#VideoSurveillanceAlgorithmique

2025-06-27

Bientôt des #ScannersCorporels et des #caméras « augmentées » à l’entrée des #lycées d’Auvergne-Rhône-Alpes ?

Publié le 26/06/2025
Par Chrystal Delfosse

À l’occasion de l’assemblée plénière de la région jeudi 26 juin 2025, Fabrice Pannekoucke propose plusieurs pistes pour sécuriser les lycées

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#VidéosurveillanceAutomatisée #VideoSurveillanceAlgorithmique #surveillance #sécurité #SansContact #intelligenceartificielle #IA #tech #expérimentation

2025-06-26

Vidéosurveillance algorithmique: Veesion se désiste devant le Conseil d’État

La start-up française commercialise une solution de #VidéosurveillanceAlgorithmique de détection des vols dans les commerces. Depuis plus d’un an, elle contestait une décision de la #Cnil, le gendarme du numérique, qui juge cette technologie illicite. Peu avant l’audience, Veesion a décidé d’abandonner la procédure.

Par Clément Pouré › mediapart.fr/journal/france/26

Le système de surveillance Veesion dans une supérette du centre-ville de Marseille, le 5 septembre 2024. © Photo Frederic Speich / La Provence via MaxPPP
2025-02-05

#SurveillanceGénéralisée #Briefcam #VSA

Enfin un jugement qui devrait mettre un coup d'arrêt à l'utilisation de la VSA !

Communiqué de la @LDH_Fr suite à la victoire juridique contre la #VidéoSurveillanceAlgorithmique, aux côtés de @LaQuadrature, du Syndicat des avocats de France et du @smagistrature

👉 grenoble.tribunal-administrati

La LDH ne peut que se réjouir de cette décision du tribunal administratif de Grenoble, « victoire historique » pour les associations qui combattent l’utilisation de la vidéosurveillance et plus particulièrement la vidéosurveillance algorithmique (VSA).

2025-01-23
Reconnaissance faciale en temps réel, interprétation des émotions, catégorisation des pensées religieuses, sexuelles et politiques… La France a activement milité pour que ces pratiques soient permises par « l’AI Act », le règlement européen sur l’intelligence artificielle, révèlent Disclose et Investigate Europe, documents confidentiels à l’appui.

Imaginez que vous participiez à une manifestation pour le climat, que vous portiez un badge ou que vous brandissiez une pancarte. Une caméra « intelligente » détecte ces signes, enregistre votre visage et transmet les images à la police pour les comparer au fichier des personnes recherchées pour crimes environnementaux. Vous n’y figurez pas, mais les données restent stockées. Imaginez un naufragé qui vient de débarquer sur l’île de Lampedusa. Arrêté, il est interrogé à l’aide d’une caméra capable de détecter des émotions. Le système enregistre des signes de nervosité, de peur, d’indécision : il en conclut que l’exilé ment sur son âge ou ses origines. Sa demande d’asile est rejetée.

Ces scènes qui semblent sorties d’un film de science-fiction pourraient devenir réalité dans les prochaines semaines. Le 2 février, les articles les plus controversés — dits « risques inacceptables » — du règlement européen sur l’intelligence artificielle (IA) entreront en vigueur avec, dans leur sillage, une myriade de portes ouvertes pour contrôler l’espace public. Le texte était pourtant censé encadrer l’usage de l’intelligence artificielle contre les menaces pour les droits fondamentaux et les libertés publiques en Europe. Mais après deux ans de négociations secrètes entre les États européens, ce cadre n’a pas survécu aux coups de boutoir de la France, qui a obtenu des exemptions majeures en imposant le thème de « la sécurité nationale ».

C’est ce que démontre l’analyse d’une centaine de documents confidentiels européens sur l’AI Act, obtenus par Disclose et Investigate Europ. Des comptes-rendus de négociations qui dévoilent comment Paris est parvenu à ouvrir une brèche pour autoriser la surveillance de masse dans l’espace public.

La « ligne rouge » de la sécurité nationale

Le lobbying de la France commence fin 2022. À l’époque, les débats sur ce projet porté par la Commission européenne depuis avril 2021 sont tendus. Au cœur des discussions entre les 27 pays de l’UE : la classification des risques liés à l’utilisation de l’IA. Très vite, Paris s’oppose à ce que la future loi européenne interdise certaines technologies particulièrement intrusives. En l’occurrence, celles qui présentent des risques dits « inacceptables » pour les libertés publiques.

Le 18 novembre 2022, au cours d’une réunion organisée à huis clos avec ses homologues européens, le représentant français prévient : « L’exclusion des questions de sécurité et de défense [du cadre du règlement]… doit être maintenue à tout prix ». Par cette requête, la France veut garder la possibilité de recourir à la reconnaissance faciale en temps réel dans l’espace public, en cas de risque pour la sécurité du pays. Cela vaut aussi pour le maintien de l’ordre. Ce que confirme une source en première ligne des négociations : « La France considère que l’ordre public fait partie de la sécurité nationale, c’est pourquoi elle a réclamé que tous les aspects du maintien de l’ordre soient exclus du règlement. Elle est le seul pays à avoir demandé cette exclusion totale ». Des manifestant·es accusé·es de troubler l’ordre public pourraient ainsi devenir les cibles légales de la reconnaissance faciale. Sollicités à plusieurs reprises, le gouvernement français et ses représentant·es à Bruxelles n’ont pas répondu aux questions de Disclose et Investigate Europe.

D’abord isolé, Paris ne ménage pas ses efforts pour persuader ses homologues européens du bien-fondé de sa demande. En septembre 2022, l’ambassadeur adjoint français s’entretient avec l’un des rapporteurs du texte au Parlement européen. Objectif : le convaincre de la nécessité d’autoriser la reconnaissance faciale pour le maintien de l’ordre. « Le diplomate français était nerveux, il y avait de la tension dans la pièce, témoigne notre source. Le ton est monté… Le représentant français campait sur ses positions, au prétexte que la France organisait les Jeux olympiques quelques mois plus tard .» En France, avant les JO, l’utilisation de la vidéosurveillance algorithmique par la police n’était autorisée que dans de très rares cas. L’événement sportif a donné l’occasion au gouvernement de faire adopter une loi validant son expérimentation jusqu’en mars 2025. Sans toutefois parvenir à convaincre les parlementaires d’y inclure la reconnaissance faciale.

Matignon à la manœuvre

L’activisme de Paris en faveur de technologies ultra-intrusives est étayé par un courrier envoyé, fin novembre 2023, au secrétariat du Conseil de l’UE. Ce document que Disclose et Investigate Europe se sont procuré est signé du Secrétariat général aux affaires européennes (SGAE), un service placé sous l’autorité de Matignon et chargé de la coordination interministérielle pour les politiques européennes. Le service rappelle d’abord la « ligne rouge » de la France « sur l’exclusion de la sécurité nationale ». Il insiste ensuite pour pouvoir utiliser l’IAdans l’espace public « en cas d’urgence justifiée ».

Les efforts de la France ont été récompensés. Comme l’indique l’article 2.3 de l’AI Act. Celui-ci dispose en effet que « le présent règlement (…) ne porte pas atteinte aux compétences des États membres en matière de sécurité nationale. » Selon Aljosa Ajanovic, membre de l’EDRI, une organisation de défense des droits des citoyen·nes européen·nes, ce principe « permet d’introduire des systèmes de surveillance biométrique de masse qui risquent d’affecter lourdement nos libertés de mouvement, de réunion, d’expression ainsi que notre vie privée ».

Quant à l’article 46, alinéa 2 du règlement européen, il précise que « dans une situation d’urgence dûment justifiée pour des raisons exceptionnelles de sécurité publique (…) les autorités répressives » peuvent utiliser « un service d’IA à haut risque spécifique », sans autorisation.

Appartenance religieuse et politique

Si un État estime que sa sécurité est en jeu, il pourra aller jusqu’à rechercher une personne sur la base de la « race, opinions politiques, affiliation à une organisation syndicale, convictions religieuses ou philosophiques, vie sexuelle ou leur orientation sexuelle », grâce à la science algorithmique. Une attaque en règle contre les libertés publiques et les droits civiques qui semble également défendue par les autorités françaises, comme l’indique un passage du courrier du Secrétariat général aux affaires européennes. Celui-ci souligne que la France estime « très important de préserver la possibilité de rechercher une personne sur la base de critères objectifs exprimant une croyance religieuse ou une opinion politique ». Une surveillance qui serait rendue possible grâce, notamment, est-il précisé, à la détection du « port d’un insigne ou d’un accessoire, lorsque cette personne est impliquée dans l’extrémisme violent ou présente un risque terroriste ». Un badge d’un mouvement écologiste classé « extrémiste et violent » pourrait donc motiver l’allumage de caméras dopées à l’IA.

« Il est glaçant de voir l’UE laisser ses polices recourir à ces systèmes pour tenter de détecter l’orientation sexuelle, s’indigne Félix Tréguer, auteur de Technopolice, la surveillance policière à l’ère de l’IA et porte-parole de la Quadrature du Net, une association française de défense des libertés numériques. « C’est aussi ça l’intelligence artificielle, poursuit-il, le retour des théories naturalisantes, des pseudosciences et des catégories arbitraires, désormais inscrites dans de puissants systèmes automatisés pour mettre en œuvre la violence d’État ».

« La plupart du temps, les gens ne sauront pas qu’ils ont été surveillés »


Sarah Chander, cofondatrice de l’ONG Equinox

Au cours des discussions sur l’AI Act, la France a mis en avant deux autres « lignes rouges ». Paris a en effet demandé à ce que les prisons et les zones de contrôles aux frontières soient « exclues de la définition de l’espace public », comme le dévoile le compte-rendu d’une réunion de novembre 2023. Là encore, aux côtés d’autres pays comme la Grèce, elle a obtenu gain de cause.

Dans quelques semaines, les États membres pourront donc déployer des systèmes de reconnaissance émotionnelle à leurs portes. Des logiciels, qui, une fois reliés à une caméra, pourront être utilisés lors d’interrogatoires de personnes exilées. L’objectif étant, par exemple, de chercher à évaluer avec plus ou moins de fiabilité, leur degré de nervosité ou d’anxiété pour savoir si elles mentent sur leur pays d’origine, leur âge ou la raison de leur départ. « Ce qui est insidieux dans l’utilisation de l’IA par la police et le contrôle des migrations, c’est que la plupart du temps, les gens ne sauront pas qu’ils ont été surveillés par ces systèmes », déplore Sarah Chander, cofondatrice d’Equinox, une ONG qui lutte contre les discriminations raciales en Europe.

Derrière l’activisme de la France, on trouve enfin la volonté de laisser les coudées franches aux industriels européens de l’intelligence artificielle. C’est du moins ce que sous-entend le représentant de Paris dans une réunion organisée le 15 novembre 2023. Celui-ci « met urgemment en garde contre les impacts négatifs [que pourrait avoir le règlement] sur la capacité d’innovation de l’UE ». Il insiste, évoquant le risque que « les entreprises délocalisent leurs activités dans des régions où les droits fondamentaux ne jouent pas de rôle ». Un argument repris par Emmanuel Macron un mois plus tard. Selon le chef de l’État, en régulant « beaucoup plus vite et beaucoup plus fort que nos grands compétiteurs, on régulera des choses qu’on ne produira plus ou qu’on n’inventera pas ». À Bruxelles, beaucoup interprètent ces prises de position comme un soutien à peine voilé à un fleuron de la « start-up nation » : Mistral AI. La société française compte parmi ses actionnaires Cédric O, un proche du président de la République et ancien secrétaire d’État au numérique. C’est lui aussi qui est chargé des relations publiques de l’entreprise, dont l’un des fondateurs confiait il y a tout juste un an : « Dans sa forme finale, l’AI Act est tout à fait gérable pour nous ».

source : #^https://disclose.ngo/fr/article/intelligence-artificielle-la-france-ouvre-la-voie-a-la-surveillance-de-masse-en-europe

#ia #intelligenceartificielle #technopolice #videosurveillance #videosurveillancealgorithmique #reconnaissancefaciale #surveillancealgorithmique #surveillancegeneralisee #flicagenumerique
2024-12-21

Vidéosurveillance algorithmique: Briefcam bousculé devant le tribunal administratif de Grenoble

Le tribunal examinait un recours demandant l’annulation de la décision d’installation du logiciel de #VidéosurveillanceAlgorithmique par la ville de Moirans. Saisie, la Cnil estime illégal son usage par les policiers municipaux. La rapporteure publique soutient la requête, mais a ouvert la voie à une régularisation de la situation.

Par @JeromeHourdeauxmediapart.fr/journal/france/20

Photomontage avec des images générées par une intelligence artificielle. © Illustration Sébastien Calvet / Mediapart
2024-11-29
#^C'EST PAS DE L'IA



Derrière les discours fantasmés sur l'intelligence artificielle se trouve une réalité matérielle aux lourdes conséquences écologiques, sociales et politiques. La Quadrature du Net s'attaque aujourd'hui à déconstruire les mythes de « l'IA » et prolongera ce travail en 2025...


#algorithmes #uberisation #intelligeanceartificielle #videosurveillancealgorithmique #enjeudesociete #societedesurveillance #societedecontrole #flicagenumerique #flicagedemasse
2024-10-19
La Quadrature du Net wrote the following post Fri, 18 Oct 2024 17:27:48 +0200 Deux nouvelles expérimentations de vidéosurveillance algorithmique (#VSA) viennent d'être autorisées par la préfecture de police de Paris : elles concerneront les abords du Parc des Princes pour les matchs PSG-Strasbourg demain et PSG-Eindhoven mardi.

Les supporters de ces équipes serviront donc de cobayes à un projet de surveillance dangereux pour que les pouvoirs publics puissent faire croire qu'il est nécessaire.
La Quadrature du Net wrote the following post Fri, 18 Oct 2024 17:28:42 +0200 Les autorisations préfectorales sont ici :
- PSG-Strasbourg : https://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/sites/default/files/Documents/arrete_n_dupa_2024_1425_dilt_match_psg_strasbourg_19.10.2024_v2_sans_signature_pp.pdf
- PSG-Eindhoven : https://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/sites/default/files/Documents/_arrete_n_dupa_2024_1428_dilt_match_psg_eindhoven_22.10.2024_sans_signature_pp.pdf
La Quadrature du Net wrote the following post Fri, 18 Oct 2024 17:29:08 +0200 L'ensemble de cette expérimentation de VSA n'est qu'une hypocrisie. L'État, main dans la main avec les entreprises de la #Technopolice, souhaitent surtout rendre acceptable la VSA et légaliser à terme toutes les autres formes de technologies de surveillance de l'espace public.
La Quadrature du Net wrote the following post Fri, 18 Oct 2024 17:29:13 +0200 Opposons nous collectivement à ce projet sécuritaire ! Rendez-vous sur https://www.laquadrature.net/vsa pour en apprendre plus sur la VSA et vous mobiliser dans votre ville, afin de faire entendre le refus populaire à ce projet mortifère.

#technopolice #vsa #videosurveillancealgorithmique
Makoto :archlinux: :anar:🇧🇪🇹🇭🎧makoto@mamot.fr
2024-10-09

Après les Jeux de Paris, la bataille de la VSA est loin d'être finie | La Quadrature du Net | exoseed.be/yourls/2t

#vsa #videosurveillancealgorithmique #privacy

benzogaga33 :verified:benzogaga33@mamot.fr
2024-08-14

Vu aujourd'hui dans un hypermarché, au rayon vin, les panneaux promos remplacés par un autre type de panneaux.
Je crois qu'on a passé un cap là 🤨
Quand la propagande a remplacé la promo..
#VSA
#videosurveillance
#videosurveillancealgorithmique

Vu aujourd'hui dans un hypermarché rayon vin , les panneaux promos ont été remplacés par:
"Pour votre sécurité, vous êtes sous videoprotection"
2024-07-18
La Quadrature du Net wrote the following post Thu, 18 Jul 2024 15:07:01 +0200 Nouveau coup d'arrêt pour la Technopolice ! Une ordonnance du Conseil d'État confirme ce que LQDN souligne depuis 3 ans : l'illégalité du logiciel de Veesion, la start-up de surveillance algorithmique en supermarchés.

https://www.laquadrature.net/2024/07/18/veesion-et-surveillance-en-supermarches-vraie-illegalite-faux-algorithmes/
La Quadrature du Net wrote the following post Thu, 18 Jul 2024 15:07:17 +0200 Prenons les bonnes nouvelles où elles sont : à la veille de la grande messe de la VSA pour les JO, c'est un petit coup d'arrêt à la surveillance algorithmique - même s'il s'agit encore d'une procédure en cours et que la CNIL ne semble pas bien certaine de sa position (pour changer)
La Quadrature du Net wrote the following post Thu, 18 Jul 2024 15:07:39 +0200 Autre fait passé inaperçu : la délocalisation à Madagascar d'une partie du travail et la remise en cause de l'authenticité de son algorithme.

Plusieurs informations laissent en effet penser que derrière le logiciel de détection des vols, il y a en réalité des personnes exploitées visionnant les vidéos et jouant le rôle de l'algorithme...

https://www.francetvinfo.fr/internet/intelligence-artificielle/video-a-madagascar-les-petites-mains-bien-reelles-de-l-intelligence-artificielle_6515243.html
La Quadrature du Net wrote the following post Thu, 18 Jul 2024 15:07:52 +0200 Veesion est un concentré des dérives des start-ups du numérique : banalisation des technologies de surveillance, non-respect du droit, dépendance à de la main d'œuvre exploitée à l'autre bout du monde. Pour nous aider à lutter contre la Technopolice et ses start-ups, vous pouvez nous faire un don laquadrature.net/donner

#technopolice #vsa #videosurveillancealgorithmique
2024-05-27

https://invidious.fdn.fr/watch?v=JEEOcwOAKng

En France, les technologies de surveillance deviennent de plus en plus la réponse aux enjeux sécuritaires : reconnaissance faciale à l'entrée des lycées, aux abords des stades, analyse des comportements dans les gares… Retour sur ces expérimentations de vidéosurveillance algorithmique et de reconnaissance faciale qui nous inquiètent.

De nombreux systèmes de surveillance sont expérimentés en France. Déployés pour certains, abandonnés pour d’autres, ces projets démontrent tous un appétit grandissant des autorités et des acteurs en charge de la sécurité pour les technologies de surveillance telles que la reconnaissance faciale.

Quelles sont les expérimentations menées en France ? Dans quelles villes ? Comment sont-elles encadrées et quels sont les risques ? Tour d’horizon des expérimentations des technologies de surveillance en France.

En savoir plus https://www.amnesty.fr/actualites/france-technologies-de-surveillance-reconnaissance-faciale

voir aussi : https://www.laquadrature.net/vsa/
https://reflets.info/articles/la-videosurveillance-algorithmique-relance-l-interet-des-cameras

#reconnaissancefaciale #creditsocial #surveillancealgorithmique #videosurveillancealgorithmique
2024-05-16
La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:46:36 +0200 Alors que les expérimentations de la loi sur les Jeux Olympiques ont à peine débuté, l'Assemblée s'apprête déjà à légaliser une nouvelle forme de vidéosurveillance algorithmique (VSA), prenant cette fois-ci l'excuse de la sécurité dans les transports. https://www.laquadrature.net/2024/05/14/vsa-lassemblee-discute-deja-son-extension-aux-transports/



La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:47:16 +0200 Nous devinons qu’il s’agit en réalité des algorithmes de VSA dits « a posteriori » dont nous documentons l'usage depuis des années. Ils permettent de repérer, analyser et classer les personnes en fonction de leurs attributs physiques comme leur genre ou leurs vêtements.

La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:47:30 +0200 Ces logiciels permettent ainsi de retracer le parcours de quelqu'un. Le plus connu est celui de Briefcam, massivement utilisée en France de façon illégale. Leur vidéo commerciale est éloquente quant aux fonctionnalités permises (à partir de 3:12) https://video.lqdn.fr/w/h95LWaP3bQXcaopipScWUB

La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:47:41 +0200 Ces algorithmes discriminants constituent une étape de plus dans la surveillance de l'espace public. Plutôt que de condamner leur usage illicite, le gouvernement saute sur l'opportunité de les légaliser en récupérant à son compte une proposition de loi d'un Sénateur LR.

La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:47:51 +0200 En autorisant quelques usages pour quelques acteurs, et en utilisant à nouveau la carte de la soi-disant « expérimentation », le gouvernement continue sa stratégie des "petits pas" pour chercher l'acceptabilité sociale et permettre aux entreprises de légitimer leur business.

La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:48:02 +0200 Alors que le gouvernement promettait mordicus d'attendre la fin de l'évaluation de l'expérimentation de la loi JO avant d'aller plus loin, il assume ici d'avoir menti au Parlement et lui demande avec audace de voter l'étape suivante, sans lui expliquer ce qu'est cette technologie.

La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:48:11 +0200 Face à cette hypocrisie, nous appelons les membres de la commission des lois à supprimer cette disposition. Vous pouvez les interpeller mais également relancer la mobilisation au niveau local contre les utilisations illicites qui continuent de prospérer en France.

La Quadrature du Net wrote the following post Tue, 14 May 2024 13:48:20 +0200 Vous pouvez trouver ressources, affiches et modes d’action sur notre site de campagne https://www.laquadrature.net/vsa/ et si vous le pouvez, aussi faire un don sur https://www.laquadrature.net/donner !

#VSA #videosurveillance #videosurveillancealgorithmique
2024-05-16
Nice Ligue des droits de l'Homme wrote the following post Tue, 14 May 2024 18:41:56 +0200

#vidéosurveillance #police #libertés La vidéosurveillance algorithmique (VSA) de la loi « Jeux Olympiques », du festival de Cannes, de la SNCF, etc. est en particulier conçue pour détecter instantanément des situations considérées par les concepteurs du logiciel comme anormales. Cet ouvrier allemand, « anormalement » réfractaire au salut nazi, aurait instantanément été détecté par la VSA. Pensez-y.

#VSA #videosurveillance #videosurveillancealgorithmique
2024-02-17

Est-ce que ce serait pas l'occasion de ressusciter la mode de la flash mob ? #videosurveillance #videosurveillancealgorithmique

RE:
mamot.fr/users/oliviertesquet/statuses/111945852304488759

MediapartMediapart
2023-11-29

Reconnaissance faciale: le logiciel de BriefCam devant le Conseil d’État

La juridiction administrative suprême examinait mercredi un recours contre l’utilisation du logiciel de par la ville de Moirans dans l’Isère. Celui-ci risque d’être rejeté pour une question de procédure.

Par @JeromeHourdeauxmediapart.fr/journal/france/29

Photomontage avec des images générées par une intelligence artificielle. © Illustration Sébastien Calvet / Mediapart
Datarainbow Privacy Assistant✅clarinette@mastodon.online
2023-08-31

Suite à la publication d'un premier décret d'application de la loi #JO2024 sur la #videosurveillanceAlgorithmique, la CNIL s'alarme de possibles transferts des images des caméras vers l'étranger.

➡️ Décret : lnkd.in/e_RvWT_A
➡️ Délibération CNIL : lnkd.in/e8AX9Y9E

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