#Testet

2025-02-27

En 2014, François HOLLANDE, VALLS, CAZENEUVE, et le préfet Thierry GENTILHOMME, se livraient à une répression violente à l'égard des militants et activiste se soldant par la mort le 26 octobre du jeune botaniste de 21 ans, Rémi FRAISSE.
Je m'étais rendu peu de temps avant sur le lieu de ce chantier au bord du ruisseau "Le Tescou" pour observer et témoigner de que représentais l'acte de curage par les pelleteuses après le déboisement.
tinyurl.com/3svybwdx
#sivens #testet #justice

Isaac TUSCQisaactuscq
2025-02-27

En 2014, François HOLLANDE, VALLS, CAZENEUVE, et le préfet Thierry GENTILHOMME, se livraient à une répression violente à l'égard des militants et activistes se soldant par la mort le 26 octobre du jeune botaniste de 21 ans, Rémi FRAISSE.
Je m'étais rendu peu de temps avant sur le lieu de ce chantier au bord du ruisseau "Le Tescou" pour observer et témoigner de ce que représentait l'acte de curage par les pelleteuses après le déboisement.
tinyurl.com/3svybwdx

Bassines ? Bah Non !BassinesNon@social.tmprs.net
2025-02-27

Communiqué de Jean-Pierre Fraisse, le père de Remi, via son avocat Me Arié Alimi :

La Cour Européenne des droits de l'Homme a condamné ce jour l’Etat Français en affirmant sa responsabilité dans le décès de Rémi le 26 octobre 2014 causé par le lancer de grenade offensive par un gendarme mobile sur le chantier de Sivens. Cette condamnation établit de manière définitive que Rémi, qui n’avait que 21 ans, a été tué par la France en raison des ordres de maintien de l’ordre et d’usage de la force manifestement disproportionnés. L'Histoire lui a donné raison puisque le chantier de Sivens sur la zone Humide du Testet a été annulé par les juridictions administratives en raison de son illégalité manifeste. Les membres du gouvernement de l'époque qui ont donné les ordres ont la responsabilité de la mort de Rémi. Ceux qui au sein de l'institution judiciaire et de l’armée ont contribué à protéger les responsables ont, de fait, endossé la même responsabilité. Malheureusement, une fois de plus, la France ne sort pas grandie de cette affaire. Elle le serait si elle mettait tout en œuvre pour que de tels faits ne se reproduisent pas. Pour Rémi

#RemiFraisse #Sivens #Testet #ViolencesPolicieres #justice

Même texte que dans le message
Bassines ? Bah Non !BassinesNon@social.tmprs.net
2025-02-27

Mort de Rémi Fraisse : la France condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme pour violation du droit à la vie

Alors que le gendarme à l’origine du tir de grenade qui a tué Rémi Fraisse a bénéficié d’un non-lieu, la CEDH pointe des « lacunes du cadre juridique et administratif » et des « défaillances de l’encadrement dans la préparation et la conduite des opérations ».

Extrait :

La CEDH relève que la France était le « seul pays à utiliser de pareilles munitions », des grenades offensives OF-F1 « d’une dangerosité exceptionnelle », pour des opérations de maintien de l’ordre. Le recours à cette arme était « problématique », « en raison de l’absence d’un cadre d’emploi précis (…) prévoyant [au minimum] une formation sur sa dangerosité, sur les dommages susceptibles d’être occasionnés (…) et le respect d’une distance de sécurité ». Elle rappelle aussi que les gendarmes avaient agi dans l’obscurité, leur matériel d’éclairage étant « très insuffisant » et « de faible autonomie ». Et le haut-parleur utilisé pour les sommations « s’est avéré défectueux ».

La Cour pointe aussi « les défaillances de la chaîne de commandement, en particulier l’absence de l’autorité civile sur les lieux ». Le préfet du Tarn, Thierry Gentilhomme, avait délégué l’autorité civile à un commandant qui avait lui-même quitté les lieux en début de soirée.

Lire l’article (accès libre) : https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/02/27/mort-de-remi-fraisse-la-france-condamnee-par-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme-pour-violation-du-droit-a-la-vie_6567054_3244.html

#RemiFraisse #ViolencesPolicieres #Sivens #Testet #justice

Lors d’une marche blanche, en pleine nature, en mémoire de Rémi Fraisse, en octobre 2015, de Gaillac à Sivens, une manifestante porte une pancarte : Hommage à Rémi.
WDR (inoffiziell)wdr@squeet.me
2025-01-16
Als erstes Opernhaus deutschlandweit setzt Wuppertal eine neue Technik für Gehörlose ein und bietet ihnen so Teilhabe an Kultur.#RegioBeitrag16012025Wuppertal #wdr #Oper #testet #neue #Technik #Gehörlose
Wuppertal macht Oper für Gehörlose möglich
Hydrooos 🌍🏞️🌱🔍💧💧🐟🪱🦠hydrooos@piaille.fr
2024-10-18

Sivens 10 ans après
Pour la Sauvegarde de la Zone Humide du Testet et du Vivant.

"26 octobre 2014 – 26 octobre 2024 : dix ans se sont écoulés et le même scénario se déroule dans le Tarn. Projet d’autoroute A69 et projet de barrage de Sivens : même déni démocratique, mêmes destructions de la nature, mêmes répressions brutales des résistant.e.s, mêmes mises en danger de vies humaines. ASSEZ !"

Rémi Fraisse était membre de Nature en Midi-Pyrénées (devenu depuis Nature En Occitanie), association locale de FNE.
A jamais dans nos combats.

fne-op.fr/2024/09/26/sivens-10

#Sivens #Testet #ZonesHumides #Eau #FranceNatureEnvironnement #ecologie #RemiFraisse #StopA69

Image dessinée de la Renoncule à feuilles d’ophioglosse, plante dont Rémi, botaniste, était spécialiste, sera le symbole de cet hommage et de son engagement pour la nature.
5 pétales jaunes et un pistil (au milieu) en vert.
Dirk Bachhausendirk@www.bachhausen.de
2024-03-19

Dieser Artikel stammt von Netzpolitik.org.

Der Polizei in Bayern fehlt eine Rechtsgrundlage für den aktuellen Testeinsatz von Palantir-Software. Der bayerische Datenschutzbeauftragte fordert, den Test der Analyse-Software einzustellen. Auch die Wissenschaftlichen Dienste des Bundestags begründen nun, warum sie die Erprobung mit Daten echter Menschen für rechtswidrig halten.

Die Palantir-Software soll Polizeidatenbanken miteinander verbinden. Der Testbetrieb läuft mit Daten echter Menschen. (Diffusion Bee)

Schon seit März 2023 nutzt die bayerische Polizei Palantir, eine automatisierte Analysesoftware, die Polizei-Datenbanken miteinander verknüpft. Nun gibt es Widerstand gegen den Testbetrieb der Software, die tief in Grundrechte eingreift. Wie vergangene Woche der Bayerische Rundfunk (BR) berichtete, soll das Bayerische Landeskriminalamt den Testbetrieb stoppen, weil er rechtswidrig sei.

Der zuständige bayerische Landesdatenschutzbeauftragte Thomas Petri hatte durch eine journalistische Recherche erfahren, dass ein Testbetrieb mit Echtdaten tatsächlicher Menschen läuft. Er kündigte im November 2023 an, das Vorgehen des Landeskriminalamtes rechtlich zu prüfen. Er kam nun zu dem Ergebnis, dass eine Rechtsgrundlage fehle und daher der Testeinsatz enden müsse.

Darüber hinaus verweist der BR auch auf eine aktuelle Ausarbeitung der Wissenschaftlichen Dienste des Bundestags vom 17. Januar 2024, die nun öffentlich zugänglich ist. Darin geht es auch um die Testbetrieb der Palantir-Software in Bayern, die mit einem Zugriff auf Echtdaten von Menschen stattfindet. Die Wissenschaftlichen Dienste prüfen in der Ausarbeitung mögliche Rechtsgrundlagen und kommen ebenfalls zu dem Ergebnis, dass der Testbetrieb der Datenanalysesoftware nicht legitimiert ist.

Karlsruhe warnt, Bayern testet trotzdem

Seit 2022 verfügt das Bayerische Landeskriminalamt über die Software des US-Konzerns, der in Deutschland durch die Palantir Technologies GmbH vertreten wird. Die Behörde hat der Software den Namen „Verfahrensübergreifendes Recherche- und Analysesystem“ (VeRA) gegeben. Nach einer europaweiten Ausschreibung war der Zuschlag an Palantir erteilt worden. Das auf Überwachung und Datenanalyse spezialisierte Unternehmen soll mit VeRA verschiedene Datenbanken der Polizei verknüpfen.

Beim Einsatz solcher Software kommt es zu erheblichen Grundrechtseingriffen, wie das Bundesverfassungsgericht in seiner Palantir-Entscheidung vom 16. Februar 2023 unterstrichen hat. Der Gesetzgeber in Bayern hat dennoch vor dem Test keine Rechtsgrundlage geschaffen. Es liegt bisher im Freistaat noch nicht einmal ein entsprechender Entwurf vor. Dabei müsste sich die heimliche Überwachungsmaßnahme an den neuen Vorgaben aus Karlsruhe messen.

Das Urteil macht detailreiche verfassungsrechtliche Vorgaben für den Einsatz von Software wie Palantir beziehungsweise VeRA, an die Gesetzgeber gebunden sind. Das Gericht wird zudem auch in naher Zukunft im Streit um die automatisierte polizeiliche Datenanalyse wieder angerufen werden, denn die GFF hat bereits eine neuerliche Verfassungsbeschwerde angekündigt. In diesem Fall geht es um ein anderes Bundesland: Aus Sicht der GFF missachtet eine Neuregelung in Hessen nach dem Urteil aus Karlsruhe die grundrechtlichen Vorgaben. Zusätzlich läuft bereits eine weitere Verfassungsbeschwerde gegen die gesetzliche Regelung zur automatisierten Datenanalyse im Bundesland Nordrhein-Westfalen.

Die anderen Bundesländer blicken nach Bayern

Die Wissenschaftlichen Dienste schreiben in ihrer Ausarbeitung, dass die neuen Anforderungen aus dem Karlsruher Urteil auch für einen Testbetrieb gelten müssen, wenn die Erprobung mit Echtdaten läuft. Das ist in Bayern unbestritten der Fall. „Der Testbetrieb ist an den gleichen rechtlichen Voraussetzungen zu messen wie der Einsatz von Datenanalyseinstrumenten in der Polizeiarbeit.“ Die Begründung dafür sind die schweren Grundrechtseingriffe, die echte Menschen betreffen. In welche Grundrechte bei einer automatisierten polizeilichen Auswertung von Datenbanken wie eingegriffen wird, hatten die Wissenschaftlichen Dienste bereits 2020 analysiert.

Das aktuelle bayerische Polizeiaufgabengesetz genüge als Rechtsgrundlage nicht, halten die Wissenschaftlichen Dienste nun fest. Zwar könne das Gesetz eine Zweckänderung der gespeicherten Daten rechtfertigen, aber das sei hier nicht gegeben: Da es sich um einen Testbetrieb handele, kämen keine konkreten polizeilichen Tätigkeiten zur Gefahrenabwehr in Frage, die eine solche Umwidmung von Daten begründen könnten.

Aus der Ausarbeitung der Wissenschaftlichen Dienste geht hervor, dass auch das bayerische Datenschutzgesetz kaum als Rechtsgrundlage für den Palantir-Einsatz taugen könnte. Darauf hatte sich die Landesregierung ausdrücklich berufen. Es könne aber laut Wissenschaftlicher Dienste „mangels Kenntnis der Details des Testbetriebs hier nicht beurteilt werden“, ob diese Datenverarbeitung „erforderlich und verhältnismäßig“ sei und die „zahlreichen Kriterien, die das Bundesverfassungsgericht hinsichtlich der Eingriffsintensität aufgestellt hat“, berücksichtigt worden sind.

Bundesländer nicht scharf auf Palantir

Der Streit um den Testbetrieb dürfte auch jenseits des Freistaates Beachtung finden. Denn der Rahmenvertrag, den Bayern mit Palantir geschlossen hat, ermöglicht es anderen Polizeibehörden der Länder und auch des Bundes, VeRA zu nutzen. Nicht alle Bundesländer haben bereits eine Entscheidung gefällt, ob sie ebenfalls Palantir-Software nutzen wollen. Der Idee besonders zugeneigt sind bisher nur wenige Länder. Ein rechtswidriger Testbetrieb in Bayern dürfte Palantirs bundesweite Chancen nicht gerade verbessern.

Offenlegung: Ich war technische Sachverständige in dem Beschwerdeverfahren, das zum Palantir-Urteil des Bundesverfassungsgerichts im Februar 2023 führte.

Die Arbeit von netzpolitik.org finanziert sich zu fast 100% aus den Spenden unserer Leser:innen.
Werde Teil dieser einzigartigen Community und unterstütze auch Du unseren gemeinwohlorientierten, werbe- und trackingfreien Journalismus jetzt mit einer Spende.

Zur Quelle wechseln
Zur CC-Lizenz für diesen Artikel

Author: Constanze

https://www.bachhausen.de/automatisierte-polizeidatenanalyse-bayern-testet-rechtswidrig-palantir-software/

#automatisierte #bayern #palantir #polizeidatenanalyse #rechtswidrig #software #testet

Dirk Bachhausendirk@www.bachhausen.de
2024-03-19

Dieser Artikel stammt von Netzpolitik.org.

Signal testet die lang erwartete Funktion, Kontaktpersonen die eigene Telefonnummer nicht mehr anzuzeigen. Nach einem erweiterten Test soll das Feature im Jahr 2024 endlich kommen. Allerdings muss man sich auch dann weiter mit der Telefonnummer registrieren.

Signal gehört zu den beliebten sicheren Messengern. – Alle Rechte vorbehalten IMAGO / NurPhoto

Der beliebte verschlüsselte Messenger Signal testet die Verwendung von Nutzernamen als Zusatz zu Telefonnummern. Zur Verwendung des Messengers ist eine Registrierung mit einer Nummer nötig, zudem wird die Nummer in Chats offen angezeigt. Die Registrierung mit einer Telefonnummer wird auch in Zukunft bleiben, es soll dann aber die Möglichkeit geben, dass man bei der Nutzung des Messengers diese Nummer nicht mehr anzeigt.

Signal hat nun erstmals eine Alpha-Version veröffentlicht, die mit Nutzernamen funktioniert und ruft in seinen Community-Foren zum Testen auf. Dort heißt es:

Nach einigen internen Testrunden sind wir nun an einem Punkt angelangt, an dem wir glauben, dass die Community, die diese Foren antreibt, uns dabei helfen kann, vor dem öffentlichen Start noch weiter zu testen.

Schon seit 2019 hat Signal immer wieder verkündet, dass man an einer Version arbeite, die ohne das Anzeigen der Telefonnummern auskomme, doch bislang hat sich das Projekt offenbar schwer getan dies wirklich umzusetzen. Laut dem britischen PCMag ist der Rollout für die Nutzernamen-Version von Signal für Anfang 2024 geplant. Die Präsidentin der Signal Foundation, Meredith Whittaker, begründete zuletzt die lange Wartezeit damit, dass der Schritt eine große Überarbeitung der Architektur des Messengers sei.

Laut einem Screenshot der Testversion können Nutzer:innen, die schon registriert sind, in Zukunft ausschalten, dass sie über die Telefonnummer gefunden werden. Gleichzeitig soll der Nutzername als QR-Code teilbar sein. Es wird auch in Zukunft nicht möglich sein, sich bei Signal ohne Telefonnummer zu registrieren. Dies bestätigte Signal auf eine Presseanfrage von netzpolitik.org mit Verweis auf einen Blogpost zum Thema. Kritische Stimmen befürchten zudem, dass durch das neue Feature mehr Daten bei Signal anfallen als bisher.

In Gruppenchats wichtig

Dass man bei Signal mit seiner Telefonnummer unterwegs ist und diese in privaten und Gruppenchats sichtbar ist, ist neben anderen Punkten eine immer wiederkehrende Grundkritik am Aufbau des Messengers. Denn Telefonnummern gelten als sensible persönliche Information, weil sie sehr selten gewechselt werden. Sie sind eine stabile eindeutige Kennung, mit der Personen durch private Akteure und staatliche Behörden identifiziert werden können. Hinzu kommt, dass eine Telefonnummer auch zur Belästigung und ähnlichem genutzt werden kann.

Tritt man also einem Gruppenchat bei, können alle Personen im Chat alle Telefonnummern sehen. Dies ist ein Hemmnis für Chats mit bis dahin unbekannten Personen oder in Zusammenhängen, in denen man generell pseudonym kommunizieren will. Auch bei Gruppenchats ist die bisherige obligatorische Nummernanzeige bei Signal ein Grund dafür, warum beispielsweise der Messenger Telegram trotz fehlender Verschlüsselung in politischen Kontexten immer noch mehr genutzt wird. Bei Telegram können Nutzer:innen ihre Nummer zumindest unterdrücken, sie ist dennoch hinterlegt.

Andere Messenger wie das kostenpflichtige Threema oder das auf Signal basierende Session benötigen gar keine Telefonnummer bei der Registrierung.

Die Arbeit von netzpolitik.org finanziert sich zu fast 100% aus den Spenden unserer Leser:innen.
Werde Teil dieser einzigartigen Community und unterstütze auch Du unseren gemeinwohlorientierten, werbe- und trackingfreien Journalismus jetzt mit einer Spende.

Zur Quelle wechseln
Zur CC-Lizenz für diesen Artikel

Author: Markus Reuter

https://www.bachhausen.de/messenger-signal-testet-version-mit-nutzernamen-statt-telefonnummern/

#messenger #nutzernamen #signal #statt #telefonnummern #testet #version

Messenger: Signal testet Version mit Nutzernamen statt Telefonnummern
Hydrooos 🌍🏞️🌱🔍💧💧🐟🪱🦠hydrooos@piaille.fr
2023-10-23

9 ans après la mort de Rémi Fraisse Rassemblement au #Testet (#Sivens) SAMEDI 28 octobre 2023
#ZonesHumides #Ecologie

collectif-testet.org/index.php

Bassines ? Bah Non !BassinesNon@social.tmprs.net
2023-05-04

Grâce aux mégabassines, une entreprise profite de l’argent public

Derrière les mégabassines ou le barrage de Sivens, on trouve la discrète Compagnie d’aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG). Promouvoir l’irrigation lui permet de capter des financements publics.

Extraits :

Pour une entreprise de taille relativement modeste (236 salariés), la liste des affaires dans laquelle la CACG est mouillée est étonnamment longue. Elle était à l’origine du projet pharaonique du barrage de Charlas dans les Pyrénées dans les années 1980-1990, et a exploité pendant des années le barrage de Fourogue, construit illégalement dans le Tarn. La Compagnie est aussi régulièrement condamnée pour des prélèvements abusifs dans les cours d’eau, encore dernièrement en 2021.

Mais la CACG est sortie de l’anonymat avec son rôle déterminant dans le projet de barrage de Sivens, dans le Tarn. Dès 2001, la Compagnie a mené pour le compte du département du Tarn-et-Garonne une étude sur les besoins en eau de la vallée du Tescou entre Gaillac et Montauban. Elle a conclu à la nécessité de construire un barrage de 1 million de mètres cubes, réévalué en 2009 à 1,5 million, dont plus de 60% de l’eau stockée serait destinée à l’irrigation. Tant pis si le nombre d’agriculteurs réellement intéressés était inférieur à 20. Et tant pis si l’étude d’impact avait négligé une zone humide importante, le Testet.

https://reporterre.net/Grace-aux-megabassines-une-entreprise-profite-de-l-argent-public

#eau #communs #capatation #agroindustrie #Sivens #Testet

Carte des bassins dont la gestion est assurée par la CACG
(((~escalatress~)))raiserin@todon.nl
2023-04-01
Axe vert de La Ramée ⏚axevertramee@mamot.fr
2022-10-29

Aujourd'hui à #Sivens nous n'oublions pas #RémiFraisse tué il y a 8 ans sur la #ZAD du #Testet.

Intervenant devant une pancarte :

Rémi Fraisse
Mort au Testet il y a 8 ans
Point juridique 
Lutte de la famille de Rémi
Kicker (inoffiziell)kicker@friendica.produnis.de
2021-12-01
Die FIFA testet eine halb-automatische Abseitserkennung. Ist die Probe erfolgreich, soll bei der WM in Katar digital über Abseits entschieden werden. Wie soll das funktionieren?
VAR das Abseits?
#digital #testet #halb-automatische #erfolgreich #abseits #fifa #abseitserkennung #probe #entschieden
2020-12-10

RT @mbompard@twitter.com

Plusieurs années plus tard, la justice reconnaît la légitimité de la lutte contre le barrage du #Testet. Une pensée pour Rémi Fraisse qui aura laissé sa vie dans ce combat.
liberation.fr/france/2020/12/0

🐦🔗: twitter.com/mbompard/status/13

2020-11-20
[Brochures] Pour Zyed, Bouna, Rémi et les autres : ni oubli ni pardon !

Super-bulletin n°45 d'infokiosques.net (novembre 2020).

https://paris-luttes.info/brochures-pour-zyed-bouna-remi-et-14492

#Expression_-_Contre_culture #fanzines #violences_policières #meurtres_de_la_police #Testet #mort_de_Rémi_Fraisse #violence_révolutionnaire_-_émeute

Via RSS : https://paris-luttes.info/spip.php?page=backend&lang=fr
Paris-Luttes - Rss Botparisluttes@mastodon.bida.im
2020-11-20
2019-11-13
Appel du non-lieu dans la mort de Rémi Fraisse, compte-rendu

Le jeudi 10 octobre 2019 se tenait à Toulouse l'audience d'appel du non-lieu dans la mort de Rémi Fraisse. Compte rendu par le site Désarmons-les !
Rémi Fraisse avait été tué à Sivens dans la nuit du 25 au 26 octobre 2014.
À Paris, de nombreux rassemblements eurent lieux en 2014 et pars la suite.

https://paris-luttes.info/appel-du-non-lieu-dans-la-mort-de-12868

#Répression_-_prisons #justice #procès #luttes_environnementales #police #meurtres_de_la_police #Testet #projets_inutiles #mort_de_Rémi_Fraisse #<span_class="caps">ZAD</span>

Via RSS : https://paris-luttes.info/spip.php?page=backend&lang=fr
🔜@ValK@piaille.frValk@mamot.fr
2018-10-17

Je sais bien que tu ne l'as pas fait exprès @michel_delean, mais avec ce titre nous sommes plein à voir se relancer une grenade qui va se loger pile dans le creux que forment les épaules des bras levés de #Rémi_Fraisse et son sac😢
Impossible oubli, impossible pardon...
mediapart.fr/journal/france/16
via @Mediapart
#Testet #Sivens @SoutienTestet

Client Info

Server: https://mastodon.social
Version: 2025.04
Repository: https://github.com/cyevgeniy/lmst