Lmst

[2]
De temps en temps, il ouvre un œil, vérifie son cap sur les montagnes au loin… et se rendort. De toutes façons, les voyageurs dans le 4x4 ne dorment pas, et la cuisinière à la place du passager avant non plus.
Avec le ronronnement régulier du moteur, avec rien n'à voir que du blanc partout, on se croit en avion, tout est pareil partout.

#salar
#salaruyuni

[1]
Comme le #salar est "en eau", les chauffeurs roulent très doucement (30 ou 40 km/h), et les 4x4 ont une "jupe" pour essayer de protéger au maximum des projections d'eau salée.

Ce que tous les voyageurs-gringos attendent, c'est quand le chauffeur s'endort. C'est connu, comme c'est tout plat et sans obstacle, et qu'on roule lentement, le chauffeur choisi son cap, puis cale son volant, et s'endort. Ca peut durer quelques minutes, voire quelques dizaines de minutes.

#salaruyuni

[2]

Tout est fabriqué en #sel sauf les tôles du toit en tôle, et les matelas en matelas. C'est spartiate, on nous sert un repas minimaliste, nous somme une quinzaine de personne, des Boliviens aisés pour la plupart. On se partage les petites provisions qu'on a, 1/2 verre de bière chacun.
A minuit, selon la tradition, on sort faire le tour de la maison avec une valise vide (et en sous-vêtements de couleur !).

#sal #salar #salaruyuni

[1]
Le hasard (un peu dirigé…) a fait que je suis parti d'Uyuni pour le #salar le 31 décembre 2005, et que je passe la nuit du nouvel an à l'hôtel de sel, qui est presque clandestin, car il devrait être fermé pour cause d'insalubrité.

#salaruyuni

[2]
Pour aller dans le #salar, des agences vendent des "tours", soit "1 jour", soit 5 "jours". Mais dans un cas comme dans l'autre, on ne reste que quelques heures dans le salar.
Dans les 2 cas, on nous conduit d'abord à l"île #incahuasi .

#IslaIncahuasi #salaruyuni