avec un petit jour de retard ... voici mon #mastolivre #vendredilecture - un amusement en réalité - ce sont des articles que Dino Buzzati a rédigé pour le "Courriere della sera" , dans ces années précédents la 2e guerre mondiale et la fin de celle-ci. C'est important parce qu'il y a beaucoup d'articles sur des animaux en Ethiopie qui était "occupée" par l'Italie. Dino Buzzati était un amoureux, défenseur de la cause animale. Ce que j'ai aimé c'est que ces textes mettent un relief très différent sur le monde, sur cette époque et c'est super intéressant et aussi souvent touchant. Dino Buzzati est devenu végétarien dans la fin de sa vie.
#vendrediLecture
Pour les gens ici qui aiment la BD, Linux, les blagues de niche, open BSD, les réseaux, l'humour TCP-IP, les pingouins, les puffy fish, les armes open sources, les méchants MataCorp et le surréalisme unix : profitez des vacances pour rattraper l'incroyable BD de @prahou : analogue nowhere https://analognowhere.com/\_/archive/
Son univers est complètement dingue J'ai même acheté un t-shirt en soutien🖖
#VendrediLecture
#BD
#unix_surrealism
#Linux
#OpenBSD
#ScienceFiction
#CosmoBidule
#365MaLife
#vendredilecture Entre autres univers, d'Emet North, magnifique roman qui prend prétexte de causer univers parallèles pour éclater la biographie d'un.e héro.ïne dans tous les possibles & tous les mondes. c'est sf, fantastique, intime; c'est effrayant, triste, émouvant. une lecture très intense, qui repart à chaque nouveau chapitre. bouquin complètement fou faisant forcément écho avec la vie intérieure de qui le lit. vais le passer à des gens qui pensent ne pas aimer le genre : ce sera parfait
Visite cette après-midi du petit marché de Noël de #Rennes, sur le mail Mitterrand.
Mon mari et moi avons pris chacun un verre de vin chaud au pied de la grande roue.
Une petite pensée pour les personnages, fictifs ou non mais plus vrais que nature, de ma petite bible personnelle, le roman sur l'arrivée du SIDA à Stockholm N'Essuie Jamais de larmes sans gants, de Jonas Gardell.
Ces personnages se sont trouvés ou retrouvés lors d'un repas de Noël, en 1982. Paul, l'hôte, demande aux petits nouveaux s'il veulent du vin chaud. Oui ? Réponse de Paul :
"Eh bien, on n'en a pas, de vin chaud. On a que du champagne. [...] Du vin chaud... Laisse-moi rire ! De la pisse de bourrique tiédasse où ils ont rajoutés des raisins secs. Et après, soi-disant que c'est NOUS les pervers !"
Paul, Benjamin, Rasmus, Lars-Åke, Seppo, Bengt et Reine, cet après-midi j'ai été pervers en pensant à vous !
(Qui plus est, pour ceux qui ont vu ou lu cette histoire, on y est allé en passant par la place de Bretagne où se tenait l'un des inévitables stands des Témoins de Jéhovah, Skål Benjamin).
L'image est issue de la version télé de l'histoire, disponible en VOD en France sous le nom de Snö.
#MarchédeNoël #VinChaud #VendrediLecture #JonasGardell #Snö #Nessuiejamaisdelarmessansgants #DontEverwipetearswithoutgloves #SimonJBerger #Suède #Minisérie #Sida #Aids #TémoinsdeJéhovah
#vendrediLecture (je sais on est samedi, tu vas faire quoi)
Une ode à garder trace ce qui nous interpelle même si c’est honteux brouillon ou pas terminé, à écrire à la main, et surtout à écrire pour soi sans crainte de jugement
Une lecture qui fait plaisir dans ces temps troublés par l’IA
Un choix impossible par Dominique Fernandez. Roman sur la vie de Sergueï Prokofiev, compositeur russe (ukrainien, né à Donetz) 1891 - 1953. Mort le même jour que Staline (5 mars 1953) sa mort totalement éclipsée par le fait. Fuyant la révolution bolchévique en 1918 puis retour en URSS.
#MastoLivres #vendrediLecture Et là je lis Nihoncha - L'art de déguster le thé japonais, d'Isaline Lannoy, un petit livre superbement illustré par Barbara Luel Pecheur. Et c'est très informatif et vraiment très beau !
#MastoLivres #VendrediLecture
J'ai lu Grief is the Thing with Feathers, de Max Porter - mi-roman, mi-poème, ça parle de deuil, c'est beau, doux et triste à la fois, avec une langue créative (pas toujours facile à suivre)
J'ai aussi lu Naufrages, d'Akira Yoshimura (traduit du japonais par Rose-Marie Makino-Fayolle) - l'histoire triste d'un petit garçon dans une famille pauvre dans un village pauvre où les gens meurent de faim ou de maladie voili voilà. 😬
Accalmie météo ce samedi dernier à Montpellier. Les montpelliérain·ne·s profitent des rives du Lez.
Ce mardi matin j’ai roulé tout de long sous la pluie, frontale allumée plus que d’habitude parce que la lumière rouge dont j’use habituellement ne suffisait plus à éclairer la voie verte.
Le temps s’éclaircit et je monte courir dans le massif de Coutach ce mercredi matin. Quel […]
https://san.heraut.eu/2025/12/20/chroniques-du-gard-36/
"Lire, c’est un acte de dissidence invisible, sans dossard ni ligne d’arrivée. C’est la garantie de rester humains." Merci.
Article de blog très agréable à lire. Un hommage à la #lecture . Bien plus qu'un hommage, une réflexion sur l'humain, la relation corps/esprit, l'effort, les dénicheur.ses.
#vendredilecture
Today's top ten tag trends:
10: #自分のことを友達と思ってくれている人がリノしてくれる
9: #VendrediLecture
8: #ここ10年を雑に振り返る見た人もやる
7: #せと打ってクリスマスにもらえるもの
6: #WindowFriday
5: #FensterFreitag
4: #holidaycardsayings
3: #JukeboxFridayNight
2: #morethancarols
1: #totp
#Emsilêncio #AdelineCasier #Laboîteàbulles #bd #lecture #vendredilecture #portugal #exil
Dans ce roman graphique, Adeline Casier parle de la vie de son grand-père João. Celui-ci a dû fuir l'autoritarisme de la dictature portugaise ainsi que la misère après son licenciement. Pour essayer de donner une vie décente à sa femme et à ses filles, il a traversé à pied une partie du Portugal ainsi que l'Espagne et la France. Là il espérait une vie meilleure.
Le roman graphique a été dessiné en noir et blanc. Cela renforce le propos du texte et lui donne aussi un effet un peu poétique et mélancolique.
João a connu une traversée très mouvementée, entre un départ du Portugal le plus silencieux possible et un voyage en Espagne sans repos. En effet, tout comme le Portugal, l'Espagne est une dictature et la Guardía Civil tire sans sommation. La France, quant à elle, reçoit cds hommes avec envie car elle a besoin de main d'oeuvre.
Qu'il est émouvant de lire l'histoire de João ainsi que celles de ses compagnons d'infortune. Si João va réussir à retrouver son cousin près de Paris, il ne s'en sort pas sans séquelles (en particulier mentales).
D'un point de vue personnelle, je suis presque sûre que mon grand-père maternelle a vécu aussi cette traversée. Je vous dis ça de manière factuelle. C'est un homme que je n'ai, heureusement, pas connu, il était un mari et un père déplorable. Je n'ai pas lu ce livre en projetant mon grand-père dedans, sinon, j'aurais eu du mal à m'attacher à João.
Dans une société qui s'inquiète d'une "vague migratoire", il est bon aussi de se rappeler qu'il y a toujours eu des migrant.e.s qui essaient de fuir la misère pour une vie meilleure. La France d'après-guerre a été rebâtie grâce à elleux.
Dans ce roman graphique, Adeline Casier parle de la vie de son grand-père João. Celui-ci a dû fuir l'autoritarisme de la dictature portugaise ainsi que la misère après son licenciement. Pour essayer de donner une vie décente à sa femme et à ses filles, il a traversé à pied une partie du Portugal ainsi que l'Espagne et la France. Là il espérait une vie meilleure.
Le roman graphique a été dessiné en noir et blanc. Cela renforce le propos du texte et lui donne aussi un effet un peu poétique et mélancolique.
João a connu une traversée très mouvementée, entre un départ du Portugal le plus silencieux possible et un voyage en Espagne sans repos. En effet, tout comme le Portugal, l'Espagne est une dictature et la Guardía Civil tire sans sommation. La France, quant à elle, reçoit cds hommes avec envie car elle a besoin de main d'oeuvre.
Qu'il est émouvant de lire l'histoire de João ainsi que celles de ses compagnons d'infortune. Si João va réussir à retrouver son cousin près de Paris, il ne s'en sort pas sans séquelles (en particulier mentales).
D'un point de vue personnelle, je suis presque sûre que mon grand-père maternelle a vécu aussi cette traversée. Je vous dis ça de manière factuelle. C'est un homme que je n'ai, heureusement, pas connu, il était un mari et un père déplorable. Je n'ai pas lu ce livre en projetant mon grand-père dedans, sinon, j'aurais eu du mal à m'attacher à João.
Dans une société qui s'inquiète d'une "vague migratoire", il est bon aussi de se rappeler qu'il y a toujours eu des migrant.e.s qui essaient de fuir la misère pour une vie meilleure. La France d'après-guerre a été rebâtie grâce à elleux.
Mais ne restons pas sur une déception, j'ai en parallèle fait une bonne pioche au rayon classiques, avec "La Sorcière" de Jules Michelet, qui a quelque chose de profondément réjouissant. Ironie du sort, après la déception côté fiction, c'est un essai (j'en lis très peu), mais on ne peut pas dire que l'auteur boude son plaisir, ni celui du lecteur. J'ai tout juste commencé, mais pour le moment je me régale.
Bon, n'y allons pas par quatre chemins, le #VendrediLecture de la semaine est une déception, "Rockstar" de S. Vanderhaeghe. Son "Charognards" avait été le meilleur roman contemporain que j'avais lu cette année-là. Autant dire que mes attentes étaient grandes… et apparemment déraisonnables. J'en suis à peu près à la moitié, et je n'y à pas encore cru une seconde. La faute peut-être à l'explicite constant et à un souci presque plus documentaire que littéraire. Dommage :(
#VendrediLecture j'ai finis hier Le premier jour de paix d'Elisa Beiram, une novella intéressante mais un peu décousu. J’aurais aimé qu'on s'attarde un peu plus sur les personnages mais c'était une lecture agréable et rapide
J'ai fini "Atmosphères" de Taylor Jenkins Reid. Une histoire autour de l'espace et de l'amour lesbien. TJR a fait un travail énorme autour des travaux de la NASA et ça se voit. C'est très slow burn mais j'adore cette autrice.
& j'ai commencé "13" de Steve Cavanagh sur un avocat qui représente un homme accusé d'avoir tué sa femme, sauf que le vrai coupable est dans le jury.
#vendredilecture Chevreuil, de Sébastien Gendron. Un Sans Antonio sous acide? En tout cas, ça décape!
#VendrediLecture #BD
Champignac de Beka et Etien.
Agréablement surpris car
* bien meilleur que le reste de l'exploitation commerciale de l'univers Franquin
* Beka, læ scénariste, avait plutôt fait dans l'humoristique commercial à la chaîne avant ça.
Champignac engagé par le SOE pendant la 2e GM, croise Turing et d'autres.
Avec un sous-texte féministe dans les 2 premiers albums, franchement engagé dans le 3e (contraception).
Quelques passages didactiques scientifiques un peu lourds mai ça va.
#VendrediLecture
#Medieviste
Suivant le fameux adage :
Je suis angoissée donc je lis des bouquins historique voici des bouquins historiques !
Histoires et Merveilles du Moyen Age de Jacques Le Goff
Un livre où je m'attendais à une analyse de comment les gens du Moyen Age percevaient leurs mythes. Mais en fait, c'était plutôt une petite collection de mythes diverses et variés allant de Arthur aux cathédrales... Je n'ai pas du tout accroché au style un peu ancien... Bref sympa mais sans plus
Les Royaumes Barbares en occident de Magali Coumert et Bruno Dumezil (collection que sais-je chez PUF)
Et voici que la goat Magali Coumert (aka jecombatlesnazisdanslessources) rejoins bruno Dumezil pour un très bon livre sur le haut moyen age et l'histoire des royaumes barbares. Hyper interessant et super clair, j'en retiendrais principalement l'idée selon laquelle les "invasions barbares" sont moins des invasions (au sens mouvement de population) qu'une revendication progressive d'une identité "barbares" par les populations d'un lieu. Un peu comme une conversion idéologique ou un effet de mode. (si j'ai tout bien compris) bref, hyper interessant et ça me donne envie d'aller encore plus loin !
Pour les lectures non-historiques, rdv dans l'arrière queer !!
Mâchoires de Monica Ojeda m'a tenu une petite semaine. Mêlant body horror, secte adolescente et relations toxiques, il met en parallèle une prof de lettres obsédée par sa mère et dévorée par son trouble anxieux, et ses élèves, un groupe d'adolescentes riches qui trompent l'ennui en se donnant des défis de plus en plus dangereux.
La langue de Ojeda est poétique, l'ambiance glauque à souhait. J'ai eu l'impression de me retrouver à la croisée de Psychose et d'un roman de Mariana Enriquez. J'en ressors avec la conviction que les adolescentes font de très bons personnages de récits horrifiques - elles sont terrifiantes.
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