des Affaires étrangères (qui n’a pas rendu d’avis négatif quant au voyage des cyclistes belges au Rwanda) que par l’Union Cycliste Internationale (UCI), prêt à défendre coûte que coûte son choix pour accueillir les premiers championnats du monde sur route sur le territoire africain.
Le doute était permis au vu de la guerre qui oppose depuis plusieurs mois l’armée de la République démocratique du Congo avec la milice anti-gouvernementale M23, soutenue par l’armée rwandaise, à l’est de la RDC. Un conflit qui se joue non loin de Kigali… Ces événements, ainsi que le coût du voyage jusqu’au Rwanda, ont poussé plusieurs fédérations européennes, dont les Pays-Bas et le Danemark, à réduire la voilure. Par exemple, en ne proposant pas de délégations de jeunes ou des sélections réduites au départ de ces Mondiaux.
Belgian Cycling, dont le président Tom Van Damme est, pour rappel, vice-président de l’UCI, précise que ce voyage à Kigali est dans les plans depuis l’an dernier, et que cette décision n’est finalement que la suite des préparatifs menés ces derniers mois par la fédération. À l’image de la reconnaissance organisée par le sélectionneur des espoirs et élites hommes Serge Pauwels en mars dernier sur le parcours des championnats du monde. Il reste désormais à savoir qui sera prêt à faire un tel voyage du 20 au 29 septembre prochain. Remco Evenepoel et Wout van Aert seraient candidats, tout comme Lotte Kopecky chez les femmes. Belgian Cycling précise que tout cycliste choisi pourra refuser sa sélection s’il ne se sent pas en sécurité.
Ce choix de maintenir toutes les équipes au départ est évidemment un soulagement pour l’UCI, qui compte depuis le début de l’année les sélections qui préfèrent se désister pour éviter des frais ou des risques importants. Convaincre les autres grandes fédérations ne sera pas simple, mais la décision de la Belgique pourrait en influencer d’autres. Cela sera déterminant pour assurer une concurrence aussi importante que lors des autres championnats du monde sur route.
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New provisional suspension UCI
Rider: Luis Carlos Chia Bermudez
Product: Phentermine
Positive control
Date of control: 10/04/2025
Team: Huansheng - Vonoa - Taishan Sport Team
https://assets.ctfassets.net/761l7gh5x5an/7cMvL0UKsrJd9We9RH1Imw/547ab7c8a38a907eda3641c6ac57109b/2025_06_02_Suspensions_provisoires_FR.pdf #cycling #doping #UCI
Nouvelle suspension provisoire UCI
Coureur : Luis Carlos Chia Bermudez
Produit : Phentermine
Date du contrôle : 10/04/2025
Equipe : Huansheng - Vonoa - Taishan Sport Team
https://assets.ctfassets.net/761l7gh5x5an/7cMvL0UKsrJd9We9RH1Imw/547ab7c8a38a907eda3641c6ac57109b/2025_06_02_Suspensions_provisoires_FR.pdf #cyclisme #dopage #UCI
Oh wow, krasses Chaoas beim #Giro2025 nach einer Reihe von Stürzen auf nasser Fahrbahn. Sah alles nicht sehr gut aus und wünsche allen Gestürzten gute Besserung! Wird die Etappe abgebrochen?
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L’infolettre du 12 mai 2025 : Vollering fait porter sa voix, la médiatisation du cyclisme…
Demi Vollering fait porter sa voix pour le bien de son sport
La saison des Grands Tours s’est ouverte la semaine dernière avec le Tour d’Espagne féminin, la Vuelta Femenina, qui a marqué la première bagarre entre grimpeuses entre Barcelone et l’Alto de Cotobello, dans les Asturies, au nord de la péninsule ibérique. La course a été marquée par la domination de la Néerlandaise Demi Vollering (FDJ-Suez), qui a parfaitement géré les ascensions des Lagunas de Neila, puis de l’Alto de Cotobello pour offrir à sa nouvelle équipe un premier Grand Tour. Elle a en prime obtenu le maillot à pois du classement de la montagne et pris la deuxième place du classement par points derrière l’autre double vainqueure d’étape de la semaine, sa compatriote Marianne Vos (Team Visma | Lease a Bike). La Suissesse Marlen Reusser (Movistar), deuxième à plus d’une minute au classement général, et la Néerlandaise Anna van der Breggen (SD Worx-Protime), troisième et lauréate d’une étape, soit sa première victoire depuis son retour dans le peloton, n’ont rien pu faire face à la spécialiste des longs cols.
Vollering a également marqué cette semaine par ses propos, juste après son succès en solitaire aux Lagunas de Neila. Visiblement émue, la Néerlandaise n’a pu retenir ses larmes en évoquant “des derniers jours très difficiles”. “Quelqu’un proche de moi traverse un moment très difficile mentalement. (…) Je vois trop de jeunes personnes autour de moi qui souffrent. Alors, j’ai fait tout ce que je pouvais aujourd’hui”, a-t-elle expliqué. “Alors aujourd’hui, ma victoire est pour ces gens qui traversent des moments très difficiles mentalement.”
Elle n’en dira pas plus sur cette personne, et ce n’est évidemment pas le plus important. Le message envoyé est bien celui d’une nécessité de mieux prendre en compte la santé mentale et de traiter ces problèmes aussi sérieusement que les autres soucis de santé. Que ce soit dans le cyclisme ou ailleurs. Ce thème a rarement été mis en avant dans des interviews d’après-course, il est pourtant l’un des plus importants dans la vie d’un·e sportif·ve professionnel·le. La pression que l’on s’impose, celle de l’équipe, celle des médias, voire celle des proches : tout cela a un impact non-négligeable sur les performances, surtout pour les personnes qui ont plus de mal à gérer cet aspect, simplement par manque de soutien ou de connaissance notamment.
Demi Vollering connaît bien l’impact qu’elle peut avoir avec ses propos. Elle sait qu’elle bénéfice d’une large audience grâce à cette interview d’après-course, grâce à sa popularité, grâce à ses résultats sportifs. Elle n’hésite désormais plus à prendre la parole pour des problèmes qu’elle juge importants à régler. La championne du monde Lotte Kopecky a également profité de cette médiatisation, non pas sur une course, mais sur Instagram, pour parler de son printemps et évoquer le fait que certains résultats ne sont effectivement à la hauteur des attentes, mais que ce n’est pas nécessairement juste après la course qu’on évoque ce qui a pu mal se passer. Il faut parfois du temps pour analyser, jauger et comprendre ce qui est nécessaire pour que le plaisir et les résultats suivent. Que ce soit sur le plan physique ou mental.
Juste après Liège-Bastogne-Liège, c’est sur la thématique des menstruations que Demi Vollering s’était épanchée, évoquant des problèmes hormonaux qui ont affecté sa course de dimanche dernier. Là encore, un sujet qui n’était que rarement mis sur le devant de la scène par les sportives professionnelles. Ces petites phrases ont finalement permis d’évoquer dans les médias ce problème féminin et d’étudier les pistes d’améliorations pour les sportives (du moins dans la presse belge et spécialisée). Depuis son passage chez FDJ-Suez, la Néerlandaise se fait de plus en plus vocale sur ces thématiques qui peuvent gêner les cyclistes, et comment améliorer les choses. Elle semble plus libérée et décidée à faire porter sa voix pour d’autres combats que ses seules victoires sportives. Cela ne peut que faire du bien pour le cyclisme en général.
Grégory Ienco
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Même avec Kopecky, les médias belges offrent une couverture toujours trop limitée du cyclisme féminin
La perception est une chose, mais il est toujours important d’objectiver les informations qui nous paraissent aller de soi. Pour confirmer qu’il ne s’agit pas d’une simple impression, qu’il y a matière légitime à s’interroger. Ainsi, la couverture du cyclisme féminin reste encore très légère, au niveau francophone, par rapport à son équivalent masculin. Cela semble encore plus vrai lors des grands événements que sont le Tour de France ou le Tour des Flandres. En Belgique, on pouvait ainsi espérer une meilleure médiatisation du peloton féminin avec l’avènement, ces dernières années, de Lotte Kopecky, qui enchaîne les titres mondiaux et succès de prestige. Et pourtant, une récente analyse de l’entreprise Ammco, spécialisée dans le monitoring médiatique, montre qu’on est loin d’une approche de l’égalité hommes-femmes.
L’analyse réalisée entre le Circuit Het Nieuwsblad (1er mars) et Liège-Bastogne-Liège (27 avril), sur le nombre de mentions de cyclistes dans les médias belges (francophones et néerlandophones), on a compté 26.965 articles su 78 coureurs masculins, majoritairement belges, contre 2.908 articles sur 11 cyclistes féminines. La seule lumière au tableau est la présence de Lotte Kopecky sur le podium des cyclistes belges les plus cités, tout genre confondu, avec 2002 articles à son actif. Derrière Wout van Aert (2.144) et Remco Evenepoel (2.192) mais devant Jasper Philipsen (1.403) ou Tim Merlier (1.151).
La championne du monde Lotte Kopecky (Team SD Worx-Protime), au départ de Liège-Bastogne-Liège, le 27 avril 2025 – Photo : ASO/Billy CeustersAmmco indique cependant que la place du cyclisme féminin reste bien moins représentée que l’homologue masculin, avec seulement 10,9% des articles qui leur sont consacrés. La couverture est seulement meilleure à l’approche de grands événements, comme le Tour des Flandres, Paris-Roubaix ou Liège-Bastogne-Liège. Et principalement en Flandre.
Cela en dit long sur la nécessité de pousser la place du cyclisme féminin dans la presse spécialisée afin de lui offrir une position plus équitable avec le cyclisme masculin. Cela avance, et la diffusion en direct des plus grandes épreuves sur les chaînes importantes en Belgique ou en France aide clairement à la médiatisation. Mais dans la presse écrite, la tradition reste de laisser le cyclisme féminin dans un petit encart, loin des pages consacrées aux Pogacar, Van der Poel et autre Van Aert. Heureusement qu’il y a Kopecky, mais il faut un vrai changement de culture dans les rédactions pour que le peloton féminin ait enfin la place qu’il mérite dans les médias de grand public.
Vittoria Bussi améliore son record de l’heure féminin
À la surprise générale, l’Italienne Vittoria Bussi (38 ans), déjà détentrice du record de l’heure depuis octobre 2023 (50,267 kilomètres), avait annoncé à la fin du mois d’avril son souhait d’améliorer cette distance à l’occasion d’une nouvelle tentative sur le vélodrome d’Aguascalientes, au Mexique. Celle qui avait déjà détenu un précédent record entre 2018 et 2021 (48,007 km à l’époque) a réussi son pari puisqu’elle a roulé, samedi dernier, 50,455 kilomètres en une heure !
“J’espère avoir transmis aux jeunes générations et au public l’idée que le sport n’est pas seulement une performance athlétique : les athlètes transmettent aussi des messages au monde”, a-t-elle commenté après sa performance. “Le record de l’heure m’a appris que l’une des choses les plus importantes dans la vie est de comprendre la valeur du temps à chaque instant de notre existence.”
L’ex-coureuse de demi-fond, mathématicienne de métier, a par ailleurs décidé de s’essayer à un autre record dans les prochains jours, toujours à Aguascalientes : celui de la poursuite individuelle sur 4 kilomètres. Le record est détenu depuis le 22 février 2025 par la Britannique Anna Morris, en 4:24 et 60 millièmes.
L’Italienne Vittoria Bussi après son nouveau record de l’heure, sur le vélodrome d’Aguascalientes, le 9 mai 2025 – Photo : UCILes nouvelles des derniers jours
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New decision UCI
Rider: Luis Costa
Product: Chlortalidone
Race: Jeux Paralympiques
Positive control
Date of control: 02/09/2024
Sanction: Suspension 2 years, disqualification
End of sanction: 19/01/2027
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Nouvelle décision UCI
Coureur : Luis Costa
Produit : Chlortalidone
Course : Jeux Paralympiques
Date du contrôle : 02/09/2024
Sanction : Suspension 2 ans, disqualification
Fin de la sanction : 19/01/2027
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