Le prochain atelier Cogito se déroulera le jeudi 20 mars à partir de 18h15 à l’ES Art Factory, 5 rue du Général Vincent à Montpellier.
J'y aborde à chaque fois une réflexion sur un thème différent, sociétale, philosophique ou symbolique.
Des échanges, sous la forme de causeries libres et respectueuses font suite à mon intervention.
Entrée libre avec participation au chapeau.
Ateliers Cogito
Le troisième jeudi de chaque mois, j’anime à l’ES Art Factory de Montpellier une réflexion sur un thème différent, sociétale, symbolique, et ou philosophique et sur lequel vous pourrez vous exprimer convivialement après mon intervention.
#montpellier #atelierscogito #cafephilo
Entrée libre avec participation au chapeau.
Prochaine date jeudi 20 février à 18h30.
5 Rue du Général Vincent, 34000 Montpellier
@maisouvaleweb Sujet que j'aurais bien envie de relancer au #caféphilo (https://rechampir.net/tag/humanisme_numerique/) mais il faudrait préciser la techno en question, ça ne peut pas être général (je me souviens de discussions passionnées sur l'épluche légume). D'ailleurs, si jamais vous êtes du côté de #Rennes un dimanche matin de 2025, nous avons déjà mis en débat un sujet qui vous est cher, https://rechampir.net/tag/serie_martienne/
93e café philo au #Guibra ce dimanche à #SaintSulpiceLaForet, 6 participant·es, sur le sujet de la fatalité, adaptation de la nouvelle *Le Fataliste* de Mikhaïl Lermontov (https://fr.wikisource.org/wiki/Un_h%C3%A9ros_de_notre_temps/Le_Fataliste), suivant la méthode des télex (http://rechampir.net/cafe-philo/jeux-et-deroulements-de-latelier-cafe-philo/). #caféphilo
“L’eau n’est plus ce qui purifie, mais ce que nous faisons passer dans des stations d’épuration”
@interessant
revue-sesame-inrae.fr/leau-nest-plus-ce-qui-purifie-mais-ce-que-nous-faisons-passer-dans-des-stations-depuration/
Mathématicien et philosophe, Olivier Rey est chercheur au CNRS, enseignant en philosophie à l’Université Paris 1, membre de l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques. Egalement romancier et essayiste, il a publié plusieurs ouvrages, dont Réparer l’eau (Stock, 2021) – lui rendre sa capacité d’enchantement, en quelque sorte, et Une question de taille (Stock 2014) qui aborde la perte de notre sens de la mesure. Au fil de ses publications qui scrutent la place des sciences dans notre société, il livre une réflexion sensible sur les ruptures grandissantes entre l’humanité et son milieu naturel. Interrogé par la revue Sesame, il répond avec un regard lucide et poétique à la fois sur notre rapport actuel aux « ressources hydriques ». Une eau gérée, canalisée, traitée qui, perdant ses vertus purifiantes, dessèche nos imaginaires.
Vous dénoncez dans votre ouvrage Réparer l’eau la vision utilitariste de l’eau comme ressource. À l’heure du changement climatique, où coexistent selon les régions inondations et sécheresse, certains prônent le stockage de ce fluide dans les dites « méga-bassines ». Que vous évoquent ces deux termes, « bassines » d’un côté, et « méga » de l’autre ?
#Sesame #Eau #Mégabassine #Désalinisation #Sobriété #CaféPhilo
Déclinaisons intéressantes de la méthode proposées par les débatants et les débattantes : des points attribués aux conjonctions les plus difficiles (donc, ni, car) et/ou des cartes épuisant peu à peu les plus faciles (mais, et, or). #caféphilo
Ce weekend également au #Guibra à #SaintSulpicelaForêt, #caféphilo : https://mobilizon.fr/events/fed3695b-ab8a-4239-898f-7e48107eb008
