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Aston Minerals ( #ASO ) has released " Suspension from Quotation " on Thu 29 May at 19:00 AEST #trading #Australia #ASIC #Metals #ASX
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Aston Minerals ( #ASO ) has released " Schemes become Effective " on Thu 29 May at 08:18 AEST #today #trading #Mining #Australia #ASIC
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Aston Minerals ( #ASO ) has released " Schemes of Arrangement - Court Approval of Schemes " on Wed 28 May at 16:16 AEST #today #trading #Mining #Australia #ASIC
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L’infolettre du 26 mai 2025 : Montmartre sur le Tour de France, un Giro déjà fou…
Montmartre sur le Tour de France ou l’art de s’adapter
Depuis plusieurs mois, les bruits de couloir n’ont cessé de sortir des murs, comme si le secret tentait de s’infiltrer par chaque interstice du mur affiché par ASO, organisateur du Tour de France. Un an après la fête grandiose des Jeux olympiques dans les rues de Paris, la plus grande épreuve cycliste annuelle prolongera la fiesta en juillet prochain. Le champagne allait de toute manière couler sur les Champs-Élysées et avant cela, mais l’organisation souhaitait ajouter au spectacle avec l’introduction lors de la dernière étape du Tour de France de la butte Montmartre, celle qui avait fait chavirer le public lors des sacres de Remco Evenepoel et Kristen Faulkner l’été dernier. Avec non pas une, mais trois ascensions dans les cinquante derniers kilomètres d’une étape bien différente des clôtures de ces dernières saisons.
Selon le directeur du cyclisme chez ASO, Christian Prudhomme, les négociations ont été âpres avec la Ville de Paris et, surtout, la préfecture de police pour parvenir à faire rouler le peloton dans la rue Lepic à trois reprises, avec un retour sur les Champs-Élysées entre chaque passage. Le quotidien L’Équipe évoque même des reconnaissances nocturnes, alors qu’ASO admet un compromis qui n’en est pas forcément un : l’absence de caravane publicitaire, de toute manière interdite de distribution dans les rues de la capitale française. Tout est donc réuni pour assurer le show durant cette 21e et dernière étape du Tour de France, au grand plaisir d’un public souvent dubitatif face au critérium proposé ces dernières saisons aux abords de Paris.
La carte du final de 21e et dernière étape du Tour de France 2025 – Crédit : ASOLes coureurs suivront-ils le souhait de l’organisation de pimenter ce final ? On le dit souvent : le parcours fait une grande partie de la course, mais ce sont les acteurs de celle-ci qui décident finalement de son issue. Et jusqu’ici, les réactions ne sont pas des plus positives, entre ceux qui s’inquiètent de la sécurité des coureurs et les autres qui interrogent le côté sportif. Wout van Aert, l’un de ceux qui pourrait justement bénéficier de ce tracé pour puncheurs, est resté songeur par rapport à cette proposition : “La sécurité est plus importante que tout le reste et ne semble pas prise en compte. Je m’attends à pas mal de confusion…”, a-t-il confié au micro de la VRT. Son équipier Jonas Vingegaard ne disait pas autre chose : “Ce que j’avais vu à la télé était chouette, mais pour 50 coureurs au pied de la côte, pas 150 comme au Tour”. Remco Evenepoel avait également exprimé son inquiétude en avril dernier, lorsque les rumeurs se faisaient plus pressantes. “Ce sera un stress inutile alors qu’on sera tous déjà très fatigués. Et cela risque d’enlever une belle chance pour les sprinters”, avait-il commenté.
Le profil du final de 21e et dernière étape du Tour de France 2025 – Crédit : ASOLe contre-la-montre final entre Monaco et Nice, l’an dernier, annonçait l’envie d’ASO de bousculer les habitudes d’une journée finale dédiée à la fête. Un Grand Tour, cela dure trois semaines, diront les nostalgiques d’une époque durant laquelle les étapes se prolongeaient en demi-étapes ou en exercices d’endurance au long cours. Or, ces dernières années, l’ultime étape d’un Grand Tour, si elle n’était pas un chrono, s’est souvent résumée en une procession à destination des sprinters, pour s’assurer de leur présence jusqu’au bout et pour permettre aux autres d’un peu se reposer les jambes et l’esprit, si cela est encore possible de nos jours. Le Tour de France offrait la quintessence de ce critérium en guise de dernière étape avec une longue promenade jusqu’à Paris, avant une cinquantaine de kilomètres dans les rues de la capitale française pour couronner les meilleurs finisseurs du peloton. Au grand dam du spectacle espéré par le public, alors que les trois précédentes semaines offrent bien plus d’intérêt.
L’idée d’ASO est donc intéressante pour permettre de rallier plus de spectatrices et spectateurs devant l’ensemble des étapes du Tour de France, et éviter un ennui généralisé, alors que les classements semblent déjà figés. Cet ajout de la Butte de Montmartre va logiquement mener à davantage de stress, mais il pourrait également permettre de bousculer le classement général jusqu’au dernier jour. Dans le même temps, on peut comprendre l’inquiétude des coureurs quant à leur sécurité, quand on voit par exemple cette chute sur la 14e étape du Tour d’Italie causée par un pavé de ville rendu glissant par la pluie, dans une rue étroite, dans un centre-ville sinueux. Autant de critères qu’on retrouvera autour de Montmartre, sur la 21e étape du Tour de France. Il reste à espérer que les organisateurs tiennent bien compte des arguments du peloton pour éviter que ce qui doit être un spectacle se transforme en carnage.
Grégory Ienco
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Le Giro, toujours indécis, revient à ses traditions
Qui donc aurait pu prédire que le Mexicain Isaac del Toro (UAE Team Emirates XRG) serait toujours en rose, une semaine après sa prise de pouvoir sur les routes blanches de Toscane, et, surtout, aurait accentué son avantage sur ses équipiers et rivaux au classement général ? Le Tour d’Italie est ainsi : toujours indécis. Un an après la domination sans partage de Tadej Pogacar, il Grande Giro, comme le disait l’ancien hymne diffusé sur la RAI, a renoué avec sa tradition de surprise permanente. Malgré un parcours jugé déséquilibré par certains coureurs, en raison d’une offensive montagneuse attendue seulement en troisième semaine de course (contre une seule arrivée au sommet avant cela), les coureurs ont parfaitement utilisé les profils proposés pour faire exploser un classement général qui n’a rien de celui tracé avant le départ en Albanie.
Isaac del Toro en a été le premier initiateur. L’explosif Mexicain s’est retrouvé au bon endroit, au bon moment sur les Strade Bianche vers Sienne, et a profité de sa soif de victoire sur cette étape dantesque pour récupérer le maillot rose, pendant que ses leaders suffoquaient dans la poussière, retardés par une chute de Primoz Roglic (Red Bull-Bora-Hansgrohe) et Tom Pidcock (Q36.5 Pro Cycling Team). Le coureur de 21 ans perdait un peu de son avantage sur le contre-la-montre pluvieux de Pise, en ouverture de la deuxième semaine de course, mais il accélérait à chaque sprint intermédiaire “Red Bull” disponible afin d’accentuer son avance de quelques secondes, avec son équipier Juan Ayuso, deuxième. Il se permettait même d’essayer encore de jouer la victoire à Vicenza, face à Mads Pedersen (Lidl-Trek) et Wout van Aert (Team Visma | Lease a Bike), comme si son paletot rose n’était qu’un tricot complémentaire à sa personnalité.
Le lendemain, rebelote : dans les rues étroites de Nova Gorica, Del Toro faisait parler son expérience de cyclo-crossman et évitait les chutes pour récupérer du temps sur la plupart de ses adversaires… et équipiers, confirmant la théorie selon laquelle le Mexicain n’était pas encore le coureur protégé de son équipe malgré sa première place au général. Car si tous les UAE Team Emirates étaient derrière le maillot rose, c’est bien qu’il n’était pas le leader du jour. Et vers Asiago, dans la haute montagne, Del Toro était à nouveau le seul à suivre les assauts des adversaires de l’équipe émiratie, pendant que ses équipiers… prenaient des relais pour garder Ayuso dans le coup. Étrange tactique que celle d’une formation qui veut jouer sur deux tableaux différents sans vraiment apporter son soutien à celui qui a actuellement le plus de chance de s’offrir la victoire finale.
Les surprises ne s’arrêtent pas là. La deuxième place de Simon Yates (Team Visma | Lease a Bike), très discret depuis le début du Giro, la quatrième de Richard Carapaz (EF Education-EasyPost), au bout d’une parfaite offensive sur la 11e étape, ou encore les retours en verve des Bahrain Victorious (Damiano Caruso et Antonio Tiberi, malgré la chute de Nova Gorica, sont 6e et 7e) et des INEOS Grenadiers (Egan Bernal et Thymen Arensman sont 8e et 9e) promettent une prochaine semaine offensive. Dans les longs cols italiens, les échappées seront légion, et il sera difficile pour les UAE Team Emirates XRG de contenir tous les attaquants, surtout si l’esprit se veut aussi vaillant que durant cette dernière semaine.
Les doutes restent par contre bien présents autour de Primoz Roglic. Le Slovène avait déjà conclu la première semaine de course sur une déception lors de l’étape des routes blanches, qu’il avait en partie résorbé grâce à un contre-la-montre parfaitement géré (malgré une chute lors de la reconnaissance). Le leader de la Red Bull-Bora-Hansgrohe a perdu du temps dans la chute collective de Nova Gorica, avant de céder naturellement du terrain dans le dernier col de la 15e étape vers Asiago. Épaulé par son éternel second depuis le début de ce Giro, le jeune Giulio Pellizzari, il a tout de même perdu une minute et demie lors d’une journée pourtant à sa mesure, et pointe désormais à la limite du Top 10, à près de quatre minutes du maillot rose. Avec trois chutes en une semaine et un déficit aussi important, l’inquiétude est logiquement de mise. Même si Roglic est un habitué de la poursuite, même si tout peut arriver sur un tel Tour d’Italie, la balance penche plutôt en défaveur du Slovène à l’heure de débuter la troisième semaine de course.
Le classement général devrait de toute manière déjà bouger dès mardi avec une arrivée au sommet de San Valentino (plus de 18 km à 6% de moyenne), puis mercredi avec le Mortirolo et ses près de 13 km à 8%, mais le grand rendez-vous sera celui de samedi, avec le célèbre Colle delle Finestre (18,3 km à 9%), dont les huit derniers kilomètres sont sur du gravier. Du grand spectacle en vue !
Kopecky aura besoin d’une dose de chance sur le Tour
Un mois après sa cinquième place sur Liège-Bastogne-Liège, la championne du monde Lotte Kopecky a lancé sa préparation pour le Tour de France à l’occasion du Tour de Burgos, dernière épreuve du triptyque espagnol de courses par étapes en ce mois de mai. Avec quatre étapes, dont une arrivée en haute montagne sur le Picón Blanco, et un contre-la-montre d’une dizaine de kilomètres, l’exercice devait lui permettre de se tester les jambes sur une couse complète en vue de la fin du mois de juillet.
Après une première étape conclue en troisième position dans un sprint remporté par son équipière Lorena Wiebes, Kopecky a déchanté, le lendemain, sur une deuxième étape marquée par une chute qui a coupé le peloton en deux et contraint la championne du monde à la poursuite. Avec près de deux minutes cédés sur le premier peloton, le classement général était déjà perdu. Car le Picón Blanco n’a pas permis à l’Anversoise de refaire son retard. Sur une montée de plus de 7 kilomètres à 9%, elle n’a jamais pu répondre à la Suissesse Marlen Reusser (Movistar), impressionnante de puissance après sa deuxième place sur le Tour d’Espagne féminin, deux semaines plus tôt. Kopecky cédait plus de deux minutes, hors du Top 10, loin des meilleures grimpeuses du moment, donc.
Le contre-la-montre final permettait à Kopecky, dans son maillot de championne d’Europe, d’un peu se rassurer, avec une cinquième place à 12 secondes de l’indomptable Reusser. Le bilan est donc mitigé pour la leader de SD Worx-Protime. Cette course de quatre jours lui a au moins permis de se rendre compte du travail qui lui reste accomplir pour être à son meilleur niveau dans deux mois.
Battre Marlen Reusser s’annonçait compliqué au vu des performances affichées par la Suissesse sur la dernière Vuelta, mais Kopecky a également montré des signes de faiblesse face à d’autres rivales au maillot jaune comme Elisa Longo Borghini (UAE Team ADQ), Yara Kastelijn (Fenix-Deceuninck) ou les Françaises de la FDJ-Suez, Juliette Labous et Évita Muzic, équipières de luxe de Demi Vollering, leader annoncée sur le prochain Tour. Il s’agissait toutefois d’une course de reprise et Kopecky a déjà montré par le passé qu’elle savait géré son pic de forme à la perfection. La route pour juillet s’annonce encore longue.
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Naveen John est un coureur atypique dans le peloton des kermesses belges : le cycliste indien fait en effet le voyage chaque année pour disputer durant l’été une série de courses destinées aux pros et semi-pros dans le paradis du cyclisme. Le coureur de 38 ans enchaîne ce type de courses depuis 2015 et tente désormais d’entraîner les jeunes Indiens dans son sillage, avec l’espoir de faire émerger l’un d’eux dans le peloton professionnel. Naveen John a raconté son histoire et ses ambitions à l’infolettre Global Peloton, à lire (en anglais) en cliquant sur ce lien.
L’équipe FDJ-Suez a rassemblé dans un mini-documentaire de 45 minutes les ambitions, les joies et l’émotion de Demi Vollering et du reste de l’effectif à l’occasion du Tour d’Espagne féminin, parfaitement maîtrisé par la Néerlandaise. On y découvre l’ambiance bon enfant au sein du groupe de Stephen Delcourt et la motivation de Demi Vollering, bien décidée à s’offrir ce premier Grand Tour après un printemps mitigé. C’est à voir ci-dessous et sur la chaîne YouTube de FDJ-Suez.
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L’infolettre du 28 avril 2025 : les leçons du printemps, le mort-vivant One Cycling…
Pogacar est bien l’homme du printemps, Kopecky si proche et si loin : les leçons du printemps
L’arrivée ensoleillée de Liège-Bastogne-Liège sur le Quai des Ardennes a signifié la fin de cette période sainte des classiques printanières. Les regards des favoris qui se sont bagarrés durant près de deux mois entre les chemins rocailleux italiens, les routes de campagne flamandes, les pavés du Nord et les côtes ardennaises se retrouveront désormais sur les courses par étapes historiques, les trois Grands Tours en tête, ou sur les championnats internationaux. L’occasion de faire un premier bilan de ce début de saison se prête donc à cette période charnière. Le tout en sept leçons, loin d’être exhaustives évidemment. Et vous, qu’avez-vous pensé de ce printemps que je résumerais en un mot : “spectaculaire” ? Vous pouvez répondre par e-mail !
Seul Pogacar peut arrêter Pogacar
Vainqueur du Strade Bianche, du Tour des Flandres, de la Flèche Wallonne et de Liège-Bastogne-Liège, le champion du monde Tadej Pogacar (UAE Team Emirates XRG) n’a finalement manqué la première marche du podium qu’à trois reprises… sans jamais tomber de la boîte. Troisième à Milan-Sanremo et deuxième à Paris-Roubaix, puis sur l’Amstel Gold Race. Lors de ces trois accessits, le Slovène est certes tombé sur plus fort que lui, pourrait-on résumer simplement. Mais ces trois courses ont aussi résumé trois erreurs potentiels de Pogacar dans cet espoir de Grand Chelem printanier.
Sur Milan-Sanremo, clairement le plus explosif de tous, “Pogi” a voulu surprendre tous ses rivaux en attaquant dès la Cipressa après un lancement de Tim Wellens et Jhonatan Narvaez. Il s’est finalement avéré qu’Isaac Del Toro devait encore être présent dans les wagons, et que Pogacar devait être mieux placé au pied. Le Slovène a ensuite enchaîné les attaques pour tenter de lâcher Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) et Filippo Ganna (INEOS Grenadiers), mais il a finalement usé toutes ses cartouches, pour finalement se retrouver au sprint face à ses deux rivaux du jour. Premier espoir manqué.
Du côté de Paris-Roubaix, ajouté à son calendrier à trois semaines de l’échéance, après avoir évincé l’E3 Saxo Classic et Gand-Wevelgem de son agenda, Pogacar a encore usé de sa puissance pour bousculer Van der Poel. Une faute technique l’a cette fois envoyé dans le décor, dans un virage pavé mieux négocié par le Néerlandais. Le temps de remettre la chaîne et le dérailleur en place, puis de prendre un nouveau vélo, l’écart était déjà fait.
Une semaine plus tard, sur l’Amstel Gold Race, le champion du monde prenait la roue de Julian Alaphilippe (Tudor Pro Cycling Team) à près de 48 kilomètres de l’arrivée, avant de prouver à nouveau sa supériorité dans le montées pour un exercice en solitaire de 43 bornes. Il avouera après coup qu’il n’était pas prévu de s’essayer à un tel effort, avec un vent majoritairement de face dans le final. Cela a finalement pesé dans les derniers kilomètres : Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step) et Mattias Skjelmose (Lidl-Trek) sont revenus, et le Danois a battu le Slovène au sprint au sommet de Valkenburg.
Trois petites erreurs tactiques qui ne ternissent toutefois pas un printemps exceptionnel que personne n’avait certainement réalisé depuis Philippe Gilbert en 2011 (et sur une période bien plus longue). Les résultats peuvent être discutés, certains pointant logiquement l’inquiétude d’une performance quasiment inhumaine, vu les vitesses atteintes et les écarts créés. Pourtant, les quelques erreurs de “Pogi” montrent que l’adversité existe et qu’il y a des moyens de bousculer la domination du Slovène. Mais quand il ne commet pas de faute, quand son équipe (la plus riche du peloton, l’une des plus costaudes sur le papier et la plus victorieuse cette saison avec déjà 35 succès au 27 avril) répond au rendez-vous, quand la chance est là, rien ne peut arrêter le champion du monde. Cela promet pour le Tour de France… au grand dam de ses adversaires et du spectacle espéré par les supporters neutres.
Kopecky peut encore rêver des Ardennaises
La championne du monde Lotte Kopecky (SD Worx-Protime) avait décidé cette saison de retarder au mieux sa rentrée dans le peloton et de viser les classiques ardennaises et le Tour de France Femmes, autant d’épreuves qui n’ont pas encore trouvé place dans son prestigieux palmarès. Si elle a jusqu’ici obtenu des résultats encourageants dans la montagne sur le Tour, encore fallait-il prouver sa valeur sur Liège-Bastogne-Liège, en tant qu’unique leader. La Belge a d’abord confirmé dès ses premières courses que son regard porté sur la fin du mois d’avril ne l’empêchait pas de faire exposition de sa condition pour ses équipières. Elle menait Lorena Wiebes vers la victoire sur Milan-Sanremo et Gand-Wevelgem, avant de faire plier l’opposition sur le Tour des Flandres, pour son troisième succès en quatre éditions du Ronde.
La suite du printemps était moins reluisante. Piégée par le jeu tactique et le manque de critique tactique chez SD Worx-Protime, l’Anversoise se retrouvait hors du Top 10 sur Paris-Roubaix, puis hors du coup sur l’Amstel Gold Race, avant de son grand test sur les classiques wallonnes. Sur le Mur de Huy, juge de paix de la Flèche Wallonne, pas de surprise, la sprinteuse a souffert pour conclure en douzième position. Quatre jours plus tard, la donne était tout autre sur Liège-Bastogne-Liège. Kopecky résistait tant et plus sur la Roche-aux-Faucons avant de rompre sur le dernier raidard non-répertorié vers Boncelles, à onze bornes de l’arrivée.
La championne du monde Lotte Kopecky (SD Worx-Protime) au départ de Liège-Bastogne-Liège Femmes, le 27 avril 2025. – Photo : ASO/Thomas Maheux“En regardant comment s’est déroulé mon hiver, je dois être heureuse de ma victoire sur le Tour des Flandres”, a-t-elle déclaré au micro de la VRT, sans en dire plus sur les circonstances de cette préparation. “J’ai senti que je m’améliorais de semaine en semaine et cela m’a poussé. Je pense que je peux gagner (à Liège-Bastogne-Liège) un jour”, a-t-elle ajouté, confessant désormais se préparer exclusivement pour le Tour de France. Son printemps montre en tout cas qu’elle en les capacités physiques, encore faut-il régler certaines logiques chez SD Worx-Protime pour que la tactique suive l’ambition.
Merci Van der Poel pour le suspense
Avec ses succès sur le Samyn, Milan-Sanremo, l’E3 Saxo Classic et Paris-Roubaix, en plus d’une troisième place sur le Tour des Flandres, le Néerlandais Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) est légitimement l’autre homme du printemps. En cinq classiques disputées, il a confirmé être l’un des seuls à dompter physiquement Pogacar, mais aussi l’un des seuls à le mettre à l’amende sur le plan technique, comme cela s’est vu sur Paris-Roubaix. Cela ne signifie pas que “MVDP” pourra toujours prendre le meilleur sur “Pogi” sur l’ensemble des courses sur lesquelles ils se retrouveront, mais plutôt qu’en cas de préparation optimale, comme ce fut le cas pour ce printemps, Van der Poel est toujours un favori à suivre.
Surtout, Van der Poel fait ce dont il a envie, et cela lui permet de se préparer au mieux pour ses objectifs, sans une forme de pression qu’il ne peut plus avoir après huit monuments et neuf titres de champion du monde dans la besace. C’est ainsi qu’il se concentrera désormais sur le VTT cross-country afin de viser un premier maillot arc-en-ciel dans cette discipline. Il participera aussi au Tour de France, mais dans l’objectif de préparer les Mondiaux de VTT, sans autre arrière-pensée. Autant de rêves clairs dans son esprit qui lui permettent de se donner toujours à fond, sans viser l’économie ou la facilité.
Le Néerlandais Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) à l’attaque sur Paris-Roubaix, le 13 avril 2025. – Photo : ASO/Pauline BalletEt si Van Aert tentait une autre stratégie ?
Une bonne partie de la Belgique espérait voir Wout van Aert (Team Visma-Lease a Bike) enfin lever les bras sur l’une de ces classiques de coeur, vu les dispositions affichées en cyclo-cross cet hiver. Mais le trentenaire a montré les limites de ses retours successifs au plus haut niveau après de graves blessures. Celle au genou qui l’a éloigné du dernier Tour d’Espagne a visiblement eu plus de répercussions sur son explosivité et sa puissance que les précédentes. Moins explosif, il a toujours eu du mal à suivre les attaques décisives de Van der Poel, Pogacar, voire Mads Pedersen (Lidl-Trek), mais a dans le même temps montré un regain d’énergie sur les fins de course, comme si un moteur diesel avait pris le relais de son biturbo.
“Un goût de trop peu”, avait résumé Wout van Aert au soir de l’Amstel Gold Race pour résumer une campagne printanière répétant les places d’honneur (2e d’À Travers la Flandre et de la Flèche Brabançonne, 4e du Tour des Flandres, de Paris-Roubaix et de l’Amstel Gold Race). “Je suis satisfait d’avoir conclu ma première partie de saison en battant Michael Matthews au sprint et d’avoir de bonnes jambes”, a-t-il tout de même tenté de se rassurer devant la presse. À trois semaines du Tour d’Italie sur lequel il compte chasser les étapes, cela compte. Au moins pour la confiance, surtout après les deux sprints manqués face à Neilson Powless (EF Education-Easy Post) puis Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step).
Le Belge Wout van Aert (Team Visma | Lease a Bike) en poursuite sur Paris-Roubaix, le 13 avril 2025. – Photo : ASO/Pauline BalletVu cette difficulté à poursuivre les offensives de ses principaux rivaux, Wout van Aert devrait-il aborder les prochains printemps avec un autre objectif ? En anticipant ou en proposant une course différente avec ses équipiers de la Visma-Lease a Bike ? Ce qu’il a montré ce printemps indique que le talent n’est pas parti, il faut donc se renouveler. Même si cela demande un changement de paradigme dans l’équipe.
Le Court a tout d’une grande
Revenue sur la route l’an dernier à la faveur d’un contrat proposé par AG Insurance-Soudal après une première expérience décevante alors qu’elle n’avait que 20 ans, l’ex-vététiste mauricienne Kim Le Court a surpris toutes ses rivales dimanche sur Liège-Bastogne-Liège pour glaner, dès sa première participation à la Doyenne, sa première victoire sur une grande classique. Moins d’un an après son premier succès d’étape sur le Tour d’Italie féminin, la double championne de l’île Maurice ne pouvait évidemment cacher ses larmes après avoir crié toute sa rage sur la ligne d’arrivée liégeoise.
“J’ai même vu un drapeau de Maurice sur le parcours. Je suis si fière. Je suis tombée amoureuse de cette course”, a-t-elle avoué à l’interview post-arrivée, même si elle est “morte cinq fois dans la descente” et qu’elle a connu “des crampes durant le sprint”. Ce qui ne l’a pas empêché de devancer Puck Pieterse (Fenix-Deceuninck), solide vainqueure de la Flèche Wallonne quatre jours plus tôt, et Demi Vollering (FDJ-Suez), à nouveau battue malgré l’équipe la plus costaude du plateau à ses côtés. Encore une fois, la Néerlandaise a semblé pêcher par excès de confiance, préférant croire en une bonne offensive dans le final, plutôt qu’en une animation constante qui faisait auparavant vaciller ses rivales. Vollering a expliqué cette difficulté par des menstruations arrivées samedi qui ont eu raison de son explosivité.
Capable de sprinter, d’attaquer, de grimper, Le Court a montré dimanche qu’elle était désormais une leader en puissance pour les classiques et les courses par étapes, à la hauteur des Niewiadoma, Longo Borghini ou Vollering. La facilité avec laquelle elle est rentrée sur la tête de la course malgré un moins bien dans la Redoute puis les Forges est un exemple de résilience. Son sprint était tout aussi éloquent. “J’ai l’impression qu’il y avait toujours un plafond de verre et que j’ai réussi à le briser cette fois. Cela faisait longtemps que j’espérais ce résultat”, a-t-elle admis. La Mauricienne de 29 ans peut désormais rêver de plus grand encore ! De même que Pieterse, à peine 22 ans et déjà vainqueure de la Flèche Wallonne, qui a montré à Vollering qu’elle avait une compatriote de plus à surveiller sur les courses explosives (voire sur le Tour de France).
Lidl-Trek, l’équipe qui a marqué le printemps
Certains attendaient Red Bull-Bora-Hansgrohe vu la pléthore de transferts officialisés ces deux dernières saisons pour en faire la nouvelle armada prête à défier UAE Team Emirates XRG. Les chutes et allergies ont finalement eu raison des ambitions du taureau. Une autre équipe a par contre confirmé ses prétentions sur les courses d’un jour : Lidl-Trek. Le maillot arlequin a souvent été à l’avant ce printemps, d’abord grâce à Mads Pedersen et Jonathan Milan, ensuite grâce à Mattias Skjelmose et Giulio Ciccone. Auxquels on peut ajouter Thibau Nys, Andrea Bagioli, Jasper Stuyven, Toms Skujins… Le collectif est solide, à tel point qu’il ose animer, même si des phénomènes sont là pour dynamiter encore plus la course.
Trop vite, trop fort pour Evenepoel ?
Sa victoire sur la Flèche Brabançonne au bout d’un effort impressionnant et d’un sprint tout aussi bluffant face à Wout van Aert semblait avoir donné le ton du retour de Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step). Sa démonstration en poursuite de Tadej Pogacar sur l’Amstel Gold Race, finalement conclu en troisième position, était tout aussi optimiste pour les prochaines classiques du Brabançon. Dans le froid de la Flèche Wallonne, sous une pluie piquante, le champion olympique n’a pourtant pas pu montrer ses meilleures jambes, terminant 9e à plus de 30 secondes de Tadej Pogacar. La faute à un vêtement enlevé trop tôt, comme il tentera d’analyser plus tard ? Sa prestation sur Liège-Bastogne-Liège donne un ton différent aux résultats suivants.
Avant même la Redoute, Evenepoel n’est jamais apparu à l’avant de la course. Il décidait même de se parquer dans la Roche-aux-Faucons, confirmant une panne de jambes en bonne et due forme. “C’était une longue journée. C’est clair que je n’avais pas les meilleures jambes dans le final. Je dois l’accepter et regarder vers l’avant”, a-t-il indiqué au micro de la RTBF à l’arrivée de la Doyenne. “La course était trop longue pour moi aujourd’hui”, a-t-il justifié, rappelant son mois et demi d’entraînement avant son retour à la compétition. Le leader du Wolfpack semblait en effet manquer de fond pour jouer une place ce dimanche. Cela a finalement pesé sur sa forme du moment. Il tentera de retrouver cette endurance sur le Tour de Romandie, dès mardi, avant de mettre le focus sur le Tour de France uniquement, loin de toute pression.
Grégory Ienco
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Le projet One Cycling va-t-il vraiment voir le jour ?
Cela fait maintenant plus d’un an et demi qu’on entend parler dans les médias spécialisés du fameux projet One Cycling. La base du dossier est un investissement venu d’Arabie saoudite destiné à réformer le peloton et le calendrier actuels autour d’un circuit représentant les meilleurs cyclistes (masculins a priori) et les meilleures courses, avec un pactole à se partager dans une économie, sur le papier, plus prospère pour les principaux acteurs du sport. Encore faut-il convaincre la multitude de responsables, entre les directions d’équipes, les organisateurs d’épreuves, les cyclistes eux-mêmes, les fédérations… L’ambition semblait énorme, et son ampleur se confirme au fil des articles, alors qu’aucune annonce officielle n’a encore été faite.
Mardi dernier, la machine médiatique autour de One Cycling a été relancée par Het Laatste Nieuws, qui a révélé de nouveaux détails sur les avancées du dossier. On apprend dans cet article que les porteurs du projet souhaiteraient en annoncer les grandes lignes avant le début du prochain Tour de France, début juillet, et envisagent un lancement d’ici à 2026. Le financement serait à hauteur de 250 millions d’euros sur trois saisons, permettant notamment la création de quatre nouvelles courses en 2027, dont une en Arabie saoudite, une autre en Asie et une en Amérique du Nord (probablement aux États-Unis). Les épreuves seraient tant masculines que féminines. Cette Super League ne bénéficierait toutefois pas du soutien unanime du peloton. UAE Team Emirates XRG, Jayco-AlUla (malgré son soutien saoudien), Alpecin-Deceuninck, Groupama-FDJ, Arkéa-B&B Hôtels et Cofidis ne seraient pas prêts à se lancer dans ce nouveau projet, pas plus qu’ASO, plus grand organisateur cycliste du calendrier (Tour de France, Liège-Bastogne-Liège, Paris-Roubaix, Tour d’Espagne…). Sans ASO, il s’annonce pourtant difficile d’envisager une grande réforme du calendrier actuel.
Les équipes masculines bénéficieraient ainsi d’un million d’euros par an pour participer à cette compétition, qui ressemble plus à un agenda parallèle qu’à une nouvelle mouture du calendrier. Ce montant ne paraît par ailleurs pas aussi mirobolant qu’attendu. Si les prix obtenus au terme de courses représentent jusqu’ici des cacahuètes pour les équipes, ce million ne représenterait qu’un vingtième à un cinquantième des budgets annuels des équipes participantes. La carotte financière annoncée de longue date ne paraît donc pas aussi gourmande qu’anticipé. Surtout qu’en face, la couverture médiatique du Tour de France, de Paris-Roubaix ou du Tour d’Espagne l’emporteront encore un long moment face à ces nouveautés aux quatre coins du globe. Même avec tout l’investissement proposé par le Public Investment Fund (PIF) saoudien. On l’a vu avec la Ligue des Champions de cyclisme sur piste : réformer et diffuser sur une grande plateforme de connaisseurs ne suffit pas à soutenir un modèle économique en manque de recettes récurrentes.
Cela fait donc pléthore d’obstacles à surmonter pour les soutiens de One Cycling. Le projet ne semble finalement vivre qu’à travers ces rumeurs qui ressortent ça et là dans la presse cycliste. Une fois sur Cyclingnews, une autre dans la Gazzetta dello Sport, un coup sur L’Équipe, un suivant pour Escape Collective, et un prochain dans Het Laatste Nieuws. Mais rien de concret n’a encore été officiellement révélé. Et si rien ne sort d’ici au mois de juillet, il sera temps de s’interroger sur l’intérêt de répercuter encore des informations sur ce brouillon qui a surtout ressemblé à une tentative de coup d’État manqué par certains dirigeants mécontents d’organisations qui ont pour l’heure le pouvoir sur le peloton professionnel. Il y a certainement une nécessité de réformer le cyclisme sur route pour lui permettre de faire face aux affres de l’économie réelle, et d’enfin se faire une place parmi les sports en vogue sur le plan médiatique et financier. Mais One Cycling et son projet de circuit fermé ou de calendrier à la F1 sont loin de comprendre que les bases du cyclisme doivent au moins rester pour éviter le départ de fidèles qui font jusqu’ici tenir le sport.
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