#Japanimation

Icemanfr@sdf.orgicemanfr75
2025-07-28

of the day is for fans... or not : Ranma ½ (1990) by Nova on
uvlist.net/game-8966-Ranma++12

You need a lot of imagination to recognize your heroes for this puzzle action game

Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-07-26

Divan 14 | La mono-romance de Lazare

Sommaire de l'émission :

Introduction

Coups de cœur / coups de gueule

Chronique commune : Lazarus

Pause musicale : Record Player - Daisy The Great x AJR

Chroniq

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#DivanDitVentpodcast #UnAmourDeSaisonjapanimation #AJR #animation #audio #DaisyTheGreat #mission #japanimation #KoiNoRetronym #KowloonGenericRomance #Lazarus #Mekakushe #mono #podcast #RecordPlayer

Ysae illustrationsysaeillustrations
2025-07-22

Il y a plusieurs années, je m'entraînais avec mes nouvelles encres de couleurs... et j'ai réalisé ce robot, tiré du film d'animation "Le château dans le ciel" de Hayao Miyazaki, à l'encre donc sur papier brun.
Un petit moment de poésie.

Dessin à l'encre représentant un des robots de Laputa, l'île flottante du film "Le château dans le ciel" de Miyazaki. Il s'agit d'un des robots hors-service, sur lequel la végétation a poussé.
Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-07-08

Demon Slayer, sombre cruauté.

« Demon Slayer » (ou encore « Kimetsu no Yaiba ») est un manga en vingt-et-un tomes, écrit et dessiné par Koyoharu Gotōge et pré-publié dans le magazine Weekly Shōnen Jump entre le 15 février 2016 et le 18 mai 2020.

En France, l’œuvre est publiée sous le titre « Les Rôdeurs de la nuit » aux édi

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#Japanimation #Magzinearticles #MangaBandedessine #PopCulture #anime #DemonSlayer #manga

Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-06-24

Drifting Dragons, une aventure aérienne.

Chère lectrice, cher lecteur, je vous invite pour cette fois à une aventure aérienne, fantastique. Montez à bord du dirigeable, le Queen Zaza, l’un des derniers dragonniers indépendants dans l’univers à la fois rustique et poétique de Drifting Dragons.

Je vous avouerai que j’ai presque failli n

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#Japanimation #Magzinearticles #PopCulture #anime #DriftingDragons

Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-05-06

To Your Eternity ou Le voyage de l’Immortel

J'aurais pu passer à côté de cette œuvre absolument magnifique (un grand merci à celui qui me l'a conseillé). Pour que vous ne fassiez pas cette erreur non plus, je vais vous parler de To Your Eternity, ou Fumetsu no Anata e pour sa version originale.

Un anime, dont la première sa

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#Japanimation #Magzinearticles #PopCulture #anime #manga #ToYourEternity

Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-05-01

Divan 13 | La médaillée déduit la frontière

Épisode 12 d'Un Amour de Saison ! Nous aborderons : Ameku Takao no Suiri Karte, Medalist et Shangri-La Frontier.

tsubakimono.camelia-studio.org

#DivanDitVentpodcast #UnAmourDeSaisonjapanimation #AmekuTakaoNoSuiriKarte #audio #avis #Critique #DivanDitVent #japanimation #Medalist #podcast #ShangriLaFrontier

2025-04-29

Les studios Ghibli ont mis à disposition gratuitement à destination de leurs fans des centaines d'images fixes en HD tirées de leurs oeuvres.
De quoi redécouvrir le talent incroyable de ce studio et dessiner un sourire en repensant à certains animés qui nous auraient marqué.
ghibli.jp/works/
#japanimation #ghibli

Image tirée de Porco Rosso.
On y voit Porco Rosso secoué par le vent provoqué par le moteur de son avion en cours d'essai sur banc (hors champ) qui parle en hurlant pour couvrir le bruit au mécanicien Piccolo qui est en train de manipuler les manettes de gaz en affichant un sourire raviImage tirée de Mon Voisin Totoro.
On y voit l'image iconique de Totoro, une créature légendaire au sourire énorme qui attend à un arrêt de bus sous une pluie battante avec un parapluie, à ses côtés Satsuki qui porte sa petite soeur Mei sur son dos, également protégée par un parapluie.Image tirée de l'animé Princesse Mononoke.
On y voit des Kodoma, petits personnages blancs aux têtes asymétriques silencieux qui sont répartis autour d'un arbre immense.
Florian JudithFlorian@oc.todon.fr
2025-04-04

Ca commence assez bien cet animé #YourForma. On sent une inspiration forte de Ghost in the Shell dans l'esthétique, mais ça prends sa propre direction, comme l'avait fait Psycho Pass en son temps.

Je suis curieux de voir comment l'histoire va se développer !
#Anime #Japanimation

2025-04-01

Je viens de finir la série #Given , après un bon mois de "pause" entre fin de la série et le film, et elle prend clairement une place de choix dans ma liste de celles qui m'ont le plus plût !
Tellement d'émotions qui passent, sur le theme de la musique, et ca fait vraiment du bien sur plein d'aspects (oui je reste vague pour ne rien spoil 😊).
Merci a @englishroses_ pour cette magnifique découverte!!! ❤️

#japanimation #series

Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-03-25

Kanata no Astra ; le voyage d’une jeunesse.

Allons désormais encore au travers des étoiles, avec l’anime Kanata no Astra. Tout droit sorti du studio Lerche cet été 2019, cette série s’étale sur douze épisodes de vingt-quatre minutes, qui vont nous faire suivre une bande de lycéens réunis pour un voyage scolaire su

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#Japanimation #Magzinearticles #PopCulture #anime #KanataNoAstra #Lerche #sciencefiction

Camélia StudioCamelia@shelter.moe
2025-03-11

Akatsuki no Yona ; Yona, la princesse de l’aube.

Yona, princesse de l’aube, ou Akatsuki no Yona pour le titre original nippon, est un manga écrit par Mizuho Kusanagi, relatant les aventures de l’héroïne éponyme Yona. Publiée le 5 août 2009, l’histoire se compose actuellement d’une trentaine

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#Japanimation #Magzinearticles #MangaBandedessine #PopCulture #AkatsukiNoYona #anime #manga #MizuhoKusanagi

2025-02-26

Urotsukidōji : Une œuvre choc et avant-gardiste

J’ai vu Urotsukidōji: Legend of the Overfiend vers le milieu des années 90. Honnêtement, à l’époque, c’était vraiment fun et, quand on n’avait connu que la japanimation « classique », il faut dire que c’était un choc. Presque jubilatoire. Ce n’était pas seulement une découverte visuelle, c’était une véritable remise en question de ce que pouvait être l’animation japonaise.

À une époque où l’on associait encore largement l’animation aux récits d’aventure traditionnels ou aux shōnen formatés, Urotsukidōji venait briser toutes les attentes avec une brutalité saisissante. Ce film n’était pas seulement un ovni, c’était un véritable électrochoc culturel qui ouvrait la porte à une nouvelle perception de l’animation, plus adulte, plus expérimentale et surtout, plus transgressive.

Loin d’être un simple hentai grotesque, Urotsukidōji propose une histoire ambitieuse et une mythologie fascinante. Il ne se contente pas de provoquer, il construit un univers où le concept de l’Apocalypse n’est pas un événement à éviter, mais une transformation inéluctable du monde. L’idée d’un Super-Dieu, le Chōjin, qui ne vient pas sauver la Terre mais la refaçonner selon une nouvelle logique, était une vision audacieuse pour l’époque. Ce qui rend l’œuvre encore plus percutante, c’est la façon dont elle traite les notions de destinée, de transcendance et de fatalité. Loin d’un simple délire visuel, c’est une fresque où la puissance divine se manifeste dans la destruction et la renaissance d’un monde corrompu.

Cette approche narrative, mêlant visions mystiques et horreur organique, fait de Urotsukidōji une œuvre singulière qui dépasse largement son étiquette de simple anime interdit aux mineurs.

Un impact visuel et narratif majeur

Visuellement, Urotsukidōji est une démonstration de ce que l’animation japonaise peut produire de plus extrême.

  • Le character design est marqué, les expressions des personnages sont souvent intenses et exagérées.
  • L’animation des mutations et transformations est organique, fluide, donnant une véritable impression de chair et de chaos.
  • Les séquences hallucinatoires et cauchemardesques rappellent parfois des visions lovecraftiennes du corps humain soumis à des forces inhumaines.
  • La mise en scène, avec ses jeux de lumière et ses arrière-plans parfois abstraits, confère à l’ensemble une atmosphère quasi hypnotique.

Mais l’impact ne se limite pas à l’esthétique. Narrativement, la force du récit tient dans son nihilisme assumé :

  • Les personnages ne contrôlent rien et se retrouvent ballottés dans un destin inéluctable.
  • L’horreur ne vient pas que de la violence graphique, mais aussi du sentiment de décadence absolue du monde.
  • L’idée d’un cycle de destruction et de renaissance, lié à la venue du Chōjin, donne une dimension presque mystique au chaos ambiant.
  • La disparition progressive des repères moraux et sociaux dans l’histoire renforce la sensation d’aliénation et d’inévitabilité.

On retrouve ici une vision pessimiste et cruelle de l’existence, où même les rares instants d’humanité sont balayés par la fatalité. Urotsukidōji n’est pas simplement un film qui choque par son imagerie, il perturbe aussi par son fond, laissant une impression durable bien après le visionnage. Il s’agit d’un regard sans concession sur la nature du pouvoir, de la domination et du chaos, une réflexion qui dépasse largement son cadre initial.

Une inspiration malaisée pour du jeu de rôle

Si l’histoire, la toile de fond, le traitement et les personnages étaient réellement bien pensés, je ne savais pas quoi en faire rôlistiquement parlant à l’époque. Milieu des années 90, les JDR que l’on pratiquait étaient encore assez « classiques », et l’univers d’Urotsukidōji semblait trop extrême, trop déstabilisant pour être aisément adapté en partie. Difficile d’introduire un monde aussi brutal et sans concessions dans des parties où la structure restait encore influencée par des modèles plus traditionnels. À l’époque, même les jeux à la tonalité plus sombre comme L’Appel de Cthulhu ou Kult avaient du mal à gérer un niveau de chaos et d’ultra-violence aussi élevé.

Aujourd’hui, avec le recul et une approche plus large des styles de jeu, je pense qu’il y aurait moyen d’exploiter cet univers sous un autre angle. Une vision de Tokyo à la Guillermo del Toro dans Pacific Rim pourrait être une approche intéressante. Une ville où les mutations et la fusion des réalités sont devenues le quotidien, où des forces surnaturelles titanesques se déchaînent dans un monde déjà à l’agonie. Une telle approche permettrait de garder la démesure de l’œuvre tout en lui offrant une structure plus jouable.

Avec les bons outils rôlistiques, on pourrait imaginer un système à la Blades in the Dark pour gérer une faction de survivants cherchant à comprendre et survivre à cet univers en mutation. Ou encore un cadre Chroniques Oubliées Cthulhu pour une enquête sur les origines du Chōjin et la vérité cachée derrière les trois mondes. Un autre angle serait d’explorer l’idée d’une résistance humaine, tentant désespérément de garder une structure sociale fonctionnelle dans un monde en train de muter de manière irréversible. À l’opposé, un jeu où les personnages incarnent directement des êtres issus de ces transformations pourrait offrir un point de vue complètement différent.

Un PBTA (Powered by the Apocalypse) pourrait également être un excellent outil pour retranscrire la montée en puissance inexorable des personnages, jusqu’à leur perte d’humanité et leur fusion avec l’univers chaotique d’Urotsukidōji. Ce système permettrait de mettre en scène non seulement l’action et les conflits, mais aussi l’évolution psychologique et métaphysique des protagonistes, un élément essentiel du film.

Une œuvre culte et sans concessions

Au final, Urotsukidōji reste une œuvre maudite, controversée, mais avant-gardiste. Elle appartient à cette époque de la japanimation où tout était encore possible, où l’on pouvait explorer les limites du genre sans crainte des conventions actuelles. Une époque où l’on osait tout, pour le meilleur et pour le pire.

Avec le recul, c’est une œuvre qui mérite une redécouverte, non pas pour son contenu choc, mais pour son ambition et son audace narrative. C’est un témoignage d’une époque où l’animation japonaise cherchait encore ses propres frontières, quitte à aller trop loin. Urotsukidōji n’est pas juste un OVNI de l’animation, c’est un marqueur d’une époque, une œuvre qui, malgré ses excès, conserve une aura unique, dérangeante, mais fascinante. Son influence, bien que rarement revendiquée, a marqué toute une génération d’auteurs et de spectateurs. Elle incarne l’essence même de l’expérimentation, du refus des limites, et d’une époque où le choc visuel et narratif était encore une finalité en soi.

#anime #années1980 #Hentai #Japanimation #Manga

Urotsukidōji: Legend of the OverfiendUrotsukidōji: Legend of the Overfiend
2025-02-23

ミラノ中心部のデータ収集で街歩きしながら、ふと立ち寄ったアニメグッズショップを観察していたら、Naruto, DRAGONBALL, HUNTERxHUNTER, Pokémon, 鬼滅の刃, 進撃の巨人あたりは納得として、ジョジョやダンダダン、ブルーロック、ハイキュー, 呪術廻戦あたりはフムフムと見つつ、暗殺教室が結構大きく扱われていて意外。あのストーリーはグローバルでも刺さるのか!考えてみればGTOもグローバルで人気あるし、日本の学園物ジャンルってそれなりに存在感あるんだなぁ。暗殺教室は名作だと思っているので、ミラノで再会できて嬉しい。

#japanimation #Anime #Manga #ころせんせい #Milano #FuruhashiLab #古橋研究室 #AoyamaGSC #青学 #GEOlab #PoliMI

2025-02-17

Currently watching this anime for the first time :

Terror in Resonance (2014)

For real, this has an enthralling storytelling so far (ep5). This is such a gem. Very excited to appreciate it to the fullest.

Give it a go, You won't be dissapointed.
Badass soundtrack / Bikes / Bomb / Explosion / Mystery

#2014

Some info about Terror in resonance productionImage picturing the main characters of the anime serie underlayed by a broken glass pattern.

Subtext : This anime is soo underated.
2024-11-18

La septième obsession
Numéro 45 – Mars-avril 2023
Dossier 50 ans de Japanimation (アニメ)

L’animation japonaise en 27 films et séries : Akira, Your Name., Nausicaä de la Vallée du vent, L’Attaque des titans, Neon Genesis Evangelion, Albator, Goldorak, Paprika, Death Note, Vinland Saga, Cowboy Bebop, Cobra…

ISAO TAKAHATA (高畑勲)
De son esprit curieux sont nées certaines des œuvres les plus singulières de l’histoire de l’animation japonaise (Le Tombeau des lucioles, Le Conte de la princesse Kaguya…) et de sa collaboration avec Miyazaki le studio Ghibli.

MAMORU OSHII (押井守)
Mamoru Oshii investit de nombreux canaux pour exprimer sa vision du monde, aussi désabusée que fascinante : Ghost in the Shell, L’Œuf de l’Ange, Patlabor…

SATOSHI KON (今敏)
Tragiquement disparu en 2010, Satoshi Kon n’a pu réaliser que quatre longs-métrages animés mais son empreinte sur le cinéma d’animation japonais est incommensurable.

MAGICAL GIRLS (魔法少女)
Les magical girls, ces super-héroïnes enfilant leur costume d’un coup de baguette, incarnent une hyperféminité  qui n’a cessé de montrer qu’on peut changer le monde, en couleurs.

MECHA (メカ)
Le mecha a fait rêver plusieurs générations avec ses robots ultra-stylisés.

https://www.laseptiemeobsession.com/japanimation

#anime #japanimation #manga #cinema #serie #revue #Japon

Couverture du magazine, fond jaune et une illustration extraire d’Akira. Le personnage est assis sur un trône futiriste.
2024-11-14

« Hayao Miyazaki et le Héron »
Au cinéma en France les 21 et 22 novembre

Ce film documentaire japonais, d’une durée de deux heures, offre un regard intime et captivant sur l’un des maîtres incontestés de l’animation, Hayao Miyazaki lors de la réalisation de son dernier film en date, « Le Garçon et le Héron ».

Une plongée dans l’univers créatif et la vie personnelle de ce réalisateur légendaire, connu pour ses œuvres emblématiques telles que « Le Voyage de Chihiro », « Princesse Mononoké » et « Mon Voisin Totoro ». Le documentaire explore les coulisses de son processus artistique, ses inspirations et ses défis...

https://www.studioghibli.fr/sortie-du-documentaire-hayao-miyazaki-et-le-heron-au-cinema-en-france-les-21-et-22-novembre/

#anime #japanimation #animation #documentaire #HayaoMiyazaki #Miyazaki #Japon

Affiche du film, illustrée d’un portrait de Miyazaki (photo) sur fond de paysage et ciel bleu.

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