#filmDHorreur

2025-08-29

Nicolas Cage revisite l’enfance de Jésus dans le film d’horreur The Carpenter’s Son

Nicolas Cage s’apprête à surprendre une fois de plus son public avec un projet hors du commun. The Carpenter’s Son, film d’horreur inspiré de l’Évangile apocryphe de l’enfance selon Thomas, explore l’enfance de Jésus dans une relecture sombre et cauchemardesque. La bande-annonce dévoile un univers mystérieux où le divin et l’effrayant se côtoient.

Une relecture biblique inédite

Un projet audacieux signé Lotfy Nathan

Magnolia Pictures vient de dévoiler le premier teaser de The Carpenter’s Son, annonçant un long-métrage qui réinvente l’enfance de Jésus dans un registre d’horreur et de suspense. Écrit et réalisé par Lotfy Nathan, le film transpose les épisodes de l’Évangile de l’enfance selon Thomas, texte apocryphe, dans un contexte sombre et dramatique, situé dans l’Égypte romaine. L’histoire promet de mêler événements surnaturels et menaces terrestres.

Nicolas Cage au cœur du récit

Nicolas Cage incarne le Charpentier, protecteur d’un jeune garçon doté de pouvoirs extraordinaires. À ses côtés, FKA Twigs prête ses traits à la mère de l’enfant, tandis que Noah Jupe interprète le jeune garçon, personnage central dont la rébellion déclenche des événements terrifiants. Le casting inclut également Isla Johnston, Souheila Yacoub, Penelope Markopoulou, Kaiti Manolidaki et Tomer Lev Tov, renforçant la dimension internationale du projet.

Une enfance de Jésus réinventée

Une intrigue sombre et troublante

Le synopsis officiel décrit une famille vivant cachée en Égypte romaine. Le fils, désigné simplement comme “le Garçon”, voit son destin bouleversé lorsqu’il rencontre un enfant mystérieux. Alors qu’il commence à explorer ses pouvoirs, il défie l’autorité de son tuteur, le Charpentier, déclenchant des événements horribles, tant naturels que surnaturels. L’œuvre propose ainsi une vision audacieuse et troublante de l’enfance d’une figure biblique emblématique.

Mélange des genres et ton unique

Selon Eamonn Bowles et Dori Begley, co-PDG de Magnolia Pictures, Lotfy Nathan livre un spectacle qui réinvente les conventions cinématographiques à chaque instant. The Carpenter’s Son oscille entre horreur, drame familial et réinterprétation mythologique, offrant au spectateur un récit à la fois captivant et inquiétant. La bande-annonce met en avant une esthétique sombre, renforcée par des choix visuels audacieux et un casting de premier plan.

Un casting au service de l’horreur biblique

FKA Twigs et Noah Jupe en figures centrales

FKA Twigs incarne la mère de l’enfant doté de pouvoirs, apportant une intensité singulière au récit. Noah Jupe, connu pour A Quiet Place, prête son visage et son talent au jeune garçon, personnage clé qui déclenche le conflit central. Ensemble, ils incarnent une famille confrontée à des forces dépassant leur compréhension, tant humaines que surnaturelles.

Nicolas Cage, l’acteur protéiforme

Pour Nicolas Cage, ce rôle s’ajoute à une filmographie déjà marquée par des choix audacieux. Ici, il joue le protecteur chargé de contenir et de guider le jeune garçon. Sa présence à l’écran promet une performance intense et décalée, fidèle à sa réputation d’acteur prêt à explorer des univers hors norme.

Sortie et attentes

Une date encore à confirmer

Bien que le teaser annonce une sortie pour l’automne 2025, Magnolia Pictures n’a pas précisé de date exacte. Le film devrait être disponible dans les salles dans les mois à venir, permettant au public de découvrir cette réinterprétation unique de l’enfance d’une figure biblique majeure.

Une bande-annonce prometteuse

Le teaser publié par Magnolia Pictures met en lumière une atmosphère oppressante, où le surnaturel côtoie la violence et l’inquiétude. Les images laissent entrevoir des moments de tension et de mystère, suscitant la curiosité et l’excitation des spectateurs. L’ensemble promet un long-métrage aussi captivant que perturbant.

The Carpenter’s Son se profile ainsi comme une œuvre audacieuse qui mêle horreur, mysticisme et drame familial. Nicolas Cage et FKA Twigs se retrouvent au centre d’un récit qui bouleverse les codes habituels, offrant une lecture sombre et originale de l’enfance de Jésus. Le film s’annonce comme l’une des propositions les plus inattendues de l’automne 2025.

https://youtu.be/r5mB0FkzLSc

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2025-08-27

Return to Silent Hill : la célèbre saga d’horreur fait son grand retour au cinéma

Le premier teaser de Return to Silent Hill vient d’être dévoilé, offrant un aperçu glaçant du film attendu pour le 23 janvier 2026. Réalisé par Christophe Gans, ce nouvel opus replonge les spectateurs dans l’univers oppressant et psychologique du jeu culte, avec le retour de créatures emblématiques telles que les Infirmières et le terrifiant Pyramid Head.

Un retour attendu dans l’univers angoissant de Silent Hill

James Sunderland, héros torturé de la franchise

Le film suit James Sunderland, incarné par Jeremy Irvine, qui se réveille brusquement dans une rue déserte noyée dans le brouillard. Dès les premières images, le spectateur est plongé dans l’atmosphère singulière de Silent Hill, où chaque détail suggère une influence maléfique pesant sur la santé mentale du protagoniste.

Une esthétique fidèle au jeu vidéo culte

Les plans dévoilent des couloirs industriels en ruine, des reflets déformés et des paysages en proie à une lente désintégration. Ces éléments visuels renforcent le sentiment de malaise propre à la saga, tout en traduisant la volonté de Christophe Gans de rester fidèle à l’identité graphique et narrative qui a fait le succès des jeux.

Des créatures emblématiques au cœur de l’horreur

Le retour du mythique Pyramid Head

Parmi les apparitions les plus marquantes de ce premier teaser figure Pyramid Head, figure centrale de l’univers Silent Hill. Son imposante silhouette et son aura terrifiante rappellent aux fans la puissance symbolique de ce monstre, devenu une icône de l’horreur vidéoludique.

Les Infirmières, incarnation de l’effroi psychologique

Autre présence incontournable : les fameuses Infirmières, créatures inquiétantes qui traduisent à la fois la peur et la fragilité du héros. Leur design grotesque et leurs mouvements dérangeants accentuent l’atmosphère cauchemardesque du film, tout en soulignant la fidélité à l’imaginaire original de la franchise.

Christophe Gans, un retour derrière la caméra

Un cinéaste fidèle à son univers

Christophe Gans, déjà réalisateur du premier Silent Hill sorti en 2006, retrouve l’univers qu’il avait contribué à imposer au grand écran. Avec ce nouveau projet, il confirme son ambition d’adapter la profondeur psychologique du jeu au cinéma, en mêlant horreur visuelle et tension dramatique.

Une promesse d’immersion totale pour les spectateurs

Chaque image du teaser témoigne d’une atmosphère travaillée : des cendres tourbillonnantes au panneau rouillé de la ville, en passant par les éclats soudains de violence. L’ensemble annonce une expérience cinématographique intense, où le spectateur sera plongé dans un voyage oppressant, à la frontière du réel et du cauchemar.

Avec Return to Silent Hill, Christophe Gans signe le retour d’une franchise culte qui a marqué aussi bien le jeu vidéo que le cinéma d’horreur. Fidèle à l’esthétique de l’univers original, le film promet une expérience immersive où l’angoisse psychologique se mêle à l’effroi visuel. Sa sortie prévue le 23 janvier 2026 s’annonce déjà comme l’un des rendez-vous majeurs pour les amateurs de frissons.

https://youtu.be/1ldahH3lbjM

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2025-08-25

Good Boy : un film d’horreur inédit raconté à travers les yeux d’un chien

Le long-métrage Good Boy, attendu en salles le 3 octobre, propose une approche radicalement originale du cinéma d’horreur. Entièrement narré depuis la perspective d’un chien, le film plonge le spectateur dans une expérience sensorielle troublante où l’amour d’un animal pour son maître devient une lutte contre des forces surnaturelles.

Un concept novateur qui bouscule les codes de l’horreur

Une histoire racontée à hauteur de chien

Réalisé avec une perspective unique, Good Boy se distingue par son choix narratif audacieux : tout est vu à travers les yeux du chien Indy. Cette approche, saluée dans plusieurs festivals, accentue la vulnérabilité et l’étrangeté du récit en immergeant le spectateur dans une perception animale. Loin des conventions habituelles du genre, le film renouvelle le regard porté sur les récits d’épouvante.

Une bande-annonce qui intrigue et inquiète

Le trailer dévoile les premiers instants de la vie de Todd, jeune propriétaire d’Indy, et de leur emménagement dans une ancienne maison familiale à la campagne. Les images basculent rapidement vers un climat oppressant, où Indy perçoit des phénomènes invisibles aux yeux humains. Bruits suspects, présences fantomatiques et visions cauchemardesques esquissent un huis clos angoissant.

Une intrigue entre attachement et forces occultes

La loyauté d’Indy face au danger

L’intrigue repose sur le lien indéfectible entre le chien et son maître. Indy, fidèle compagnon, pressent le danger dès leur arrivée et tente de protéger Todd des menaces invisibles qui se manifestent dans leur nouvelle demeure. Son affection devient la clef de sa résistance face à un mal qui cherche à emporter son maître dans l’au-delà.

Des visions inquiétantes et des présences hostiles

Au fil du récit, Indy perçoit des avertissements surnaturels, notamment à travers l’apparition d’un chien décédé depuis longtemps. Ces signaux inquiétants le guident dans son combat contre une force obscure qui hante la maison. Entre coins vides qui semblent habités, bruits imperceptibles et scènes spectrales, le film installe un climat de terreur progressive.

Un casting et une sortie très attendus

Des acteurs au service d’un dispositif singulier

Le film réunit Shane Jensen, Arielle Friedman et Larry Fessenden dans une distribution resserrée. Ces interprètes incarnent les personnages humains entourant Indy, mais c’est bien le chien qui occupe le rôle central. Le choix de ce point de vue narratif confère aux acteurs une présence particulière, toujours perçue indirectement par le regard animal.

Une sortie prévue pour l’automne

Présenté dans plusieurs festivals où il a déjà suscité l’intérêt, Good Boy arrivera dans les salles obscures le 3 octobre. Sa réputation d’expérience cinématographique déroutante attire déjà la curiosité des amateurs d’horreur. Avec son approche novatrice, le film pourrait bien s’imposer comme l’un des événements marquants de la saison pour les spectateurs en quête de frissons inédits.

En proposant un récit entièrement raconté par un chien, Good Boy repousse les limites de la narration horrifique. Ce choix audacieux promet une immersion sensorielle singulière où l’attachement entre un animal et son maître devient une arme contre des forces surnaturelles. Rendez-vous le 3 octobre pour découvrir cette expérience hors du commun, qui s’annonce déjà comme un film d’horreur atypique et marquant.

https://youtu.be/q4-CRkd_74g

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2025-08-04

#TheUglyStepsister méritait bien un deuxième visionnage en VO (merci l'Arvor, mieux vaut tard que jamais).

Surtout quand on connaît la voix de deux des membres du casting (et pour l'un des deux, "membre" c'est le cas de le dire, Malte n'était pas là pour avoir beaucoup de répliques).

Mention spéciale au délicieux pseudo-français du Docteur Esthétique (Adam Lundgren), humour complètement perdu dans le doublage.

Intéressant aussi, Ane Dahl Torp, dans le rôle de la marâtre, appelant Cendrillon ASKEPOTT d'un ton sec.

Hélas, je suis le seul à être resté dans la salle pour l'édifiante scène post-générique.

#Cinéma #Norvège #Suède #Bodyhorror #Filmdhorreur #EmilieBlichfeldt #LeaMyren #AneDahlTorp #AdamLundgren #MalteGårdinger

Scène de The Ugly Stepsister. Adam Lungren dans le rôle du Docteur Esthétique, examinant Elvira (que l'on voit de dos avec ses bouclettes victoriennes).
Cheveux bruns grisonnant gominés en petite vague sur le côté, yeux bleus, grand moustache et petit bouc. Cravate veste et chemise bouffante façon Second Empire. Bagues sur presque tous les doigts.Scène de The Ugly Stepsister : Malte Gårdinger dans le rôle d'Isak le palefrenier. Il est devant l'écurie, un râteau à la main. Veste, gilet et foulards grisâtres et grossier, sa tenue a plusieurs rangées de boutons. Moustache d'adolescent à peine pubère, grands cheveux bruns frisés tombant presque en mulet, yeux clairs grand ouvert.
2025-07-08

Troisième et dernière œuvre à sortir à peu près en même temps avec au casting un de mes chouchous suédois : The Ugly Stepsister. Vu dimanche soir au CGR La Mézière (35), hélas en version doublée.
La réalisatrice norvégienne Emilie Blichfeldt – pour son premier long métrage - a voulu raconter l’histoire de Cendrillon, du point de vue de l’une des belles-sœurs, sans édulcorer la violence présente dans le conte des frères Grimm.

Le récit des violences que les femmes s’infligent elles-même ou entre elles (la lutte des prétendantes, la mère faisant courir les pires outrages sur sa fille), afin de quérir le cœur d’un prince (ou à défaut d’un quelconque nobliau) même si c’est un trouduc, car c’est leur seul moyen d’ascension sociale. Très beau costumes, très beau décors, et surtout des scènes graphiques difficilement regardables qui font tout le sel du film.

J’ai hélas raté la scène post-générique, qui visiblement n’est pas sans intérêt.

Une très bonne distribution, des actrices norvégiennes :
Lea Myren, impeccable en Elvira, le rôle titre, petite-fille boulotte et naïve, d’abord violentée contre son gré pour être la plus belle, qui finira par être elle-même prête à tout.
Ane Dahl Torp (Occupied, et la série récente de films catastrophes norvégiens) implacable en mère/marâtre ambitieuse et manipulatrice.
L’autre belle-sœur est jouée par Flo Fagerli, seule personnage un peu noble et censé dans toute cette folie. Son trop petit rôle est une respiration dans le film.

Des acteurs suédois.
Isac Calmroth joue un Prince, tantôt idéal dans les fantasmes des jeunes filles, tantôt celui de la réalité, bien moins idéal. J’avais précédemment ironisé sur le fait qu’Edvin Ryding n’était pas disponible, mais malgré son gros pif, il fait le taf en prince de conte de fées. J’avais psychologiquement refusé de voir la série diffusée par Arte où il joue un élève d’internat dans les années 50 en proie à un violent harcèlement scolaire ; amusant de voir que par contre, le musée des horreurs, ça passe.

Malte Gårdinger (August le cousin maudit dans Young Royals) en tant que palefrenier et premier amour de Cendrillon sert surtout pour être à poil, ce qui ne gâche rien.

Et mon acteur préféré, dans des scènes trop courtes, Adam Lundgren, joue un chirurgien esthétique complètement frappadingue. Bien qu’il joue toujours aussi bien avec ses yeux (bleus, calibre gros, et magnifiques), le voir doublé a été très perturbant. Rien que pour lui j’essayerai à l’occasion de revoir le film en VO. En zappant certaines scènes.

Malgré le doublage on a eu de la chance de voir ce film pas si mal distribué en France. Je ne sais pas s’il va rester quelque part en deuxième semaine.

youtube.com/watch?v=BoYn0-dhHho

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