#Discrimination

Dennis Alexis Valin Dittrichdavdittrich@fediscience.org
2025-05-31

Who Gets the Callback? Generative AI and Gender Bias d.repec.org/n?u=RePEc:arx:pape
"… most #llm models reproduce stereotypical gender associations and systematically recommend equally qualified women for lower-wage roles, indicating occupational segregation.
… These biases stem from entrenched gender patterns in the training data as well as from an agreeableness bias induced during the reinforcement learning from human feedback stage
.…AI-driven hiring may perpetuate biases in the labor market and have implications for #fairness and diversity within firms"
#AI #jobtech #ExperimentalEcon #LaborEconomics #discrimination #bias

2025-05-31

The LGBTQ community is going to notice and remember who stood by them while the community is being attacked. No courage = no loyalty = shop elsewhere.

fastcompany.com/91340546/so-mu #LGBTQ #Pride #Oppression #Discrimination #Hate #Community

2025-05-31

Study examines impact of rising discrimination on 2SLGBTQ+ people in N.S. and N.B.
A Dalhousie University study aims to understand the mental health impact on 2SLGBTQ+ people from rising discrimination and rhetoric targeting them and how to limit that impact.
#discrimination #mentalhealth #lgbtq #NS #NB #News
cbc.ca/news/canada/nova-scotia

2025-05-31

@nicolasframont @frustrationmagazine

:ninaZapatista: Peut-on être féministe et réclamer des espaces "No kids" ? :ninaZapatista:

Je vous colle là l'article d'Ovidie paru dans Femme Actuelle en 2024 pour vous éviter d'aller cliquer sur ce site appartenant a #Bolloré

”Salut, je m’appelle Ovidie, je suis autrice, réalisatrice et daronne depuis dix-neuf ans déjà. Un jour ma mère m’a dit « Les chiens c’est comme les enfants, on ne tolère que les siens. Et Vice versa ». Et je ne suis pas loin de ressentir la même chose. Je ne suis pas du genre à fondre devant un gazouillis de nourrisson, je n’ai pas cet élan. Pour autant, les enfants ne me dérangent pas. Je peux jouer ou discuter avec eux, on peut me les confier les yeux fermés… Mais je dois avouer qu’ils m’indiffèrent. La seule enfant que j’aime fondamentalement, c’est la mienne. Donc je comprends qu’on ne soit pas gaga devant un bébé en BabyBjörn. Et pourtant, les No Kids, vous commencez sérieusement à me courir sur le haricot. Enfin, pas toutes les No Kids, juste celles qui en ont détourné la dimension politique pour n’en conserver que l’aspect ultra-individualiste. Et c’est de ça dont j’ai envie de vous parler dans la Pause d’été de Simone.

Depuis quelques temps, les espaces dits « Child Free » se multiplient. On parle de plus en plus de mariages, de croisières, d’hôtels et plus largement de vacances réservées aux adultes. Pardonnez-moi, mais à moins de songer à organiser une partouze, je ne vois pas bien l’intérêt. De plus en plus de gens réclament des transports et restaurants sans enfants. Difficile de savoir s’il s’agit d’une réalité ou d’un prisme médiatique. Il n’empêche que cette petite musique est bel et bien là désormais, dans nos sphères de pensées. Elle était déjà présente dans les « pffffffff » et les regards noirs lorsqu’un bébé pleurait dans un train. Elle est aujourd’hui décomplexée, on ne veut pas céder sa part de confort, balek le vivre-ensemble. Derrière ces soupirs et agacements, il y a cette idée que les enfants n’ont pas leur place dans l’espace commun et que leur existence se limite au foyer, avec leur daronne. Je dis « leur daronne » car ne nous y trompons pas, on compte 2 millions de mères célibataires en France. Ne vous cachez pas derrière votre petit doigt à coup de « Mais ils ont bien des pères ces gamins ! ». Tout d’abord parce que non, pas forcément, un enfant n’a pas forcément de père. Soit parce qu’on l’a fait seule, soit parce qu’il a deux mères, soit parce que le père a trissé, soit parce qu’il est démissionnaire depuis qu’il a refait sa vie avec sa prof de zumba. Quant aux « pères solos », ils ne sont que 250 000. Donc refuser aux enfants une place dans l’espace publique, c’est la plupart du temps s’en prendre directement aux femmes. En imposant des espaces Child Free, ce ne sont pas les enfants que nous pénalisons mais bel et bien leurs mères. Ce sont elles qui se retrouvent en carafe, captives à domicile pendant que les autres font la bringue. À moins qu’elles ne se fassent des nœuds au cerveau pour trouver un mode de garde, ajoutant ainsi quelques tonnes de charge mentale.

Et je suis en colère de voir que beaucoup de mes sœurs féministes tombent dans ce piège individualiste et le justifient par un discours militant. Vous avez zappé un peu vite que peu importe que l’on soit mère ou pas, on sera toujours jugées, notre choix sera toujours mauvais. Pile tu gagnes, face je perds. Et à la fin, ne cherchez pas, ce sont toutes les femmes qui trinquent. Alors si vous faites partie de celles qui réclament des espaces Child Free, assumez de vouloir privilégier votre confort en vous épargnant une proximité immédiate les gosses des autres. Mais par pitié, n’enrobez pas ça d’une intention politique.

Durant longtemps, la maternité est restée dans un angle mort du féminisme, l’urgence ayant d‘abord été la lutte pour le droit à la contraception et à l’IVG, lutte qui reste d’actualité par ailleurs. Ce n’est finalement que très récemment, depuis les années 2010, que nous avons intégré la question maternelle dans nos combats : lutte contre les violences obstétricales, contre les violences intrafamiliales avec enjeux de garde, contre les pères toxiques perchés dans des grues, contre la pression des services sociaux, contre les pensions alimentaires non payées, pour la PMA pour toutes, les marches de mamans contre les violences policières… À peine commençons-nous à avancer sur ces enjeux que débarquent désormais des Marie-Chantal qui veulent organiser des mariages sans mouflets parce que le bruit les incommode. Aux Royaume-Uni, il y en a même qui veulent déduire de leurs impôts la part réservée à l’école publique. Wow, c’est quel niveau de dégueulasserie à ce stade ? Si vous êtes de celles qui réclament des espaces Child Free, alors nous n’avons pas la même vision du féminisme, car il n’y a pas de féminisme sans enfants. Quand je dis « sans enfants », cela ne signifie pas « sans faire d’enfants » mais plutôt « sans faire entrer les enfants dans l’équation ». Car eux aussi sont victimes de violences domestiques et systémiques. Ce qui est vraiment féministe ? C’est repenser la société de façon à faciliter les choses aux mères. Organiser des espaces où elles puissent souffler. C’est prendre le relai et mettre en place des systèmes de garderie en milieu festif. C’est ce qu’ont fait les organisatrices du festival Very Bad Mother en 2020 et le collectif la Bulle (cf les recos). Alors, laissez les gamins danser jusqu’au bout de la nuit sur la piste de danse du mariage de votre cousine, arrêtez de pester contre ce bébé qui pleure et réjouissez-vous que ce ne soit pas le vôtre. Emmenez les gamins partout où ils veulent aller tant qu’ils ne courent aucun danger, même dans les lieux culturels et institutionnels où ils ne sont pas les bienvenus, faites-leur comprendre que le monde leur appartient, ils vous remercieront plus tard.

Simone kiffe : les recommandations de notre invité.e

En août 2020 a eu lieu à Concarneau le festival « Very Bad Mother », une initiative festive et militante d’un collectif de daronnes bretonnes. Le concept ? Valoriser de nouvelles formes de parentalités, hors du cadre imposé « un couple hétéro, un papa, une maman ». On y a entre autres débattu homoparentalité, travail domestique et reproductif non-rémunéré, éducation non-sexiste… et on y a surtout beaucoup fait la fête. Une garderie avait été organisée, les daronnes se sont relayées pour permettre aux festivalières de faire la fête.

Depuis 2019, le collectif Rennais « La Bulle » propose un système de garderie autogérée qui permet aux mères de militer et manifester l’esprit libre, sans se soucier de la sécurité de leurs enfants. Cette initiative a pris de l’ampleur avec « La Bulle IDF », une section parisienne du collectif. On peut également citer la section syndicale Solidaires 31 qui propose une garderie les jours de manif.

Dans ”La Mère, la Sainte et la Putain”
(Au Diable Vauvert), l’écrivaine Wendy Delorme interroge à travers un récit intime son rapport à ces trois figures archétypales imposées aux femmes.

”Accouchement, les femmes méritent mieux” (Michalon) est un texte de Marie-Hélène Lahaye, pionnière de la lutte contre les violences obstétricales. Son livre m’a beaucoup marquée à sa sortie et m’a influencée dans la réalisation de mon documentaire Tu enfanteras dans la douleur (Arte). Elle a également été une source d’inspiration pour le collectif très actif Stop VOG qui lutte contre les violences gynécologiques. "

#Feminisme #Maternité #DominationAdulte #Adultisme #Discrimination #Daronne #Daronnie #VeryBadMother

2025-05-31

:ninaZapatista: Peut-on être féministe et réclamer des espaces "No kids" ? :ninaZapatista:

Je vous colle là un article d'Ovidie paru dans Femme Actuelle en 2024 pour vous éviter d'aller cliquer sur ce site appartenant a #Bolloré

”Salut, je m’appelle Ovidie, je suis autrice, réalisatrice et daronne depuis dix-neuf ans déjà. Un jour ma mère m’a dit « Les chiens c’est comme les enfants, on ne tolère que les siens. Et Vice versa ». Et je ne suis pas loin de ressentir la même chose. Je ne suis pas du genre à fondre devant un gazouillis de nourrisson, je n’ai pas cet élan. Pour autant, les enfants ne me dérangent pas. Je peux jouer ou discuter avec eux, on peut me les confier les yeux fermés… Mais je dois avouer qu’ils m’indiffèrent. La seule enfant que j’aime fondamentalement, c’est la mienne. Donc je comprends qu’on ne soit pas gaga devant un bébé en BabyBjörn. Et pourtant, les No Kids, vous commencez sérieusement à me courir sur le haricot. Enfin, pas toutes les No Kids, juste celles qui en ont détourné la dimension politique pour n’en conserver que l’aspect ultra-individualiste. Et c’est de ça dont j’ai envie de vous parler dans la Pause d’été de Simone.

Depuis quelques temps, les espaces dits « Child Free » se multiplient. On parle de plus en plus de mariages, de croisières, d’hôtels et plus largement de vacances réservées aux adultes. Pardonnez-moi, mais à moins de songer à organiser une partouze, je ne vois pas bien l’intérêt. De plus en plus de gens réclament des transports et restaurants sans enfants. Difficile de savoir s’il s’agit d’une réalité ou d’un prisme médiatique. Il n’empêche que cette petite musique est bel et bien là désormais, dans nos sphères de pensées. Elle était déjà présente dans les « pffffffff » et les regards noirs lorsqu’un bébé pleurait dans un train. Elle est aujourd’hui décomplexée, on ne veut pas céder sa part de confort, balek le vivre-ensemble. Derrière ces soupirs et agacements, il y a cette idée que les enfants n’ont pas leur place dans l’espace commun et que leur existence se limite au foyer, avec leur daronne. Je dis « leur daronne » car ne nous y trompons pas, on compte 2 millions de mères célibataires en France. Ne vous cachez pas derrière votre petit doigt à coup de « Mais ils ont bien des pères ces gamins ! ». Tout d’abord parce que non, pas forcément, un enfant n’a pas forcément de père. Soit parce qu’on l’a fait seule, soit parce qu’il a deux mères, soit parce que le père a trissé, soit parce qu’il est démissionnaire depuis qu’il a refait sa vie avec sa prof de zumba. Quant aux « pères solos », ils ne sont que 250 000. Donc refuser aux enfants une place dans l’espace publique, c’est la plupart du temps s’en prendre directement aux femmes. En imposant des espaces Child Free, ce ne sont pas les enfants que nous pénalisons mais bel et bien leurs mères. Ce sont elles qui se retrouvent en carafe, captives à domicile pendant que les autres font la bringue. À moins qu’elles ne se fassent des nœuds au cerveau pour trouver un mode de garde, ajoutant ainsi quelques tonnes de charge mentale.

Et je suis en colère de voir que beaucoup de mes sœurs féministes tombent dans ce piège individualiste et le justifient par un discours militant. Vous avez zappé un peu vite que peu importe que l’on soit mère ou pas, on sera toujours jugées, notre choix sera toujours mauvais. Pile tu gagnes, face je perds. Et à la fin, ne cherchez pas, ce sont toutes les femmes qui trinquent. Alors si vous faites partie de celles qui réclament des espaces Child Free, assumez de vouloir privilégier votre confort en vous épargnant une proximité immédiate les gosses des autres. Mais par pitié, n’enrobez pas ça d’une intention politique.

Durant longtemps, la maternité est restée dans un angle mort du féminisme, l’urgence ayant d‘abord été la lutte pour le droit à la contraception et à l’IVG, lutte qui reste d’actualité par ailleurs. Ce n’est finalement que très récemment, depuis les années 2010, que nous avons intégré la question maternelle dans nos combats : lutte contre les violences obstétricales, contre les violences intrafamiliales avec enjeux de garde, contre les pères toxiques perchés dans des grues, contre la pression des services sociaux, contre les pensions alimentaires non payées, pour la PMA pour toutes, les marches de mamans contre les violences policières… À peine commençons-nous à avancer sur ces enjeux que débarquent désormais des Marie-Chantal qui veulent organiser des mariages sans mouflets parce que le bruit les incommode. Aux Royaume-Uni, il y en a même qui veulent déduire de leurs impôts la part réservée à l’école publique. Wow, c’est quel niveau de dégueulasserie à ce stade ? Si vous êtes de celles qui réclament des espaces Child Free, alors nous n’avons pas la même vision du féminisme, car il n’y a pas de féminisme sans enfants. Quand je dis « sans enfants », cela ne signifie pas « sans faire d’enfants » mais plutôt « sans faire entrer les enfants dans l’équation ». Car eux aussi sont victimes de violences domestiques et systémiques. Ce qui est vraiment féministe ? C’est repenser la société de façon à faciliter les choses aux mères. Organiser des espaces où elles puissent souffler. C’est prendre le relai et mettre en place des systèmes de garderie en milieu festif. C’est ce qu’ont fait les organisatrices du festival Very Bad Mother en 2020 et le collectif la Bulle (cf les recos). Alors, laissez les gamins danser jusqu’au bout de la nuit sur la piste de danse du mariage de votre cousine, arrêtez de pester contre ce bébé qui pleure et réjouissez-vous que ce ne soit pas le vôtre. Emmenez les gamins partout où ils veulent aller tant qu’ils ne courent aucun danger, même dans les lieux culturels et institutionnels où ils ne sont pas les bienvenus, faites-leur comprendre que le monde leur appartient, ils vous remercieront plus tard.

Simone kiffe : les recommandations de notre invité.e

En août 2020 a eu lieu à Concarneau le festival « Very Bad Mother », une initiative festive et militante d’un collectif de daronnes bretonnes. Le concept ? Valoriser de nouvelles formes de parentalités, hors du cadre imposé « un couple hétéro, un papa, une maman ». On y a entre autres débattu homoparentalité, travail domestique et reproductif non-rémunéré, éducation non-sexiste… et on y a surtout beaucoup fait la fête. Une garderie avait été organisée, les daronnes se sont relayées pour permettre aux festivalières de faire la fête.

Depuis 2019, le collectif Rennais « La Bulle » propose un système de garderie autogérée qui permet aux mères de militer et manifester l’esprit libre, sans se soucier de la sécurité de leurs enfants. Cette initiative a pris de l’ampleur avec « La Bulle IDF », une section parisienne du collectif. On peut également citer la section syndicale Solidaires 31 qui propose une garderie les jours de manif.

Dans ”La Mère, la Sainte et la Putain”
(Au Diable Vauvert), l’écrivaine Wendy Delorme interroge à travers un récit intime son rapport à ces trois figures archétypales imposées aux femmes.

”Accouchement, les femmes méritent mieux” (Michalon) est un texte de Marie-Hélène Lahaye, pionnière de la lutte contre les violences obstétricales. Son livre m’a beaucoup marquée à sa sortie et m’a influencée dans la réalisation de mon documentaire Tu enfanteras dans la douleur (Arte). Elle a également été une source d’inspiration pour le collectif très actif Stop VOG qui lutte contre les violences gynécologiques. "

#Feminisme #Maternité #DominationAdulte #Adultisme #Discrimination #Daronne #Daronnie #VeryBadMother

2025-05-30

People who experience #discrimination are not immune from causing harm.

There's a little joke in the #queer community: Any time a minor inconvenience occurs, we exclaim "That's homophobic!"

We laugh because we know that just because we don't LIKE something doesn't make it a form of discrimination.

There's #racism, #misogyny, #fatphobia, #misogyny and other forms of oppression in the #lgbtqia community.

1/

Anselmo Lucioanselmolucio@mas.to
2025-05-30
2025-05-30

An interesting survey by the Pew Research Center:

"Most LGBTQ adults say there’s a lot of social acceptance for people who are gay or lesbian, but few say the same for those who are transgender."

pewresearch.org/social-trends/

#trans #lgbtq #transgender #nonbinary #gay #lesbian #uspol #discrimination #republican #democrat #america #news #science #poll

Headlines Africaafrica@journa.host
2025-05-29

Bill to ban headscarves in sport passed by French Senate newsfeed.facilit8.network/TL3H #laïcité #discrimination #sport #Islamophobie #liberté

Catherine Schmidtlillyfinch@mstdn.social
2025-05-29

#politics #eugenics #trump #handicap #discrimination

“…The opposition’s failure to address and confront Trump’s eugenicist views, the American studies scholar Susan Currell wrote in a 2019 article, “shows that a wide-ranging eugenic ideology is embedded in the broader American body politic.”..”

motherjones.com/politics/2025/

2025-05-29

The National Association for the #Deaf is suing #Trump, #JDVance, WH chief of staff #SusieWiles & WH propagandist #KarolineLeavitt, for no longer providing #SignLanguage interpreters for press briefings or any other events.

storage.courtlistener.com/reca

#law #ASL #discrimination #access #communication #FirstAmendment #FifthAmendment

Kyesos - The Big Gameovskikyesos.bsky.social@bsky.brid.gy
2025-05-29

L'abandon des #ZFE c'est surtout que les charognards ayant monté ça ont réalisé tardivement qu'ils pratiquaient la #discrimination sociale à grande échelle et finiraient devant un tribunal avant 2027. Les bonnes idées avec des lois faites par des cons = ça ne marche pas. Tout simplement.

a picture of a cartoon charact...

Kevin Karhan :verified:kkarhan@infosec.space
2025-05-29
Diane Gastellurosalux@piaille.fr
2025-05-28

Récapitulons. Quand on délivre ou renouvelle un titre de séjour à une personne étrangère qui travaille, si elle est en CDD ou en mission d'intérim à la date de délivrance ou de renouvellement, le titre de séjour portera la mention "travailleur temporaire". Moyennant quoi, aux termes du Code du Travail, ladite personne ne peut s'inscrire comme demandeur d'emploi que si l'employeur a unilatéralement rompu le contrat avant le terme prévu. Conséquence : si tu es en Cdd au mauvais moment, tu n'as pas droit à l'assurance chômage en fin de contrat. #discrimination #CESEDA #CodeDuTravail @LDH_Fr

サファイア・ネオsapphire_neo
2025-05-28

日本の菓子・海外進出 Кондитерська промисловість Японії та експансія за кордон
日本に来る多くの外国人はチョコレート等、
Багатьом іноземцям, які приїжджають до Японії,

note.com/poison_raika/n/nc0590

2025-05-27

“Service provided a twofold bargain for the country & the individual.

“But #military service is a profound sacrifice. And when that sacrifice is met with hostility, erasure or contempt from political leaders at the highest levels, we must pause & reassess.

“Is it still worth it?

“Right now, as I watch what is happening, my answer is, sadly, no.”

#BlackAmericans #Trump #Hegseth #USpol #hate #discrimination #bigotry #racism #WhiteSupremacy

2025-05-27

“Why should they risk their lives for a nation unwilling to defend them against #racism—or even acknowledge their service in its own historical record?

“My experience is that #BlackAmericans who serve are built different. We don’t scare easily. We lead from the front. We serve because we believe in something larger than ourselves. Many of us would — & have — give our lives for this country.

#Trump #military #USpol #hate #bigotry #discrimination #WhiteSupremacy

2025-05-27

#DEI initiatives were designed to complement—not replace—meritocracy. They aim to ensure that all #ServiceMembers are evaluated fairly & have equal access to opportunities, thereby strengthening the #military as a whole.

“So I ask again: Why should young #BlackAmericans serve under a govt & military leadership that doesn’t respect their presence, their contributions or their history?

#Trump #military #USpol #hate #discrimination #bigotry #racism #WhiteSupremacy

2025-05-27

“But #Black #ServiceMembers have historically faced significant barriers to advancement, & these barriers still remain. As of 2023, Black individuals constituted 19.5% of enlisted personnel but only 9.2% of officers. Black officers are particularly underrepresented at the highest levels; only 6.5% of generals are Black. These discrepancies suggest systemic challenges that disproportionately affect promotion outcomes based on #race.

#Trump #military #discrimination #racism #WhiteSupremacy

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